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Nos comportements ne différent pas de d'habitude. Au final, rien n'avait changé, en dehors des souvenirs que je pouvais avoir. J'avas fini par m'essuyer moi même, me débrouillant. Il m'avait même fait un cours de comment couper des oignons. Je l'avais regardé sans rien dire restant à ses cotés de détaillant du regard ce qu'il faisait. J'étais douée pour me servir de mes mains mais clairement pas dans ce domaine. J'étais plus à l'aise avec du matériel de création qu'une poêle ou un couteau! J'avais également le droit à quelques explications sur comment bien cuisiner. J'avais envie de lui demander quelques livres sur la cuisine, des conseils de sa part, je ne serai clairement pas contre.
Le regardant se pincer la langue comme s'il était ultra concentré sur quelque chose, je ne pu m'empêcher de sourire. Il n'avait pas abandonner l'idée de me faire participer, il fallait que je mélange les ingrédients avec la cuillère qu'il m'avait donné et que je rajoute de l'eau dedans ensuite. C'était simple au final mais allais je réellement y arriver? 2coutant ses conseils et remuant ces derniers, je grimaçais un peu en faisant ainsi regardant les oignons changer de couleur. Je prenais alors de l'eau dans un récipient sans mesurer car je n'avais clairement pas écouté ce qu'il avait dit...
"Midas, tu m'avais dit de mettre de l'eau yen a assez là?"
J'avais recouvert tous les ingrédients d'eau, certains flottaient dans la poêle, d'autres étaient encore au fond et suivaient le mouvement de ma cuillère. J'étais tout de même fière de ne rien avoir fait brûlé. Je sentais l'odeur des épices s'échapper du mélange et j'étais aux anges. Cela ressemblait vraiment à ce que je pouvais sentir en étant petite. Je souriais tout de même, ne sachant pas si j'avais bien dosé les choses, mais j'avais suivi ce qu'il m'avait dit c'était le plus important. J'espérais surtout que Geb apprécie l'intention...
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Selon moi, si on suit une recette à la lettre, le plat ne pourra pas être raté. Et n’importe qui de capable et de concentrer peut suivre une recette. C’était comme une expérience scientifique, il suffisait de respecter les consignes, faire cela dans l’ordre et voilà ~ Je ne pense pas que comme un grand cuisinier, je serais capable d’improviser un plat parfait, mais je devrais être capable de les reproduire à la lettre avec les instructions. N’importe qui sait cuisiner…
C’est ce que j’aurais aimé dire. Mais alors qu’Isis me montre le plat, je peux pas m’empêcher de froncer légèrement les sourcils. Je pouvais voir le riz et les oignons flotter dans l’eau bouillante. Je lâche un petit soupire, mais finis par sourire doucement. Même si elle n’avait clairement pas suivi mes instructions, elle souriait à nouveau et en était très fier. Le simple fait qu'on cuisine le repas de sa mère me rappelle les horribles moments qu'elle a du vivre après sa mort. Je me rappelle parfaitement l'état misérable dans lequel était Isis... Est-ce que je lui dis qu’elle a foiré ? Nan, j’ai mieux.
- « Mmh, très bien. Un peu trop d’eau, mais peut-être que le Prince Geb les aimera comme cela. Continuer un peu de les faire »
Oui ! J’utilise la carte Geb ! Pour le coup, Isis connaissait largement mieux le Prince que moi et elle avait un grand ego, donc je devais juste lui faire confiance. Elle n’aura qu’à m’accuser si son plat rate. Du moment qu’elle puisse un peu se détendre entre temps. Je finis de déposer les vignes et me déplace vers elle pour voir son travail et réfléchir comment rattraper cela. Il n’y avait aucune indication dans la recette pour cela, donc… Il va falloir improviser.
- « Je m’occupe de ciseler le persil. Pour la suite, rajouter du pignon jusqu’à vous penser que ça sera bon. Presser un citron pour rajouter le jus et puis poivrer. Je vais confiance à votre instinct pour les quantités. »
Autant dire que je jouais à la roulette russe ! La connaissant, elle allait simplement vider le poivre dans la farce et noyer l’eau dans les pignons. J’avais très peur pour la suite. Elle voulait faire des dolmas, on allait en faire… Façon Isis… Oh Prince Geb, je prie pour que les dieux vous aient donné un estomac d’acier avec votre héritage royale.
- « Quand ça sera fait, vous pourrez préparer les dolmas. C’est très simple. Vous prenez une feuille de vigne, couper la queue. Je m’occupe de ça. Vous, Princesse, vous disposez la feuille face à vous, du côté des nervures. La pointe de la feuille doit être vers le haut. Puis, vous déposez une cuillère à café de farce en bas de la feuille, ramener les 2 côtés de la feuille vers le centre, rouler, jusqu'à la pointe. La pointe permet de bien fermer le dolmas. »
C’est ce que j’aurais aimé dire. Mais alors qu’Isis me montre le plat, je peux pas m’empêcher de froncer légèrement les sourcils. Je pouvais voir le riz et les oignons flotter dans l’eau bouillante. Je lâche un petit soupire, mais finis par sourire doucement. Même si elle n’avait clairement pas suivi mes instructions, elle souriait à nouveau et en était très fier. Le simple fait qu'on cuisine le repas de sa mère me rappelle les horribles moments qu'elle a du vivre après sa mort. Je me rappelle parfaitement l'état misérable dans lequel était Isis... Est-ce que je lui dis qu’elle a foiré ? Nan, j’ai mieux.
- « Mmh, très bien. Un peu trop d’eau, mais peut-être que le Prince Geb les aimera comme cela. Continuer un peu de les faire »
Oui ! J’utilise la carte Geb ! Pour le coup, Isis connaissait largement mieux le Prince que moi et elle avait un grand ego, donc je devais juste lui faire confiance. Elle n’aura qu’à m’accuser si son plat rate. Du moment qu’elle puisse un peu se détendre entre temps. Je finis de déposer les vignes et me déplace vers elle pour voir son travail et réfléchir comment rattraper cela. Il n’y avait aucune indication dans la recette pour cela, donc… Il va falloir improviser.
- « Je m’occupe de ciseler le persil. Pour la suite, rajouter du pignon jusqu’à vous penser que ça sera bon. Presser un citron pour rajouter le jus et puis poivrer. Je vais confiance à votre instinct pour les quantités. »
Autant dire que je jouais à la roulette russe ! La connaissant, elle allait simplement vider le poivre dans la farce et noyer l’eau dans les pignons. J’avais très peur pour la suite. Elle voulait faire des dolmas, on allait en faire… Façon Isis… Oh Prince Geb, je prie pour que les dieux vous aient donné un estomac d’acier avec votre héritage royale.
- « Quand ça sera fait, vous pourrez préparer les dolmas. C’est très simple. Vous prenez une feuille de vigne, couper la queue. Je m’occupe de ça. Vous, Princesse, vous disposez la feuille face à vous, du côté des nervures. La pointe de la feuille doit être vers le haut. Puis, vous déposez une cuillère à café de farce en bas de la feuille, ramener les 2 côtés de la feuille vers le centre, rouler, jusqu'à la pointe. La pointe permet de bien fermer le dolmas. »
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J'avais apparemment réussi ma part de création, cependant Midas avait relevé que j'avais certainement mit un peu trop d'eau... J'essayais d'en enlever avec une grosse cuillère afin qu'il n'y en ai pas trop. Il m'indiquait la suite de la recette mentionnant un jus de citron et du poivre ainsi que des pignons... J'avais essayé de suivre ce qu'il m'avait dit, mettant un peu de poivre, assez pour que l'on sente le gout mais pas trop pour que cela ne soit pas trop relevé. J'ajoutais les pignons et lorsque vint le moment de retirer le jus du citron, je m'approchais alors de Midas pour lui tendre... Il avait dit qu'il s'occupait de couper les choses alors je lui laissais ce plaisir.
Lorsque cela fut fait je pressais alors le citron de mes mains ajoutant uniquement la moitié de celui ci, je me souvenais que notre mère n'en mettais pas trop car nous faisions assez vite la grimace. Une fois fini je vins alors poser la poêle sur le plan de travail ou était Midas, le regardant en souriant, c'était assez rare ces derniers temps que cela arrive, mais il fallait bien. Bien que j'étais inquiète pour Tarek, Geb était revenu, l'un d'eux allait enfin pouvoir nous expliquer ce qui se passait en plus de peut être nous dire où le deuxième était.
J'étais en train de le regarder travailler, à vrai dire ce n'était pas la première fois que nous collaborions pour faire quelque chose. La première fois il m'avait aidé à réaliser quelques rouages que je ne trouvais pas beau... En tout cas les premiers que j'avais fait n'étais pas satisfaite. Je vins me ettre à coté de lui pour commencer à rouler les feuilles sur la farce. Je n'avais pas prit de cuillère j'avais prit la farce avec mes propres mains, venant la positionner sur la feuille avant de la rouler puis de la fermer. Le résultat était plaisant à voir:
"Tu goutes? J'aimerai bien avoir un avis avant que cela n'aille sur le bureau de Geb... Comme ça si ce n'est pas bon on recommence!"
Un sourire sur la visage, il ne pouvait donc plus rien me refuser!
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Je viens tranquillement ciseler le persil, continuant la recette et rajoutant cela au plat alors qu’Isis semblait occupée à rajouter le poivre. Je n’avais pas bien regardé, mais elle semblait assez concentrer pour mettre celui-ci. Comme quoi, même si elle ne m'écoutait pas, elle faisait de son mieux. Quelle Princesse quand même. Avec une attitude pareille, le monde va finir par lui retomber dessus avant qu’elle ne puisse s’en rendre compte. Avoir bon cœur est une bonne chose, mais l’utiliser légèrement et librement n’est pas une bonne chose. Celle-ci vient d’ailleurs me donner le citron que je coupe sans même y porter plus attention.
Après 5 ans à se voir tous les jours, on commençait à se connaître l’un et l’autre. On avait donc parfois ce genre de léger instant où on communiquait sans strictement rien dire. C’était sympathique comme instant.
Maintenant, que la farce était finie, je laisse Isis finir les dolmas, la laissant plier celle-ci et prendre la farce à mains nue. Attends… Est-ce qu’elle s'était lavé les mains avant de cuisiner ?... Est-ce que je m’étais lavé les mains ? Oh ça va, je pense pas m'être sali les mains depuis que je me suis levé. Je ferme les yeux pour me rappeler où j’ai posé mes mains, mais… Rien ne me revient. Juste un drôle de sensation. Quelque chose de moelleux ? Probablement le coussin du lit d’Isis.
Je secoue la tête pour ne pas y penser. Je ne voulais pas me faire exécuter, sauf que je devais savoir. Pourquoi je dormais avec elle ? Je n’avais que mon sous-vêtement, et elle mon t-shirt. On avait fait quoi ? Je croise les bras, creusant mon esprit en essayant de me rappeler la soirée d’hier.
Isis m’interrompt alors, me demandant de goûter déjà le dolmas. Je me recule doucement alors qu’elle affichait son plus beau sourire. Ouais, ça aurait marché… Il y a 5 ans ! Je commence à préparer une marmite, de 20 cl d’eau avec un filet d’huile d’olive et un peu de citron.
- « Nous goûterons après. Il faut d’abord cuire cela. »
Je viens prendre les dolmas, les mettant dans la marmite avant de couvrir celle-ci.
« Voilà, plus qu’à attendre que ça bouille et puis baisser le feu à feu d’où. Cela va prendre une heure. Vous voulez faire quelque chose entretemps Princesse ? »
Alors que je pose cette question, une image vient flasher dans mon esprit alors que je fixe Isis… Une image me faisant rapidement virer au rouge. J’avale ma salive doucement, alors que je réalise vite quelque chose. Ce n’était pas mon imagination. Non, comme je me souvenais parfaitement de la page de recette de dolmas dans mon livre, je me souvenais parfaitement d’une image. Un simple moment et instant… Je n’étais sûr de rien, absolument rien… Mais jamais de ma vie, j’ai regardé le visage d’Isis d’aussi prêt et jamais elle ne m’avait fait un tel regard… Bordel, j’ai fait quoi hier ?!
Je détourne doucement le regard sur le côté, alors que mon visage ne changeait pas de couleur.
Après 5 ans à se voir tous les jours, on commençait à se connaître l’un et l’autre. On avait donc parfois ce genre de léger instant où on communiquait sans strictement rien dire. C’était sympathique comme instant.
Maintenant, que la farce était finie, je laisse Isis finir les dolmas, la laissant plier celle-ci et prendre la farce à mains nue. Attends… Est-ce qu’elle s'était lavé les mains avant de cuisiner ?... Est-ce que je m’étais lavé les mains ? Oh ça va, je pense pas m'être sali les mains depuis que je me suis levé. Je ferme les yeux pour me rappeler où j’ai posé mes mains, mais… Rien ne me revient. Juste un drôle de sensation. Quelque chose de moelleux ? Probablement le coussin du lit d’Isis.
Je secoue la tête pour ne pas y penser. Je ne voulais pas me faire exécuter, sauf que je devais savoir. Pourquoi je dormais avec elle ? Je n’avais que mon sous-vêtement, et elle mon t-shirt. On avait fait quoi ? Je croise les bras, creusant mon esprit en essayant de me rappeler la soirée d’hier.
Isis m’interrompt alors, me demandant de goûter déjà le dolmas. Je me recule doucement alors qu’elle affichait son plus beau sourire. Ouais, ça aurait marché… Il y a 5 ans ! Je commence à préparer une marmite, de 20 cl d’eau avec un filet d’huile d’olive et un peu de citron.
- « Nous goûterons après. Il faut d’abord cuire cela. »
Je viens prendre les dolmas, les mettant dans la marmite avant de couvrir celle-ci.
« Voilà, plus qu’à attendre que ça bouille et puis baisser le feu à feu d’où. Cela va prendre une heure. Vous voulez faire quelque chose entretemps Princesse ? »
Alors que je pose cette question, une image vient flasher dans mon esprit alors que je fixe Isis… Une image me faisant rapidement virer au rouge. J’avale ma salive doucement, alors que je réalise vite quelque chose. Ce n’était pas mon imagination. Non, comme je me souvenais parfaitement de la page de recette de dolmas dans mon livre, je me souvenais parfaitement d’une image. Un simple moment et instant… Je n’étais sûr de rien, absolument rien… Mais jamais de ma vie, j’ai regardé le visage d’Isis d’aussi prêt et jamais elle ne m’avait fait un tel regard… Bordel, j’ai fait quoi hier ?!
Je détourne doucement le regard sur le côté, alors que mon visage ne changeait pas de couleur.
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Il avait refusé de gouter la nourriture que je venais de faire, pour cause? Ce n'était pas fini. Je pensais que tout était prêt vu la chaleur que dégageait le plat. Je soupirais alors en reposant le dolmas le laissant faire de son coté pour qu'il puisse faire le reste de la recette. Je le regardais faire attentivement me demandant s'il n'avait pas trop chaud à plonger les dolmas dans l'eau bouillante, les vapeurs devaient être toute même bien chaudes. Il fallait donc une bonne heure pour finir la cuisson, que faire pendant ce temps? En réfléchissant je regardais Midas changer de couleur et devenir rouge à son tour, je connaissais cette réaction car je l'avais eu plus tot. Je lâchais alors:
"Midas? Tu te souviens de quoi?"
C'était Cash, peut être un peu trop pour lui vu le rouge sur son visage mais j'avais clairement besoin de savoir ce qui c'était passé la nuit dernière. Je m'approchais alors de lui le visage aussi rouge que le sien, le besoin de savoir était trop fort en moi pour que je ne laisse le doute planner. Je ne me souvenais pas de tout, mais d'assez pour me faire quelques idées que j'espérais fausse pour deux raisons: Je voulais me souvenir de la première fois, et pas maintenant! Certes Midas était plaisant, mais je n'étais pas sure de moi vis à vis de mes propres sentiments. Je vins alors me reculer croisant les bras et ajoutant:
"Si tu m'as fait quoi que ce soit, tu vas me le payer...."
C'était dit calmement pour une fois, je ne voulais pas qu'il ce soit passé quoi que ce soit tant que je n'avais pas mit les choses au clair avec moi même vis à vis de lui. Je voulais aussi savoir s'il avait ce même ressenti pour faire les choses bien...
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Isis s’approche soudainement de moi, mon regard revient sur elle et l’image apparaît une fois de plus dans mon esprit. C’était vivide, clair, précis… Mais mon esprit le rejetait d’une certaine façon. Pourquoi ? Honte ! Honte d’avoir échoué en tant que vassal et honte que cela lui revient à l’esprit ici et maintenant, en présence de la Princesse ! Elle me pose une très simple question, si simple que j’en avale ma salive. De quoi je me souviens ? L’image était parfaitement claire à présent, si clair que je ne pouvais pas m’empêcher d’être entièrement rouge sous la pression. Je me suis préparé à plein de situation dans ma vie pour gérer mon stress. Mais pas putain de ça !
- « Je… Juste… Une image m’est revenue en… Tête. »
Je fixe Isis alors qu’elle semble être aussi rouge que moi. Je ne pouvais pas lui dire ça ! Aucune chance ! Je ne pouvais pas lui dire qu’on avait fait cela ! Je me détestais sur l’instant, aussi bien pour avoir craqué sous l’alcool, l’avoir fait bourrer et ne pas m’en souvenir… Attends, je voulais m’en souvenir ? Nan ! Enfin oui, mais pas parce que c’était ma première fois ou bien que je l’ai fait avec elle. Je… Je voulais m’en souvenir pour savoir quoi lui répondre, savoir la rassurer, savoir lui expliquer. Car… Mon souvenir était étrange, très étrange.
Isis recule, bras croisés pour rajouter que si je lui avais fait quoi que ce soit, j’allais lui payer. Elle l’avait dit calmement, mais justement son calme me faisait encore plus peur que sa colère. Je n’avais aucune idée de ce qu’elle pensait et ce qui lui passait par l’esprit. Est-ce que je devais lui dire la vérité ou suivre ses ordres ? Est-ce que je pouvais vraiment lui dire cela ?
- « D’accord, d’accord. Je n’ai rien fait et il ne s’est rien passé… Si c’est bien ça que vous voulez… »
Non, je ne pouvais pas lui dire que c’était elle qui m’avait fait cela… Et ce n’étais qu’une image de mon esprit. Je ne sais pas ce qu’il se passait exactement. Tout ce qui me venait, c’était qu’il y a eu quelque chose et c’était elle qui avait le contrôle de la situation sur le moment. Elle… Elle a voulu le faire avec moi ? On l'a fait ensemble ? Elle et moi ?
Pourquoi je l’ai fait avec elle ? L’alcool ? Nan, même bourré, je n’aurais pas décidé de faire cela ? Je n’arrivais simplement pas à savoir pourquoi ? Oui, Isis est très belle et charmante, mais je me suis toujours retenu et créé une distance normale entre Princesse et vassal. Mes sentiments étaient à garder pour moi et ne devaient pas être romantiques ou même érotiques ! Pourquoi alors ? Je frotte doucement mon front alors que j’essayais de calmer mon esprit et mon agitation. Ce n’était pas le moment de faire quoi que ce soit. D’abord la Princesse, puis moi !
La pauvre avait perdu sa première fois avec moi ! Ce n'était clairement pas une bonne nouvelle. Je devais faire quoi ? Ne plus en parler ? Esquiver le sujet ? J’essaye de dire quelque chose, mais sur le moment, les mots me manquent terriblement.
- « Je… Que… Donc… Que faisons-nous Isis ? » Aussi bien maintenant qu’au sujet de toute la situation. Nous avions du temps à perdre et une situation problématique sur les mains.
- « Je… Juste… Une image m’est revenue en… Tête. »
Je fixe Isis alors qu’elle semble être aussi rouge que moi. Je ne pouvais pas lui dire ça ! Aucune chance ! Je ne pouvais pas lui dire qu’on avait fait cela ! Je me détestais sur l’instant, aussi bien pour avoir craqué sous l’alcool, l’avoir fait bourrer et ne pas m’en souvenir… Attends, je voulais m’en souvenir ? Nan ! Enfin oui, mais pas parce que c’était ma première fois ou bien que je l’ai fait avec elle. Je… Je voulais m’en souvenir pour savoir quoi lui répondre, savoir la rassurer, savoir lui expliquer. Car… Mon souvenir était étrange, très étrange.
Isis recule, bras croisés pour rajouter que si je lui avais fait quoi que ce soit, j’allais lui payer. Elle l’avait dit calmement, mais justement son calme me faisait encore plus peur que sa colère. Je n’avais aucune idée de ce qu’elle pensait et ce qui lui passait par l’esprit. Est-ce que je devais lui dire la vérité ou suivre ses ordres ? Est-ce que je pouvais vraiment lui dire cela ?
- « D’accord, d’accord. Je n’ai rien fait et il ne s’est rien passé… Si c’est bien ça que vous voulez… »
Non, je ne pouvais pas lui dire que c’était elle qui m’avait fait cela… Et ce n’étais qu’une image de mon esprit. Je ne sais pas ce qu’il se passait exactement. Tout ce qui me venait, c’était qu’il y a eu quelque chose et c’était elle qui avait le contrôle de la situation sur le moment. Elle… Elle a voulu le faire avec moi ? On l'a fait ensemble ? Elle et moi ?
Pourquoi je l’ai fait avec elle ? L’alcool ? Nan, même bourré, je n’aurais pas décidé de faire cela ? Je n’arrivais simplement pas à savoir pourquoi ? Oui, Isis est très belle et charmante, mais je me suis toujours retenu et créé une distance normale entre Princesse et vassal. Mes sentiments étaient à garder pour moi et ne devaient pas être romantiques ou même érotiques ! Pourquoi alors ? Je frotte doucement mon front alors que j’essayais de calmer mon esprit et mon agitation. Ce n’était pas le moment de faire quoi que ce soit. D’abord la Princesse, puis moi !
La pauvre avait perdu sa première fois avec moi ! Ce n'était clairement pas une bonne nouvelle. Je devais faire quoi ? Ne plus en parler ? Esquiver le sujet ? J’essaye de dire quelque chose, mais sur le moment, les mots me manquent terriblement.
- « Je… Que… Donc… Que faisons-nous Isis ? » Aussi bien maintenant qu’au sujet de toute la situation. Nous avions du temps à perdre et une situation problématique sur les mains.
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La réponse vient après un certains blanc mais je n'arrive pas à croire les mots que j'entend, sa bouche me dit le contraire de ce dont je me suis souvenue... Peut être essaye t il de me ménager? En ai je vraiment envie? Je soupire à sa réponse, gardant tout de même les bras croisés. Il essaye de changer de sujet de conversation pour partir sur quoi faire? Parler peut être? J'avais besoin de savoir, maintenant, pas plus tard... Je voulais mettre des mots sur ce qui se nichait au plus profond de moi même mais impossible sans savoir ce qui c'était réellement produit la veille. Mes mots sortent alors sans que je n'ai trop à réfléchir:
"Non, je veux entendre la vérité aussi dure soit elle!"
Dure... Ce n'était peut être pas le bon mot, mais c'était surtout de savoir où j'allais avancer. Je voulais savoir également le fond de sa pensée. Je ne me voyais pas dévoiler quoi que ce soit de mon coté s'il n'y avait aucune chance. Bien que Midas passait le plus clair de son temps à mes cotés, il pouvait très bien prétendre à avoir quelqu'un dans son cœur. Qui étais je pour l'en empêcher après tout? La princesse des Ramsès, mais pas celle de son cœur, vu tout ce que je lui avait fait subir jusqu'à présent c'était fort peu probable. Soupirant devant la complexité de la situation je lâchais alors, toujours sur un coup de tête et toujours aussi calmement:
"Je ne sais pas ce que tu penses de la situation, ce n'est pas gênant que pour toi... Sauf que j'aimerai y voir plus clair, enfin je ne sais pas si ce sont les mots exact.... D'un sens je préfère encore que ce soit toi qu'un roturier que j'ai rencontrer dans la taverne... Je pense que ca me soulagerai en soit! "
Je préférais Midas à un inconnu, surtout pour ce genre de choses. De plus, si cela s'apprenait lui comme moi allions certainement passer un sale quart d'heure. Je ne voulais pas spécialement me souvenir de tout, juste savoir ce qu'il en était de son coté, savoir s'il savait réellement quelque chose et surtout s'il y avait autre chose que cela.
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Je n’avais strictement aucune idée de quoi lui dire ou si je devais le lui avouer en tant que vassal. Je la voyais bien à son regard, elle voulait le savoir. J’ai essayé de changer de sujet, mais elle ne me laissa pas dire la moindre chose. Elle me l’ordonna très simplement, elle voulait entendre la vérité, elle voulait savoir ce qu’on a fait. Je prends une grande inspiration, joignant mes mains et roulant doucement mes pouces ensembles. Autant passer aux aveux. Mais je ne pouvais pas ! Non ! Je… Je me mords les lèvres.
Il fallait bien lui dire, elle voulait le savoir alors, il faut lui dire. Je… Je n’ai aucune idée de comment elle allait le prendre, mais il fallait être sincère si c’était ce qu’elle voulait. C’est alors qu’elle commence à avouer quelque chose de très gênant, même pour moi. La Princesse vient me dire qu’elle était très gênée, mais aussi qu’elle aimerait savoir exactement ce qu’il y a eu. Elle préférait que ça soit moi qu’un inconnu à la taverne. Je reste alors encore un peu rouge et un peu bouche bée à cela. Je… Nan, c’était logique, c’est normal, elle me connaissait, donc c’était… Moins honteux. Il faut rester logique, elle ne pouvait avoir de sentiment pour moi. C’est une Princesse, moi un Vassal.
- « C’est… La situation n’est pas gênante… Enfin, la situation est très gênante, surtout très honteuse pour nous deux. Je suis un vassal, mais j’ai… J’ai fait cela et vous avez fait cela avec un vassal. J’ai honte de vous avoir échoué et… »
Bon… C’est dit à moitié, il faut l’avouer. J’inspire un grand coup avant de l’avouer à Isis.
- « Je... Ce qu’il y a eu… Nous avons… Nous l’avons fait ensemble. Je n’ai qu’une seule image, mais c’est assez clair et… Vous étiez visiblement celle qui… Menait la dance. »
Je commence à virer de plus en plus au rouge alors que j’ai fini par lui avouer, l’image revenant dans ma tête. Elle menait la dance. C’était une chose facile et légère à dire, facile à dire comme cela. Et cela ne venait que d’une seule image, mais… Pourtant, c’était assez visible et clair dans mon esprit. Elle. Moi… Je ne pouvais pas dire la moindre chose sans que mon esprit ne soit vraiment troublé. Cette image était nette, mais je n'avais jamais vu Isis avec un sourire si agressif et carnassier. C'était même très... Pourquoi est-ce que ça me fait rougir encore plus ?!
Je place mes mains sur main mon visage, le frottant doucement et lentement, une seule chose me venait à l’esprit. Je devais la rassurer, trouver une façon, quoi lui dire !
- « Je… J’ai… Je préfère que ça soit avec vous que n’importe qui d’autre Isis. »
Il fallait bien lui dire, elle voulait le savoir alors, il faut lui dire. Je… Je n’ai aucune idée de comment elle allait le prendre, mais il fallait être sincère si c’était ce qu’elle voulait. C’est alors qu’elle commence à avouer quelque chose de très gênant, même pour moi. La Princesse vient me dire qu’elle était très gênée, mais aussi qu’elle aimerait savoir exactement ce qu’il y a eu. Elle préférait que ça soit moi qu’un inconnu à la taverne. Je reste alors encore un peu rouge et un peu bouche bée à cela. Je… Nan, c’était logique, c’est normal, elle me connaissait, donc c’était… Moins honteux. Il faut rester logique, elle ne pouvait avoir de sentiment pour moi. C’est une Princesse, moi un Vassal.
- « C’est… La situation n’est pas gênante… Enfin, la situation est très gênante, surtout très honteuse pour nous deux. Je suis un vassal, mais j’ai… J’ai fait cela et vous avez fait cela avec un vassal. J’ai honte de vous avoir échoué et… »
Bon… C’est dit à moitié, il faut l’avouer. J’inspire un grand coup avant de l’avouer à Isis.
- « Je... Ce qu’il y a eu… Nous avons… Nous l’avons fait ensemble. Je n’ai qu’une seule image, mais c’est assez clair et… Vous étiez visiblement celle qui… Menait la dance. »
Je commence à virer de plus en plus au rouge alors que j’ai fini par lui avouer, l’image revenant dans ma tête. Elle menait la dance. C’était une chose facile et légère à dire, facile à dire comme cela. Et cela ne venait que d’une seule image, mais… Pourtant, c’était assez visible et clair dans mon esprit. Elle. Moi… Je ne pouvais pas dire la moindre chose sans que mon esprit ne soit vraiment troublé. Cette image était nette, mais je n'avais jamais vu Isis avec un sourire si agressif et carnassier. C'était même très... Pourquoi est-ce que ça me fait rougir encore plus ?!
Je place mes mains sur main mon visage, le frottant doucement et lentement, une seule chose me venait à l’esprit. Je devais la rassurer, trouver une façon, quoi lui dire !
- « Je… J’ai… Je préfère que ça soit avec vous que n’importe qui d’autre Isis. »
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Midas venait de confirmer qu'il s'était effectivement passé quelque chose entre nous. Nous avions bravé l'interdit, la princesse que je suis avait donné son corps a son vassal, la personne censé la protéger et surtout la tenir en dehors de ce genre de connerie. C'était un échec, autant pour lui que pour moi. J'avais au final failli au fait de garder mon corps pour jusqu'au mariage.
Je devais avouer que je préférai que ce soit Midas qui fut le premier que n'importe quel autre homme, question de confiance. Je n'avais pas réellement de souvenirs de ce que nous avions exactement fait la veille mais je me doutais que nous étions allés loin... Peut être pas au bout mais loin.
L'idée d'avoir fait quelque chose avec lui m'avais fait rougir comme une pivoine. Ce qu'il avait également ajouté m'avais fait détourner finalement le regard, mon coeur avait raté un saut mais je ne voulais pas qu'il le sache.
"je .. tant mieux pour toi! Je préfère également que ce soit toi.... Au moins je sais que je peux avoir confiance..."
Sa formulation était juste... Il préférait que ce soit moi qu'une autre. Mais j'avais également entendu que j'étais sa première... Nous étions donc tous les deux dans le même cas. J'allais de nouveau ouvrir la bouche lorsqu'une servante arrivait alors dans la cuisine. Je m'approchais de Midas lui tapotant un grand coup dans le dos en lâchant avec un air assez étrange montrant bien la gêne de l'instant:
"Du ... Du coup il reste combien de temps de cuisson? "
La cuisson donc... Sujet très intéressant pour faire semblant de rien...
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Et voilà, ce n’est plus un secret… J’ai vendu la mèche et le résultat fut qu’on était complètement rouge, l’un et l’autre. Nous avions fait l’impossible et fait un acte qui serait jugé comme impardonnable par elle et moi. Nous étions foutues de plein de façons. J’ai échoué la confiance qu’elle avait en moi et en tout cela. Elle avait sacrifié son honneur et corps de Princesse. Tout cela à cause de l’alcool. Peut-être qu’on avait été drogué aussi ? J’espère que non, et de toute façon, l'alcool est une drogue. Oh mon Dieu, durant notre première fois, on était drogué !
Nous étions face à face, très gêné et très perturbé. Elle va même jusqu’à détourner le regard quand je retourne ce qu’elle a dit comme un compliment. Isis vient me répondre que… C’était tant mieux pour moi. Je… Je… Et bien… Oui, je ne pouvais pas le nier avec elle, le faire avec elle était tant mieux. Ce n’était PAS la chose à faire, mais effectivement, c’était mieux. Elle aussi partageait ce sentiment. Elle savait qu’elle pouvait avoir confiance en moi et c’est tout ce que je souhaitais. Si jamais j’avais perdu sa confiance, j’aurais été vraiment détruit sur le coup… Depuis quand je pouvais être aussi blessé par l’avis d’Isis moi ? J'imagine que je n'avais pas bien encore réalisé à quel point son avis, sa confiance et elle-même était devenu si important dans ma vie.
- « Content que le sentiment soit… Similaire… Pour nous deux. »
Et c’était le cas, je… Je préfère qu’elle puisse finir avec moi qu’avec n’importe qui d’autre. Ce n’était encore une fois PAS une bonne chose, mais il est préférable que ça soit moi qu’une personne inconnue qui aurait profité de l’état d’alcoolisme de la Princesse. Ce serait détestable ! J’en aurais été rouge de colère au lieu de rouge de honte. Nous sursautons sur place alors qu’une servante arrive dans la cuisine, je tremble encore plus en sentant la Princesse me tapotant le dos comme si elle voulait me projeter en avant. La cuisson ? Ah ! Ok ! Je vois l’idée !
- « Oh, encore assez longtemps… Je… Si vous voulez vous pouvez partir à votre chambre ou aller chercher un livre… Ou on peut demander à quelqu’un de surveiller… Pour qu’on discute ailleurs… »
Une simple proposition de fuite pour essayer de finir cette discussion plus loin à l’abri des problèmes. Cette discussion, même gênante, est grave et importante. C’était un problème qu’on doit régler selon moi, si ça ne gêne pas Isis bien sûr. On doit vraiment régler cette discussion. J’avale ma salive, évitant de penser à l’image dans mon esprit.
- « Ou je peux vous cuisiner un truc pour vous Isis. »
Nous étions face à face, très gêné et très perturbé. Elle va même jusqu’à détourner le regard quand je retourne ce qu’elle a dit comme un compliment. Isis vient me répondre que… C’était tant mieux pour moi. Je… Je… Et bien… Oui, je ne pouvais pas le nier avec elle, le faire avec elle était tant mieux. Ce n’était PAS la chose à faire, mais effectivement, c’était mieux. Elle aussi partageait ce sentiment. Elle savait qu’elle pouvait avoir confiance en moi et c’est tout ce que je souhaitais. Si jamais j’avais perdu sa confiance, j’aurais été vraiment détruit sur le coup… Depuis quand je pouvais être aussi blessé par l’avis d’Isis moi ? J'imagine que je n'avais pas bien encore réalisé à quel point son avis, sa confiance et elle-même était devenu si important dans ma vie.
- « Content que le sentiment soit… Similaire… Pour nous deux. »
Et c’était le cas, je… Je préfère qu’elle puisse finir avec moi qu’avec n’importe qui d’autre. Ce n’était encore une fois PAS une bonne chose, mais il est préférable que ça soit moi qu’une personne inconnue qui aurait profité de l’état d’alcoolisme de la Princesse. Ce serait détestable ! J’en aurais été rouge de colère au lieu de rouge de honte. Nous sursautons sur place alors qu’une servante arrive dans la cuisine, je tremble encore plus en sentant la Princesse me tapotant le dos comme si elle voulait me projeter en avant. La cuisson ? Ah ! Ok ! Je vois l’idée !
- « Oh, encore assez longtemps… Je… Si vous voulez vous pouvez partir à votre chambre ou aller chercher un livre… Ou on peut demander à quelqu’un de surveiller… Pour qu’on discute ailleurs… »
Une simple proposition de fuite pour essayer de finir cette discussion plus loin à l’abri des problèmes. Cette discussion, même gênante, est grave et importante. C’était un problème qu’on doit régler selon moi, si ça ne gêne pas Isis bien sûr. On doit vraiment régler cette discussion. J’avale ma salive, évitant de penser à l’image dans mon esprit.
- « Ou je peux vous cuisiner un truc pour vous Isis. »
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Il avait compris que je changeais de sujet pour ne pas paraitre louches, c'était assez rare que je sois présente dans la cuisine, mais alors seule avec Midas... C'était d'autant plus étrange, même si la raison de base était de faire plaisir à Geb, mais cela avait dérapé. Nous avions tous les deux évoqué notre soulagement que cela se soit fait ensemble et non pas avec des étrangers, pourtant la situation n'en restait pas moins étrange. Je n'étais pas habituée à ce genre de choses en même temps qui le pourrait? Je regardais les dolmas cuire, faisant semblant d'être happée par la préparation alors que mon esprit était ailleurs. Faisant signe de tête à Midas que non je n'avais besoin de rien, je lui lâchais alors:
"Non ca ira, je veux bien que tu me montre une recette simple si tu veux en attendant comme ca je pourrais me débrouiller si un jour tu ne peux pas être là!"
J'essayais de me calmer tant bien que mal, mes joues n'en restaient pas moins roses. La servante était venu préparer le repas pour mon père, il lui avait demandé de quoi se sustenter, je n'allais clairement pas la chasser de l'endroit. Je regardais du coin de l'oeil ce qu'elle allait préparer de bon, connaissant mon père il avait certainement dut lui demander un repas sain, elle serait certainement là quand les dolmas auraient fini de cuire. Nous devions trouver un moyen de pouvoir parler sans qu'elle ne comprenne qu'il s'agissait de l'un de nous deux... Je soupirais sur cette pensée, nous pouvions simplement laisser notre conversation en suspend et voir plus tard ce que nous ferions de tout cela. Je vins poser mes deux mains sur le plan de travail regardant Midas avec un charmant sourire:
"Alors monsieur l'apprenti chef cuistot, Tu as une idée de ce que tu vas me montrer?"
Sauver les apparences et faire semblant de rien... Une chose que j'avais apprit à faire allégrement au fil des années pour ne pas me faire coincer à chaque bêtise que je pouvais faire. Pourtant, je n'aimais pas spécialement cela, c'était simplement une coquille pour me protéger...
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Doucement, la situation se calma. Aussi bien pour elle que pour moi, le stress disparu et l’angoisse avec. Ce secret était entre elle et moi, cette gêne était entre nous deux. L’oubli de ce moment devait rester entre nous deux, aussi bien que ce que nous avions fait. Que ça soit ma vie ou sa réputation, on ne pouvait pas l’annoncer ou le révéler. C’était devenu d’une certaine façon notre secret. Même si je sentais fortement qu’Isis finirait par le dire à quelqu’un à un moment ou un autre. C’était dans sa nature après tout. Elle le dira à quelqu’un de confiance, oui, mais elle le dira quand même.
Cherchant à résoudre le problème, je lui demande si elle voulait que nous partions ailleurs pour discuter du problème et mettre au clair cette affaire une fois pour toutes. Des négociations, je dirais, pour savoir exactement que dire, quoi dire et… Surtout que penser vraiment de ce qu’on a fait au final. J’avais de nombreuses questions au fond de mon esprit et aucune réponse. Sauf si je me souviens de ce qu’il y a eu, je n’aurai jamais de réponse.
La Princesse me répond alors que non, elle irait bien. Elle voulait juste que je lui donne une recette simple à faire pour cuisiner un truc si jamais je n’étais pas là. Je hausse un sourcil, avalant ma salive.
- « Je ferais de mon mieux pour rester à vos côtés, mais il est vrai que c’est une bonne idée. Un imprévu peut toujours venir perturber notre emploi du temps. »
Une recette simple… Que faire ? … Je croise les bras et réfléchir. J’ai vu les compétences d’Isis, il faut que je ne lui montre pas seulement une recette simple, mais un plat bon où elle ne risque pas de faire trop d’erreurs et de détruire le plat. Je ferme les yeux, me concentrant pour trouver une recette qui pourrait bien l’amuser. Un bon petit plat délicieux et facile. Un plat amusant à faire. Gardant mes yeux fermer, je voyais une longue liste de différentes recettes, partie de plat et d'idée de repas. Chacun avec des particularités et détail unique. Je devais aussi penser à ce que la Princesse a pu manger et cuisiner dans sa vie. Heureusement, elle n’a jamais fait bon compliquer, donc ça peut aller.
Isis s’approche, avec un grand sourire, me demandant ce que j’allais lui montrer. Attends, apprenti-chef cuistot ? Je souris à cette contradiction innocente.
- « Un apprenti-chef cuistot, j’imagine que je suis donc juste un cuistot, je prends le compliment avec plaisir… J’ai une idée de plat en tête. Un truc que vous devriez pouvoir faire facilement. C’est simple, rapide et demande peu d’ingrédients. Une omelette soufflée. Tu veux que je te le prépare et tu prends des notes ou tu veux essayer ? Cela devrait prendre un peu moins de 30 minutes, donc l’autre plat sera prêt entre temps. »
Sans même m’en rendre compte et grâce à l’intervention d’Isis qui me demandait simplement de préparer un autre plat, la soirée qu’on a passée en plan avait disparu de mon esprit. J’étais à présent concentré sur l’idée préparée un plat correct et délicieux pour Isis, un plat qu’elle saura refaire sans problème.
- « Dans tous les cas, il nous faut 4 œufs, de la crème liquide, du coulis de tomate, de l’huile végétale, de l’huile d’olive, du sucre en poudre, de l’ail haché, basilic et persil ciselé, origan, poivre et sel. Vous pensez pouvoir retrouver tout cela ? »
Cherchant à résoudre le problème, je lui demande si elle voulait que nous partions ailleurs pour discuter du problème et mettre au clair cette affaire une fois pour toutes. Des négociations, je dirais, pour savoir exactement que dire, quoi dire et… Surtout que penser vraiment de ce qu’on a fait au final. J’avais de nombreuses questions au fond de mon esprit et aucune réponse. Sauf si je me souviens de ce qu’il y a eu, je n’aurai jamais de réponse.
La Princesse me répond alors que non, elle irait bien. Elle voulait juste que je lui donne une recette simple à faire pour cuisiner un truc si jamais je n’étais pas là. Je hausse un sourcil, avalant ma salive.
- « Je ferais de mon mieux pour rester à vos côtés, mais il est vrai que c’est une bonne idée. Un imprévu peut toujours venir perturber notre emploi du temps. »
Une recette simple… Que faire ? … Je croise les bras et réfléchir. J’ai vu les compétences d’Isis, il faut que je ne lui montre pas seulement une recette simple, mais un plat bon où elle ne risque pas de faire trop d’erreurs et de détruire le plat. Je ferme les yeux, me concentrant pour trouver une recette qui pourrait bien l’amuser. Un bon petit plat délicieux et facile. Un plat amusant à faire. Gardant mes yeux fermer, je voyais une longue liste de différentes recettes, partie de plat et d'idée de repas. Chacun avec des particularités et détail unique. Je devais aussi penser à ce que la Princesse a pu manger et cuisiner dans sa vie. Heureusement, elle n’a jamais fait bon compliquer, donc ça peut aller.
Isis s’approche, avec un grand sourire, me demandant ce que j’allais lui montrer. Attends, apprenti-chef cuistot ? Je souris à cette contradiction innocente.
- « Un apprenti-chef cuistot, j’imagine que je suis donc juste un cuistot, je prends le compliment avec plaisir… J’ai une idée de plat en tête. Un truc que vous devriez pouvoir faire facilement. C’est simple, rapide et demande peu d’ingrédients. Une omelette soufflée. Tu veux que je te le prépare et tu prends des notes ou tu veux essayer ? Cela devrait prendre un peu moins de 30 minutes, donc l’autre plat sera prêt entre temps. »
Sans même m’en rendre compte et grâce à l’intervention d’Isis qui me demandait simplement de préparer un autre plat, la soirée qu’on a passée en plan avait disparu de mon esprit. J’étais à présent concentré sur l’idée préparée un plat correct et délicieux pour Isis, un plat qu’elle saura refaire sans problème.
- « Dans tous les cas, il nous faut 4 œufs, de la crème liquide, du coulis de tomate, de l’huile végétale, de l’huile d’olive, du sucre en poudre, de l’ail haché, basilic et persil ciselé, origan, poivre et sel. Vous pensez pouvoir retrouver tout cela ? »
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Ma distraction pour changer de sujet avait fonctionné avec brio, j'avais réussi à faire penser à autre chose à Midas. De mon coté c'était clairement autre chose, je pensais encore à cette nuit et surtout au fait que Midas était rassuré que ce soit moi et pas une autre. C'était réciproque mais ensuite? Qu'allais je réellement faire? Est ce que j'allais lui dire que je le trouvais à mon gout, et que je voulais me laisser du temps? Hors de question, ce n'était pas le moment. Geb venait de rentrer et mon focus devait clairement aller la dessus.
Ma requête auprès de Midas avait trouvé un franc succès, il avait totalement mit de coté le sujet de cette nuit et c'était tant mieux pour le coup. Je n'avais pas spécialement envie de continuer à parler de ce sujet, pas maintenant en tout cas. J'avais besoin de temps pour savoir ce que je pouvais réellement ressentir et surtout savoir s'il y avait quelque chose d'autre que de l'attachement envers lui. Certes je l'appréciais mais à quel point cela était il vrai?
Midas avait trouvé une recette simple pour que je puisse manger en cas d'absence de sa part. Le nombre d'ingrédients restait cependant assez impressionnant. Je n'avais pas tout retenu, mais je devais pouvoir adapter cela à mes gouts. Je n'aimais pas spécialement manger épicé bien que la curiosité me poussait parfois à essayer... Je le regardais rassembler les ingrédient dans le calme et surtout le silence. Je me demandais ce qu'il fallait faire, j'avais réellement tout à apprendre de la cuisine.
"Je veux bien essayer d'apprendre, mais si je n'y arrive pas je te laisserai prendre le relai et je pense que j'abandonnerai la cuisine, les servantes savent mieux faire les choses que moi au final."
Je n'étais pas réellement douée pour la cuisine, petite ma mère avait essayé de nous faire faire des gâteaux, le mien n'avait jamais cuit car j'avais mit trop de chocolat par gourmandise, pensant que cela donnerait plus de gout. Au final, j'avais mangé celui qu'elle nous avait fait, pleurant comme une chiffe mole. Je soupirais sur cette pensée avant de prendre les œufs, me doutant que comme dit l'expression : on ne fait pas d'omelette sans casser d'œuf.
"Je... suppose qu'on commence par ca?"
Ca, cette chose, toute droit sortie de l'anus d'une poule.... Rien que d'y penser j'en avais des frisson.
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Je m’occupe alors de rapidement rassembler chaque ingrédient. J’allais devoir lui expliquer chaque étape et la faire participer. Je prenais au passage une gousse d’ail en plus pour préparer une petite astuce surprise pour la Princesse. Elle devrait apprécier le petit tour de magie. Je prends même un ou deux œufs en plus pour m’assurer que la Princesse puisse réessayer si elle ratait.
Une fois tout sur la table, je commence à tout ranger et organiser, m’assurant que tout soit en place. Isis s’approche alors pour me demander si on commençait avec l’œuf en premier.
- « Non, pas tout de suite. On va d’abord s’occuper de la partie la plus simple. »
Je viens prends la sauce tomate ainsi que l’huile, le sucre, l’ail haché, le basilic et persil.
- « D’abord la sauce. On va faire cela étape par étape. 100 g de coulis de tomate dans ce récipient. Vous y rajoutez ensuite une seule cuillère à café d’huile d’olive. Pas les grosses cuillères à soupe, les petites qu’on utilise avec les thés ou les cafés. Une seule cuillère suffira. Vous faites de même avec le sucre, une cuillère à café… Et quand je dis une cuillère, je ne parle pas de la cuillère elle-même. Remplissez la cuillère puis vider là dans le récipient. Une fois cela fait, vous mélangez avec une cuillère à café. Oh, et n'utilisez pas la même cuillère pour deux aliments différents. Ce serait juste salir les autres produits. »
La laissant faire ça, je viens prendre le persil et le basilic, venant rapidement le ciseler avec un couteau en fine tranche. Je n’avais toujours pas envie qu’elle se blesse, donc on allait éviter cela. Sauf qu’elle voulait apprendre. Je me tourne vers elle, arrêtant dans ma coupe pour préparer un petit établi en plus pour elle.
- « Pour le persil et le basilic, vous pourrez demander à une servante de vous le ciseler. Sauf si vous voulez apprendre bien sûr. » Je tapote la place à côté de moi, lui demandant de venir prendre place.
- « Vous savez manier une lance, vous saurez manier un couteau Princesse et le basilic ou le persil ne vous fera pas pleurer. Donc pour ciseler cela. D’abord, vous prenez plusieurs branches de persil, vous en retirer les feuilles et les tiges pour juste garder les feuilles. Vous les posez les unes sur les autres. Pas une montagne, juste 3 ou 5, puis vous les couper sur la largeur en fine tranche dans un mouvement régulier. C’est très simple au final. Je vous ai vu couper les oignons, vous devriez être capable de faire cela, faites juste attention à vos doigts. »
Une fois tout sur la table, je commence à tout ranger et organiser, m’assurant que tout soit en place. Isis s’approche alors pour me demander si on commençait avec l’œuf en premier.
- « Non, pas tout de suite. On va d’abord s’occuper de la partie la plus simple. »
Je viens prends la sauce tomate ainsi que l’huile, le sucre, l’ail haché, le basilic et persil.
- « D’abord la sauce. On va faire cela étape par étape. 100 g de coulis de tomate dans ce récipient. Vous y rajoutez ensuite une seule cuillère à café d’huile d’olive. Pas les grosses cuillères à soupe, les petites qu’on utilise avec les thés ou les cafés. Une seule cuillère suffira. Vous faites de même avec le sucre, une cuillère à café… Et quand je dis une cuillère, je ne parle pas de la cuillère elle-même. Remplissez la cuillère puis vider là dans le récipient. Une fois cela fait, vous mélangez avec une cuillère à café. Oh, et n'utilisez pas la même cuillère pour deux aliments différents. Ce serait juste salir les autres produits. »
La laissant faire ça, je viens prendre le persil et le basilic, venant rapidement le ciseler avec un couteau en fine tranche. Je n’avais toujours pas envie qu’elle se blesse, donc on allait éviter cela. Sauf qu’elle voulait apprendre. Je me tourne vers elle, arrêtant dans ma coupe pour préparer un petit établi en plus pour elle.
- « Pour le persil et le basilic, vous pourrez demander à une servante de vous le ciseler. Sauf si vous voulez apprendre bien sûr. » Je tapote la place à côté de moi, lui demandant de venir prendre place.
- « Vous savez manier une lance, vous saurez manier un couteau Princesse et le basilic ou le persil ne vous fera pas pleurer. Donc pour ciseler cela. D’abord, vous prenez plusieurs branches de persil, vous en retirer les feuilles et les tiges pour juste garder les feuilles. Vous les posez les unes sur les autres. Pas une montagne, juste 3 ou 5, puis vous les couper sur la largeur en fine tranche dans un mouvement régulier. C’est très simple au final. Je vous ai vu couper les oignons, vous devriez être capable de faire cela, faites juste attention à vos doigts. »
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Il avait l'art d'être agaçant quand il expliquait les choses et c'est cela qui m'énervait le plus souvent avec lui. J'avais l'impression actuellement d'être prise pour une gamine de 3ans en train d'apprendre à sortir de chez elle pour la première fois. Le coup de la cuillère me fit souffler un peu plus fort et la tape qu'il avait donné pour signifier que je pouvais venir tel un animal de compagnie avait fini par achever les choses. Comment pouvait il être aussi gentil et chiant à la fois? Je le fixais quelques instant, le regard clairement moins aimable qu'il y a quelques instants écoutant ce qu'il pouvait dire, mais m'en fichant pour le coup totalement. La servante dans la pièce avait bien vu mon changement d'attitude et s'était tournée pour ne pas voir la suite.
"Si vous voulez apprendre bien sur!", Midas avait dit cela par gentillesse, je l'avais prit tout autrement... Le bien sur était de trop à mes yeux. Il se prenait pour mon premier précepteur ou quoi? blablabla ci blablabla ca... Si vous le voulez... Que des phrases que j'avais pu entendre plus jeune et qui avaient le don de me gonfler et il le savait très bien en plus.
"Je crois que je ne veux pas! La façon dont tu agis avec moi ne me va pas. Tu m'as prit pour une enfant de 4 ans et demi?"
Je regarde le couteau à bout rond qu'il a préparer pour que je ne me coupe pas le poussant avant de saisir celui qu'il possède dans les mains. Venant hacher menu les herbes aromatiques, elles ressemblaient maintenant à de petit copeau. Je n'avais pas agit comme une cuisinière mais comme la combattante que j'étais faisant sursauter la servante au vu des coups virulents qui avaient été portés sur cette pauvre planche de découpage. Je regardais alors Midas l'air contrariée et défiante:
"Voilà! Maintenant quand tu me prendras enfin pour une adulte on parlera de faire la suite de la recette ensemble! Pour le moment je n'en ai plus envie et pas la peine de me suivre!"
Je pars de la pièce le laissant totalement en plan, je n'avais plus aucune envie de cuisiner pour le moment. Il avait voulu être trop bienveillant et cela m'avait clairement gavé. J'étais certes de la famille royale, mais s'il fallait aller combattre des monstres en compagnie de Tahira je serai la première sur le champs de bataille. Je fis des aller et retour pendant l'heure suivante, avant de retourner en cuisine, marmonnant comme un vieux marmonnant dans sa barbe mais sans la barbe. Le tout bien sur à l'encontre de Midas et de sa façon débile de faire les choses.
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J’explique chaque étape doucement, faisant bien en sorte qu’elle sache tout ce qu’elle avait à faire et dans quel ordre. Je n’avais pas envie qu’elle fasse soudainement une grave erreur et que cela la dégoûte de la cuisine. Sauf que c’était là mon erreur, sans même que je puisse m’en rendre compte. Je pensais bien faire, mais encore une fois, je me retrouve dans une situation qui me prouve bien que je ne suis pas fait pour m’occuper d’Isis. Enfin, apprendre des choses à Isis plutôt. Ça me faisait plaisir qu’elle vienne me demander des choses, mais je n'étais pas fait pour lui apprendre quoi que ce soit.
C’est alors qu’elle décide soudainement qu’elle ne voulait pas. Isis critiqua qu’elle n’aimait pas ma façon d’agir, que je la prenais pour une enfant de 4 ans. Je… Non, mais elle avait dit clairement qu’elle ne s’y connaissait pas en cuisine. C’est donc normal que je l’accompagne dans chaque étape au départ. C’était le début après tout, lorsqu’on aide quelqu’un qui début, on s’assure que la personne comprend rapidement les règles importantes et fondamentales.
Elle attrape soudainement un couteau à beurre, et massacra le persil ainsi que le basilic, sauvagement et brutalement, simplement pour se défouler devant moi. Elle piquait une crise donc… La Princesse se retourne vers moi, m’affrontant du regard et me disant que si je la prenais enfin comme un adulte, alors nous ferions la recette ensemble. Elle ne voulait plus me voir et ne voulait plus cuisiner.
Comme une tornade, la Princesse sortit de la pièce… Je soupire alors maintenant qu’elle était partie. Note à moi-même, la laisser se débrouiller. Nan, ça serait contradictoire avec mon travail de vassal. Elle avait demandé de l’aide, je n'étais juste pas du tout doué pour cela. Je fixe la porte, réfléchissant quoi faire. La suivre ? Nan. Donc, je dois rester ici et faire quelque chose pour elle. Finir les dolmas ? Oui, c’est certain. Nan, je devais correctement refaire la recette… Nan, non plus ! Je dépose le couteau avant de relever la main sur mon front, mais mon mouvement brusque fait glisser la lame sur le bord de ma main, tranchant légèrement la chair et me forçant à lâcher un petit : « Merde ! » de douleur.
Je reprends une inspiration, voyant le sang doucement couler. Ouais, belle coupure ça. Je passe rapidement la blessure sous l’eau pour la nettoyer sous la douleur avant de venir la panser avec ce que j’avais sous la main.
Une fois soignée, je regarde le plan de travail d’Isis… Puis je le réorganise. Elle voulait être traitée comme une adulte… J’imagine donc que le couteau à bord rond était exagéré de ma part. Je range donc les différentes affaires et organiser son plan de travail comme j’aurais organisé le mien. De quoi mesurer les quantités, les poids, des récipients, des ustensiles de cuisine. Ainsi que les ingrédients pour la recette.
Ensuite, je viens prendre une feuille de papier, recopiant exactement la recette pour faire des omelettes soufflées. Je l’écris de ma plus belle écriture malgré la douleur de ma blessure et avec des étapes clair, net, précise, sans aucune explication supplémentaire. Je note même en bas de page une astuce pour séparer les jaunes d’œuf grâce à des gousses d’ail.
La suite. Je me dirige vers la cuisinière, lui ordonnant qu’une fois son plat terminer et affaires réglé, qu’elle aille prévenir les servants du Prince Geb de lui préparer un bain avec de l’huile essentielle de Miel. Connaissant la Princesse, elle doit sûrement être trop occupée à râler sur moi que pour faire ce qu’elle a prévu de faire. On risquait de ne pas le faire dans les temps sinon. Il fallait s’assurer que tout soit correctement préparer et organiser.
Pour finir, je retourne à mon plan de travail pour préparer mon omelette soufflée en suivant les instructions et puis la mangeant en attendant que les dolmas soient finis. Je prépare, je mange, je range et je m’assure que les dolmas restent aux chauds en attendant qu’Isis finie par revenir.
Habitué aux crises d’Isis ? Moi ? Depuis le temps, ce genre de crise de nerf était un cadeau comparé à ce qu’il y avait avant. Là elle, c’était simplement énervé. Avant, j’aurais bien pu me faire menacer par un couteau ou bien risquer de me prendre une assiette en pleine figure. Je vais donc m’asseoir sur une chaise, sortant mon bloc-notes et écrivant dedans sur ma journée et sur comment je devais me comporter sur Isis en cuisine. Jusqu’à ce que la Princesse décide d’entrer dans la cuisine.
À ce moment, je mets tait, ne dit rien, fait une révérence comme devrait le faire un vassal à son seigneur, puis lui indique le plat de dolmas ainsi que le plan de travail que je lui avais préparé.
- « Les dolmas sont prêts. J’ai demandé à une servante de préparer le bain pour Geb comme vous aviez demandé et j’ai préparé votre plan de travail, Princesse. La recette des omelettes soufflé est notée sur la feuille ici. Je resterai ici pour répondre à vos demandes. »
Mon ton n’est pas différent que d’habitude, pas spécial, pas méchant ou mauvais. Juste clair et précis, comme je le ferais avec n’importe qui d’autre.
C’est alors qu’elle décide soudainement qu’elle ne voulait pas. Isis critiqua qu’elle n’aimait pas ma façon d’agir, que je la prenais pour une enfant de 4 ans. Je… Non, mais elle avait dit clairement qu’elle ne s’y connaissait pas en cuisine. C’est donc normal que je l’accompagne dans chaque étape au départ. C’était le début après tout, lorsqu’on aide quelqu’un qui début, on s’assure que la personne comprend rapidement les règles importantes et fondamentales.
Elle attrape soudainement un couteau à beurre, et massacra le persil ainsi que le basilic, sauvagement et brutalement, simplement pour se défouler devant moi. Elle piquait une crise donc… La Princesse se retourne vers moi, m’affrontant du regard et me disant que si je la prenais enfin comme un adulte, alors nous ferions la recette ensemble. Elle ne voulait plus me voir et ne voulait plus cuisiner.
Comme une tornade, la Princesse sortit de la pièce… Je soupire alors maintenant qu’elle était partie. Note à moi-même, la laisser se débrouiller. Nan, ça serait contradictoire avec mon travail de vassal. Elle avait demandé de l’aide, je n'étais juste pas du tout doué pour cela. Je fixe la porte, réfléchissant quoi faire. La suivre ? Nan. Donc, je dois rester ici et faire quelque chose pour elle. Finir les dolmas ? Oui, c’est certain. Nan, je devais correctement refaire la recette… Nan, non plus ! Je dépose le couteau avant de relever la main sur mon front, mais mon mouvement brusque fait glisser la lame sur le bord de ma main, tranchant légèrement la chair et me forçant à lâcher un petit : « Merde ! » de douleur.
Je reprends une inspiration, voyant le sang doucement couler. Ouais, belle coupure ça. Je passe rapidement la blessure sous l’eau pour la nettoyer sous la douleur avant de venir la panser avec ce que j’avais sous la main.
Une fois soignée, je regarde le plan de travail d’Isis… Puis je le réorganise. Elle voulait être traitée comme une adulte… J’imagine donc que le couteau à bord rond était exagéré de ma part. Je range donc les différentes affaires et organiser son plan de travail comme j’aurais organisé le mien. De quoi mesurer les quantités, les poids, des récipients, des ustensiles de cuisine. Ainsi que les ingrédients pour la recette.
Ensuite, je viens prendre une feuille de papier, recopiant exactement la recette pour faire des omelettes soufflées. Je l’écris de ma plus belle écriture malgré la douleur de ma blessure et avec des étapes clair, net, précise, sans aucune explication supplémentaire. Je note même en bas de page une astuce pour séparer les jaunes d’œuf grâce à des gousses d’ail.
La suite. Je me dirige vers la cuisinière, lui ordonnant qu’une fois son plat terminer et affaires réglé, qu’elle aille prévenir les servants du Prince Geb de lui préparer un bain avec de l’huile essentielle de Miel. Connaissant la Princesse, elle doit sûrement être trop occupée à râler sur moi que pour faire ce qu’elle a prévu de faire. On risquait de ne pas le faire dans les temps sinon. Il fallait s’assurer que tout soit correctement préparer et organiser.
Pour finir, je retourne à mon plan de travail pour préparer mon omelette soufflée en suivant les instructions et puis la mangeant en attendant que les dolmas soient finis. Je prépare, je mange, je range et je m’assure que les dolmas restent aux chauds en attendant qu’Isis finie par revenir.
Habitué aux crises d’Isis ? Moi ? Depuis le temps, ce genre de crise de nerf était un cadeau comparé à ce qu’il y avait avant. Là elle, c’était simplement énervé. Avant, j’aurais bien pu me faire menacer par un couteau ou bien risquer de me prendre une assiette en pleine figure. Je vais donc m’asseoir sur une chaise, sortant mon bloc-notes et écrivant dedans sur ma journée et sur comment je devais me comporter sur Isis en cuisine. Jusqu’à ce que la Princesse décide d’entrer dans la cuisine.
À ce moment, je mets tait, ne dit rien, fait une révérence comme devrait le faire un vassal à son seigneur, puis lui indique le plat de dolmas ainsi que le plan de travail que je lui avais préparé.
- « Les dolmas sont prêts. J’ai demandé à une servante de préparer le bain pour Geb comme vous aviez demandé et j’ai préparé votre plan de travail, Princesse. La recette des omelettes soufflé est notée sur la feuille ici. Je resterai ici pour répondre à vos demandes. »
Mon ton n’est pas différent que d’habitude, pas spécial, pas méchant ou mauvais. Juste clair et précis, comme je le ferais avec n’importe qui d’autre.
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Il s'était donc occupé de m'écrire la recette sur une simple note ainsi que de faire ordonner mes idées en mon absence. Je vois qu'il s'est également fait mal à la main mais ne relève aucunement ce détail, ne voulant pas lui laisser du terrain. Les dolmas étaient soigneusement posés dans un plat, ils n'attendaient qu'à être déposés sur le bureau de mon frère. J'espérais cependant que ces derniers étaient bons... Je n'avais pas spécialement faim après avoir vu toute cette nourriture, mais je comptais bien apprendre à faire cette foutue omelette. Je regardais la note de Midas suivant les instructions dessus et ne faisant pas attention à lui. Pour un ingénieur il n'avait pas une écriture de cochon, mais l'on pouvait voir qu'il en avait certainement bavé pour écrire de sa main blessée. Je soupirais quelques fois en suivant la recette écrite sur le papier. Quelques minutes plus tard j'allais amener l'assiette devant le nez de mon cher vassal lâchant le plus froidement du monde afin de marquer que je n'étais toujours pas prête de lui pardonner:
"Goûtes!"
S'il refusait j'allais lui faire manger de force, avec une main en moins je n'allais clairement pas devoir forcer énormément les choses. Je le laissais gouter ma création avant de reposer l'assiette sur le plan de travail disposant un peu mieux les dolmas dans le plat, je voulais juste que mon frère voit que c'était fait de ma main et pas de celle de quelqu'un d'autre. J'y avais allégrement participé, mais je n'étais juste pas sure du résultat. Je regardais un peu ce qu'il pouvait y avoir dans la cuisine avant de soupirer regardant Midas du coin de l'oeil:
"Je reviens...."
J'avais prit le plat de dolmas avec moi pour les déposer sur le bureau de Geb, j'avais attraper une servante au passage pour lui demander de quoi désinfecter une plaie et un bandage. Ca je savais parfaitement faire et je n'avais besoin d'aucune explications. En revenant à la cuisine quelques instants plus tard, je vins retirer le bandage de fortune de la main de Midas avant de lui dire pour le sermonner:
"Une plaie ca se soigne! On ne met pas un vulgaire torchon dessus! T'imagines si demain tu meurs à cause de ça? Je fais comment après? Je vais encore me retrouver avec un précepteur ou alors un nouveau vassal et je devrais de nouveau faire bonne figure, me cacher et surtout je serai tout de même triste que tu ne sois plus là!"
Oui je serai surtout triste, le reste m'importais peu à vrai dire, nouveau vassal ou non, si j'ordonnais quelque chose il ne pouvait pas réellement me contredire après tout....
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Sans un seul mot de sa part, la Princesse se dirige vers le plan de travail et suit les instructions, cuisinant tranquillement. Elle suivait la recette à la lettre, faisant bien attention à ce qui avait été écrit, je la voyais quand même soupirer légèrement devant mon écriture. Elle devait probablement ne pas apprécier mon écriture. J’ai pourtant fait de nombreux efforts pour améliorer mon écriture depuis que je suis à son service et encore plus pour écrire cette recette vu ma blessure qui me déconcentrait assez fortement.
J’attends donc sans rien dire, observant ce qu’elle faisait et prenant encore des notes dans mon bloc-notes. Je détaillais ce qu’elle faisait, réfléchissant à deux trois idées pour la faire travailler aussi sérieusement sans forcément l’énerver. Si un jour, elle finissait par voir mon carnet de notes, elle me tuerait. Le petit cahier était rempli de très nombreux détails sur elle, trop nombreux même. Que ce soient les mesures exactes qu’il fallait pour lui faire ses bijoux, son attitude, ses centres d’intérêt, ses activités journalières, ses tiques et parfois même des portraits d’elle alors qu’elle était occupée à quelque chose. La meilleure façon de laisser une marque dans ce monde est par l’écriture, donc je m’assurais que le côté de la Princesse dont je suis le seul à connaître l’existence était bien marqué quelque part.
Elle dépose alors son plat face à moi, presque en risquant de casser l’assiette et en donnant un seul ordre unique. Je ne dis rien, ne soupirant pas et prenant des couverts pour goûter le plat. Je vérifie rapidement la texture extérieure et l’aspect spongieux de l’omelette… Légèrement différent de moi, mais pas d’erreur visible. Je coupe un morceau moelleux, le mangeant. Meilleur que le mien pour le coup, pourtant la recette était la même. Étrange.
- « Vous avez réussi votre omelette soufflée, Princesse. »
Ainsi, elle part directement vers les dolmas sans s’occuper de moi. Parfait, j’allais pouvoir partir soigner ma blessure le temps qu’elle aille donner cela au Prince Geb. Sauf qu’Isis avait d’autres plans. Elle me dit juste qu’elle revenait… Donc j’allais devoir rester ici avec ma blessure. Je réinstalle dans ma chaise et continue de prendre des notes, faisant attention que mon écriture ne soit pas illisible là-dedans non plus.
Néanmoins, la Princesse finit par revenir plus vite que prévu, elle s'était visiblement me dépêcher. Pour moi, on dirait, car alors que j’ai à peine le temps de ranger mon carnet qu’elle attrape ma main blessé, retirant le pansement de fortune pour me soigner correctement. Avec cela, elle vient me donner une leçon rapide, me disant que je devais soigner correctement ma blessure, mais aussi qu’elle était inquiète. Pour elle et moi. Elle avait peur que je puisse mourir soudainement, la forçant à avoir quelqu’un pour me remplacer. Je n’avais aucune chance de mourir de cela, donc ma blessure lui a rappelé la fragilité des humains et aussi l’histoire de sa mère.
Elle insista surtout qu’elle serait triste que je ne sois plus là… Je n’avais aucune idée si elle était triste pour moi, ou simplement triste, car elle se rappellerait ce qu’il y a eu avec la reine. Je penchais pour la deuxième option, je suis son vassal après tout, celui qui s'était occupé d’elle après la mort de sa mère, me voir mourir risquerait de lui rappeler des souvenirs fort douloureux.
- « Je comptais me soigner et m’occuper de moi seulement après que vous aurez été satisfaite Princesse. »
Je ne savais pas quoi lui répondre de plus par contre… Oui, elle serait triste. Oui, c’était de ma faute, car je n’ai pas fait attention. M’excuser pour mon comportement plutôt ? Probablement, j’ai eu une heure pour réfléchir à quoi lui dire.
- « Princesse, je souhaite m’excuser pour le comportement inacceptable que j’ai eu avec vous plutôt. Je ne souhaitais pas vous traiter comme un enfant. Vous aviez dit que vous n’étiez pas doué avec la cuisine et que vous ne souhaitiez pas être blessé. J’ai du prendre cela trop à cœur, vous accompagnant à chaque étape et j’ai agi d’une façon trop protectrice avec vous. Je m’en excuse Princesse. Je fais un piètre vassal lorsqu’il s’agit de vous apprendre ou vous traitez comme il le faudrait. Je ferais encore de mon mieux pour vous satisfaire et remplir vos attentes. »
J’attends donc sans rien dire, observant ce qu’elle faisait et prenant encore des notes dans mon bloc-notes. Je détaillais ce qu’elle faisait, réfléchissant à deux trois idées pour la faire travailler aussi sérieusement sans forcément l’énerver. Si un jour, elle finissait par voir mon carnet de notes, elle me tuerait. Le petit cahier était rempli de très nombreux détails sur elle, trop nombreux même. Que ce soient les mesures exactes qu’il fallait pour lui faire ses bijoux, son attitude, ses centres d’intérêt, ses activités journalières, ses tiques et parfois même des portraits d’elle alors qu’elle était occupée à quelque chose. La meilleure façon de laisser une marque dans ce monde est par l’écriture, donc je m’assurais que le côté de la Princesse dont je suis le seul à connaître l’existence était bien marqué quelque part.
Elle dépose alors son plat face à moi, presque en risquant de casser l’assiette et en donnant un seul ordre unique. Je ne dis rien, ne soupirant pas et prenant des couverts pour goûter le plat. Je vérifie rapidement la texture extérieure et l’aspect spongieux de l’omelette… Légèrement différent de moi, mais pas d’erreur visible. Je coupe un morceau moelleux, le mangeant. Meilleur que le mien pour le coup, pourtant la recette était la même. Étrange.
- « Vous avez réussi votre omelette soufflée, Princesse. »
Ainsi, elle part directement vers les dolmas sans s’occuper de moi. Parfait, j’allais pouvoir partir soigner ma blessure le temps qu’elle aille donner cela au Prince Geb. Sauf qu’Isis avait d’autres plans. Elle me dit juste qu’elle revenait… Donc j’allais devoir rester ici avec ma blessure. Je réinstalle dans ma chaise et continue de prendre des notes, faisant attention que mon écriture ne soit pas illisible là-dedans non plus.
Néanmoins, la Princesse finit par revenir plus vite que prévu, elle s'était visiblement me dépêcher. Pour moi, on dirait, car alors que j’ai à peine le temps de ranger mon carnet qu’elle attrape ma main blessé, retirant le pansement de fortune pour me soigner correctement. Avec cela, elle vient me donner une leçon rapide, me disant que je devais soigner correctement ma blessure, mais aussi qu’elle était inquiète. Pour elle et moi. Elle avait peur que je puisse mourir soudainement, la forçant à avoir quelqu’un pour me remplacer. Je n’avais aucune chance de mourir de cela, donc ma blessure lui a rappelé la fragilité des humains et aussi l’histoire de sa mère.
Elle insista surtout qu’elle serait triste que je ne sois plus là… Je n’avais aucune idée si elle était triste pour moi, ou simplement triste, car elle se rappellerait ce qu’il y a eu avec la reine. Je penchais pour la deuxième option, je suis son vassal après tout, celui qui s'était occupé d’elle après la mort de sa mère, me voir mourir risquerait de lui rappeler des souvenirs fort douloureux.
- « Je comptais me soigner et m’occuper de moi seulement après que vous aurez été satisfaite Princesse. »
Je ne savais pas quoi lui répondre de plus par contre… Oui, elle serait triste. Oui, c’était de ma faute, car je n’ai pas fait attention. M’excuser pour mon comportement plutôt ? Probablement, j’ai eu une heure pour réfléchir à quoi lui dire.
- « Princesse, je souhaite m’excuser pour le comportement inacceptable que j’ai eu avec vous plutôt. Je ne souhaitais pas vous traiter comme un enfant. Vous aviez dit que vous n’étiez pas doué avec la cuisine et que vous ne souhaitiez pas être blessé. J’ai du prendre cela trop à cœur, vous accompagnant à chaque étape et j’ai agi d’une façon trop protectrice avec vous. Je m’en excuse Princesse. Je fais un piètre vassal lorsqu’il s’agit de vous apprendre ou vous traitez comme il le faudrait. Je ferais encore de mon mieux pour vous satisfaire et remplir vos attentes. »
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S'occuper de soi même en dernier alors que l'on est blessé, mais quelle idée avait il eut? On se coupe on se soigne, c'est la règle, pour le coup ne pas se soigner pouvait entrainer pas mal de complications. J'avais déjà vu des soldats sur le terrain se faire attaquer part des armes de fortune et perdre un membre par la suite. Les couteaux de la cuisine n'étaient pas rouillé ou peu entretenus mais l'on ne sait jamais, un accident arrive bien vite. J'avais choisis de me spécialiser dans le soin tout comme Geb après la lance afin de pouvoir sauver un maximum de vie sur le terrain.
Il avait fait tout un tas d'excuses que je n'avais clairement pas demandés. Je n'avais pas besoin d'excuses de sa part, mais plutôt qu'il fasse gaffe à son comportement. Il avait été protecteur, voir un peu trop protecteur pour le coup. Je n'avais clairement pas besoin que l'on me protège, surtout pas dans une cuisine où au pire des cas j'allais me couper le doigt... Rien de grave en soit. Je soupirais en le voyant s'excuser, j'avais envie de hurler mais je n'en fis rien. Il était réellement trop gentil, mais très maladroit à la fois. Je vins alors lui tapoter le dos lâchant alors :
"Tu vois Midas.... Quand t'es comme ça aussi j'ai envie de te crier dessus ou de te taper! Mais je ne le ferai pas.... Juste prend en compte les sentiments des autres avant de faire n'importe quoi, n'importe comment! "
J'essayais de le conseiller comme je pouvais pour qu'il n'arrête de me couver comme s'il était ma mère. Je soupirais un peu avant de m'écarter de lui. Il semblait avoir apprécier mon omelette vu que l'assiette était totalement vide sur le le bord du plan de travail, au final je n'avais rien mangé mais je n'avais clairement pas faim. Je pouvais constater que la servante n'était maintenant plus là. Je commençais à me demander s'il allait de nouveau parler du fameux sujet... Je désespérais à cette idée, non pas que je n'avais pas envie d'en savoir plus mais je n'étais pas encore totalement à l'aise avec le sujet. Je devais prendre les devant avant de me retrouver coincée:
"Je... J'aimerai qu'on évite de reparler du sujet fâcheux si possible pour le moment... J'ai besoin d'un temps pour remettre mes idées en ordre et surtout réfléchir à la suite de tout ça..."
J'avais nommé cela fâcheux car je ne me souvenais de pas grand chose... Mais ce n'était pas tellement le bon adjectif pour ma part.
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Pas de cri, pas de colère… Mais pas non plus de remerciement ou d’excuse en retour. À place, Isis vient doucement tapoter le dos comme si j’étais son ami. J’imagine qu’elle se comportait avec moi comme elle le ferait avec un de ses camarades dans un des bars. Elle avait un don pour s’entendre avec le peuple et je n’avais aucune idée de comment elle faisait cela. Elle m’expliqua à mon tour que quand j’étais comme cela, elle voulait me cirer dessus ou me taper… Quand j’étais comment ? Comme ça maintenant, ou avant quand je lui expliquais de la mauvaise façon ? La question mentale n’avait pas de réponse et à la place, elle voulait que je prenne en compte les sentiments des autres avant de faire quelque chose. Nan, elle a dit "aussi". Donc c’est pour les deux cas.
J’en fronce directement les sourcils sur le coup, un poil énervé d’un simple petit détail. Un simple petit chose que la Princesse n’avait pas réalisée sur le moment. Elle soupira et s’éloigner alors que je viens frotter mes yeux, gardant mon calme et essayant de ne pas répliquer directement. Elle venait de se calmer, j’allais éviter de la provoquer directement. Je prends le temps de me calmer, écoutant si elle avait autre chose à me dire.
La princesse reprend la parole pour recommencer à parler, pour parler d’un sujet très spécifique. Elle souhaitait ne pas reparler du sujet fâcheux, c’est-à-dire la nuit que nous avions passée ensemble. Elle voulait du temps, pour réfléchir à quoi faire et remettre de l’ordre dans ses idées. Je hoche doucement la tête, prenant le temps d’inspirer et répondre à mon tour.
- « Comme vous le voulez. Quand vous serez prête, je serais là pour discuter de ce sujet avec vous. »
Je m’arrête dans ma phrase puis me relance, imaginant que j’allais probablement l’énerver encore, sauf qu’il fallait que je m’explique aussi et m’excuse.
- « Princesse… Je… Cela fait plus de 5 ans que je vous sers. Vous le savez aussi bien que moi que j’essaye de prendre compte de vos sentiments à tout moment afin de mieux vous connaître et d'apprendre sur vous. Mais même avec tout ce que j’ai pu apprendre dans ma vie et toutes les compétences que j’ai pu acquérir, je n’ai jamais pas doué pour cela. Je continuerai de faire de mon mieux pour ne pas vous décevoir une fois de plus. Comme je l’ai toujours fait, je le promets. »
Comment continuer ? Mince, d’habitude, j’arrive à rapidement à trouver quelque chose à dire pour passer de manière fluide d’un sujet à l’autre. Mon regard se balade dans la cuisine alors qu’une seule chose me vient à l’esprit.
- « Vous voulez que je vous cuisine quelque chose Princesse ? Il me semble que vous n’avez rien mangé depuis que vous vous êtes levé. »
J’en fronce directement les sourcils sur le coup, un poil énervé d’un simple petit détail. Un simple petit chose que la Princesse n’avait pas réalisée sur le moment. Elle soupira et s’éloigner alors que je viens frotter mes yeux, gardant mon calme et essayant de ne pas répliquer directement. Elle venait de se calmer, j’allais éviter de la provoquer directement. Je prends le temps de me calmer, écoutant si elle avait autre chose à me dire.
La princesse reprend la parole pour recommencer à parler, pour parler d’un sujet très spécifique. Elle souhaitait ne pas reparler du sujet fâcheux, c’est-à-dire la nuit que nous avions passée ensemble. Elle voulait du temps, pour réfléchir à quoi faire et remettre de l’ordre dans ses idées. Je hoche doucement la tête, prenant le temps d’inspirer et répondre à mon tour.
- « Comme vous le voulez. Quand vous serez prête, je serais là pour discuter de ce sujet avec vous. »
Je m’arrête dans ma phrase puis me relance, imaginant que j’allais probablement l’énerver encore, sauf qu’il fallait que je m’explique aussi et m’excuse.
- « Princesse… Je… Cela fait plus de 5 ans que je vous sers. Vous le savez aussi bien que moi que j’essaye de prendre compte de vos sentiments à tout moment afin de mieux vous connaître et d'apprendre sur vous. Mais même avec tout ce que j’ai pu apprendre dans ma vie et toutes les compétences que j’ai pu acquérir, je n’ai jamais pas doué pour cela. Je continuerai de faire de mon mieux pour ne pas vous décevoir une fois de plus. Comme je l’ai toujours fait, je le promets. »
Comment continuer ? Mince, d’habitude, j’arrive à rapidement à trouver quelque chose à dire pour passer de manière fluide d’un sujet à l’autre. Mon regard se balade dans la cuisine alors qu’une seule chose me vient à l’esprit.
- « Vous voulez que je vous cuisine quelque chose Princesse ? Il me semble que vous n’avez rien mangé depuis que vous vous êtes levé. »
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