Une lourde aspiration rompt le silence dans son lit. Il se redresse, le corps trempé par les sueurs froides. Agité par son réveil, il ne regarde pas autour de lui, mais il réalise bien vite qu’il n’est plus agressé par ses cauchemars.
Quelle était la source de sa terreur ? Il ne s’en souvient déjà plus.
La soudaine aspiration se fait finalement brûlante, déroutante. Sa main se porte à sa gorge par réflexe à la soudaine sensation qui lui prend.
Sa gorge est comme asséchée. Contre sa main il perçoit l’horreur d’un contact humide et déroutant, son majeur s’enfonce plus loin qu’il ne l’aurait cru sur son cou.
Et finalement le déclic.
Sa gorge a subit le baiser d’une lame.
Comment était-ce possible ? Il croit rêver.
Il aurait voulu crier, mais sa voix ne porte pas, elle émet un gargouilli immonde et une quinte de toux le prend soudainement. Geb est comme tétanisé lorsqu’il réalise qu’une mixture opaque dégouline contre sa paume, l’odeur du sang innonde ses narines.
Mais heureusement pour lui il n’est pas seul, désorienté, mais encore clair dans ce qu’il doit faire, il cherche rapidement dans l’assistance une explication. Etait-il souffrant ? Blessé ? Comment une blessure pareille pouvait lui permettre encore de se lever ?
Sa voix essaie encore de s’élever dans la pièce, mais elle n’est qu’un murmure dans le vague, le son d’un battement d’aile dans le plus grand calme.
“Qu’est-ce qui m’arrive ? Où suis-je ?”
Quelle était la source de sa terreur ? Il ne s’en souvient déjà plus.
La soudaine aspiration se fait finalement brûlante, déroutante. Sa main se porte à sa gorge par réflexe à la soudaine sensation qui lui prend.
Sa gorge est comme asséchée. Contre sa main il perçoit l’horreur d’un contact humide et déroutant, son majeur s’enfonce plus loin qu’il ne l’aurait cru sur son cou.
Et finalement le déclic.
Sa gorge a subit le baiser d’une lame.
Comment était-ce possible ? Il croit rêver.
Il aurait voulu crier, mais sa voix ne porte pas, elle émet un gargouilli immonde et une quinte de toux le prend soudainement. Geb est comme tétanisé lorsqu’il réalise qu’une mixture opaque dégouline contre sa paume, l’odeur du sang innonde ses narines.
Mais heureusement pour lui il n’est pas seul, désorienté, mais encore clair dans ce qu’il doit faire, il cherche rapidement dans l’assistance une explication. Etait-il souffrant ? Blessé ? Comment une blessure pareille pouvait lui permettre encore de se lever ?
Sa voix essaie encore de s’élever dans la pièce, mais elle n’est qu’un murmure dans le vague, le son d’un battement d’aile dans le plus grand calme.
“Qu’est-ce qui m’arrive ? Où suis-je ?”