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Yamato Gyokuyô
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Kanagawa
« Le peuple d’Akielos nous accueille mais d’après les rumeurs qui courent, certains parlent de domaine hanté, ce qui les empêcherait de recevoir des invités Kanagawais pour une durée indéterminée. Nous ne nous occupons pas de ce genre de problèmes d’habitude, mais nous savons que ces histoires ne vous font ni chaud ni froid. Vous avez pour mission d’enquêter dans le domaine du noble qui répond au nom de Nikos Kazantzakis. J’attends un rapport dans quelques jours, et j’espère que les nouvelles seront bonnes. N’oubliez pas votre élève “problématique”, il faut que les recrues soient formées et opérationnelles au plus vite. Vu les temps que nous traversons … Cela ne sera pas de trop. »
Acquiesçant simplement devant l’ordre de ton supérieur, tu t’éclipses rapidement pour démarrer ta mission. Une maison hantée ? Voilà qui fait bondir ton cœur de joie. Tu as toujours aimé ces histoires de fantômes et d’esprits, et cela ne te fait aucunement peur. Au contraire, tu es comme une enfant à qui l’on aurait demandé de choisir un cadeau pour son anniversaire. Bien décidée à mener à bien la tâche qu’on vient de te confier, les heures suivantes se sont composées de recherches et de questions posées auprès des habitants.
D’abord, les roturiers, qui sont plus accessibles et moins méfiants lorsqu’ils s’aperçoivent qu’une autre roturière vient les accoster. Certains se sont montrés enthousiastes à l’idée de vendre les méfaits d’un noble, comme ce Nikos. Bien qu’il ait plutôt bonne réputation, et que son unique livre suffise à lui apporter les revenus nécessaires pour financer une immense villa avec vue sur la mer, les potins vont bon train. De la vanité à la cupidité, on le vend comme une personne qui a du mal à partager, quelqu’un qui se dépeint comme “altruiste et humaniste” alors qu’il serait en réalité un énième noble pourri.
Vrai ou faux, à toi de démêler tout ceci.
Le jour de la rencontre avec cet écrivain de renom, tu as levé les yeux sur l’immense demeure qui se trouvait devant toi, palissant à l’idée de vivre dans un endroit aussi grand, tout seul. Les grands espaces vides, c’est plutôt étrange, et généralement synonyme de solitude. Ton regard se pose sur la petite Naoto à tes côtés, que tu as été chercher à cheval, avant d’entamer un chemin de presque une heure pour arriver ici.
Tu lui adresses un léger sourire, et poses une main réconfortante sur le haut de sa tête.
« Ne t’en fais pas, je suis certaine que ce ne sont que des rumeurs. »
Tu as bien remarqué que depuis que tu lui as expliqué votre mission, elle est plus tendue que la corde d’un arc, et qu’au moindre bruit étrange, elle risque de se briser. Même si ton âme aventureuse et adoratrice des histoires de fantômes espère qu’il y aura des évènements étranges, tu croises également les doigts pour que ce ne soit rien de tragique et que votre mission se terminera avec une bonne fin.
Tu as soulevé le heurtoir doré de la porte pour frapper de quelques coups, et c’est presque avec précipitation et nervosité que le noble vous a ouvert. Il a glissé un œil dans l'entrebâillement de la porte. Tu as plissé les yeux, observant le comportement visiblement excessif de cet homme. Tu aurais presque envie de croire qu’il a réellement vu un fantôme.
« Vous êtes là pour les fantômes de ma maison … ? »
Un léger haussement de sourcils déforme ton front en l’écoutant murmurer, avant que tu ne reprennes un air impassible et professionnel.
« Oui, c’est ça. »
Il regarde la petite un instant, se questionnant probablement sur la raison de sa présence, puis ouvre la porte pour vous laisser entrer. La demeure est plongée dans le noir, rideaux épaix tirés sur les immenses fenêtres. Seule une lanterne dans sa main permet de voir les contours de sa silhouette et son visage terrifié.
« Ne parlez pas trop fort, ils vont vous entendre. Je sais que vous ne me croyez pas mais je les ai vus de mes propres yeux. Ils m’ont interdit de sortir, et je ne dors plus la nuit. J’ai si peur que je préfère rester dans le noir. ça m’évite de voir des objets de déplacer ou des ombres courir dans la villa … »
« Nous allons faire de notre mieux. »
Tu t’es également mis à parler à voix basse pour éviter de contrarier le noble qui regarde dans tous les sens. Tu supposes qu’il est dans une telle paranoïa qu’il ne parvient pas à démêler le vrai du faux, mais tu ne veux pas non plus émettre de théories, à peine arrivée.
Sans plus de cérémonie, Nikos vous conduit dans une pièce qui sera votre chambre pour quelques jours, et vous remet : lanterne et plans de la villa pour vous diriger à votre convenance. Tu laisses un petit soupir t’échapper en fouillant dans le fond de ton sac de voyage.
« Qu’en penses-tu, Naoto ? En tant que Kunoichi, tes sens doivent être aiguisés à chaque instant. »
Acquiesçant simplement devant l’ordre de ton supérieur, tu t’éclipses rapidement pour démarrer ta mission. Une maison hantée ? Voilà qui fait bondir ton cœur de joie. Tu as toujours aimé ces histoires de fantômes et d’esprits, et cela ne te fait aucunement peur. Au contraire, tu es comme une enfant à qui l’on aurait demandé de choisir un cadeau pour son anniversaire. Bien décidée à mener à bien la tâche qu’on vient de te confier, les heures suivantes se sont composées de recherches et de questions posées auprès des habitants.
D’abord, les roturiers, qui sont plus accessibles et moins méfiants lorsqu’ils s’aperçoivent qu’une autre roturière vient les accoster. Certains se sont montrés enthousiastes à l’idée de vendre les méfaits d’un noble, comme ce Nikos. Bien qu’il ait plutôt bonne réputation, et que son unique livre suffise à lui apporter les revenus nécessaires pour financer une immense villa avec vue sur la mer, les potins vont bon train. De la vanité à la cupidité, on le vend comme une personne qui a du mal à partager, quelqu’un qui se dépeint comme “altruiste et humaniste” alors qu’il serait en réalité un énième noble pourri.
Vrai ou faux, à toi de démêler tout ceci.
Le jour de la rencontre avec cet écrivain de renom, tu as levé les yeux sur l’immense demeure qui se trouvait devant toi, palissant à l’idée de vivre dans un endroit aussi grand, tout seul. Les grands espaces vides, c’est plutôt étrange, et généralement synonyme de solitude. Ton regard se pose sur la petite Naoto à tes côtés, que tu as été chercher à cheval, avant d’entamer un chemin de presque une heure pour arriver ici.
Tu lui adresses un léger sourire, et poses une main réconfortante sur le haut de sa tête.
« Ne t’en fais pas, je suis certaine que ce ne sont que des rumeurs. »
Tu as bien remarqué que depuis que tu lui as expliqué votre mission, elle est plus tendue que la corde d’un arc, et qu’au moindre bruit étrange, elle risque de se briser. Même si ton âme aventureuse et adoratrice des histoires de fantômes espère qu’il y aura des évènements étranges, tu croises également les doigts pour que ce ne soit rien de tragique et que votre mission se terminera avec une bonne fin.
Tu as soulevé le heurtoir doré de la porte pour frapper de quelques coups, et c’est presque avec précipitation et nervosité que le noble vous a ouvert. Il a glissé un œil dans l'entrebâillement de la porte. Tu as plissé les yeux, observant le comportement visiblement excessif de cet homme. Tu aurais presque envie de croire qu’il a réellement vu un fantôme.
« Vous êtes là pour les fantômes de ma maison … ? »
Un léger haussement de sourcils déforme ton front en l’écoutant murmurer, avant que tu ne reprennes un air impassible et professionnel.
« Oui, c’est ça. »
Il regarde la petite un instant, se questionnant probablement sur la raison de sa présence, puis ouvre la porte pour vous laisser entrer. La demeure est plongée dans le noir, rideaux épaix tirés sur les immenses fenêtres. Seule une lanterne dans sa main permet de voir les contours de sa silhouette et son visage terrifié.
« Ne parlez pas trop fort, ils vont vous entendre. Je sais que vous ne me croyez pas mais je les ai vus de mes propres yeux. Ils m’ont interdit de sortir, et je ne dors plus la nuit. J’ai si peur que je préfère rester dans le noir. ça m’évite de voir des objets de déplacer ou des ombres courir dans la villa … »
« Nous allons faire de notre mieux. »
Tu t’es également mis à parler à voix basse pour éviter de contrarier le noble qui regarde dans tous les sens. Tu supposes qu’il est dans une telle paranoïa qu’il ne parvient pas à démêler le vrai du faux, mais tu ne veux pas non plus émettre de théories, à peine arrivée.
Sans plus de cérémonie, Nikos vous conduit dans une pièce qui sera votre chambre pour quelques jours, et vous remet : lanterne et plans de la villa pour vous diriger à votre convenance. Tu laisses un petit soupir t’échapper en fouillant dans le fond de ton sac de voyage.
« Qu’en penses-tu, Naoto ? En tant que Kunoichi, tes sens doivent être aiguisés à chaque instant. »
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The man who has a conscience suffers whilst acknowledging his sin. That is his punishment. It takes something more than intelligence to act intelligently.
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519
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Jiyan de WuWa
Featuring :
Graph BG
Crédits :
Frame :
Sprite :
09
Niveau :
81/90
Expérience :
23 475
Écus :
-- EQUIPÉS --
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
Inventaire :
Kusarigama E
Arme par défaut :
PV 41 | FOR 17 | MAG 18 | VIT 07 | TEC 06 | DEF 20 | RES 13 | MVT 04
Stats :
E D
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
Armes :
00
Etage Tour :
03
Missions accomplies :
1092
Réputation :
MAG+2
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Maitrises :
Veuf
Statut :
Soutien S :
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Il nous faut autour de nous, des hommes qui pensent et qui parlent. Quand nous sommes seuls longtemps, nous peuplons le vide de fantômes.
Le Horla - Maupassant
Le Horla - Maupassant
Ghost Stories [Naoto/Yamato]
Quand elle est venue me chercher, la curiosité m'envahissait, accompagnée de centaines de questions. Mais il ne fallut qu'un mot pour commencer à me perdre... Hantée.
Mon esprit imagine, sans le moindre doute sur la réalité de leur existence, une centaine de fantômes qui commencent déjà à poser leurs mains sur mes épaules, compatissant à mon égard. J'ai envie de rester ici. Puis les fantômes, c'est moins crédible qu'un Ursicéran ou un Tengu... Peut-être qu'ils n'existent tout simplement pas et qu'on va là-bas pour rien... Naoki disait que des gens se mettent à marcher sur les murs en faisant tourner leur tête quand ils sont possédés par des fantômes... Tu parles de quelque chose d'impossible ! Mais maintenant que j'y pense... Non ! Non ! Et non !
Mais la décision de Yamato est déjà prise. Je n'aurai qu'à me recroqueviller le temps que les fantômes cessent de danser la gavotte autour de moi. Et puis je crois me souvenir que Yamato est du genre à aimer ça... Les fantômes, je veux dire, les histoires précisément. Parce que je n'imagine pas Yamato danser la gavotte... Quoi que maintenant... Ho.
Toujours avec son sourire léger quand elle me regarde, je ne sais jamais quand je pourrais vraiment lui dire quelque chose. Est-ce que je lui avais déjà adressé un mot ? Je ne sais pas... Agrippée à Yamato alors que son cheval file à travers les terres d'Akielos durant plus d'une bonne heure, elle m'aura sûrement sentie devenir une statue de glace jusqu'à notre arrivée. Il n'y avait rien d'effrayant quand elle expliqua la nature de la mission car j'avais globalement compris ce qui nous attendait, mais c'est l'idée de me rapprocher à grand galop de fantômes en tout genre qui me rend lentement inquiète.
Il faut que je me concentre. Que je trouve un moyen d'apaiser mes pensées.
Dans un premier temps, nous avons donc essayé de voir auprès du bas peuple. L'homme qui avait besoin de notre aide est un certain Nikos Kazantzakis. Un nom qui, loin de m'être familier, fera monter diverses voix dans la population. Une bonne personne... Un vil personnage... Un noble de plus qui vole l'argent des pauvres... Un avare... Un songe-malice... Bien sûr et comme souvent, il est plus complexe de trouver une égalité ou plus de positif que de négatif quand on questionne un roturier sur une personne de la haute et je les comprends.
Yamato aura principalement posé les questions quand moi, je me serais contentée d'acheter par curiosité l'ouvrage de ce Nikos Kazantzakis à la première enseigne où je peux le trouver. Le titre de l'ouvrage "Le château du borduciel" invite à la curiosité et à l'imaginaire. Est-ce un ouvrage fantastique ? Une œuvre remplie de mystère ? Ou bien une autobiographie ?
Rangeant à côté de mon catalyseur dans un sac prévu au transport d'un ou deux livres, je rejoins alors Yamato pour nous rendre à la maison du noble... Je n'ai vraiment pas envie.
J'aurai quand même le droit à une parole un peu rassurante de Yamato, qui aura le droit en retour à un léger sourire de ma part pour la remercier.
Monsieur Kazantzakis nous ouvre alors et commence à ouvrir la discussion avec Yamato, tout en me jetant par moments des regards empreints sûrement de doute concernant mon utilité... Je n'ai pas vraiment l'envie de rester, tu sais. L'intérieur de la demeure est plongé dans le noir... D'ailleurs, en parlant de ça, cette maison est immense ! On peut même voir la mer en arrière-plan, un lieu entre terre et ciel qui ne peut pas convenir à un seul homme. Je suis certaine que si moi, Yamato et ses autres élèves venions à vivre ici, il y aurait encore de la place pour le double !
Sinon, ne pas parler... Je veux bien, ce n'est pas difficile pour moi. Mais rester plongée dans le noir... Je ne sais pas si je vais vraiment supporter... D'autant plus qu'il n'y avait pas vraiment besoin de rester plongé dans le noir pour entendre des sons légers mais de toute sorte venir de diverses pièces de la bâtisse...
Quand monsieur Kazantzakis nous laisse enfin seules, nous sommes dans une chambre assez grande pour que l'on ne puisse pas éclairer les quatre murs d'une unique lanterne... J'aurais presque envie de sauter sur le lit si Yamato n'était pas là pour me regarder d'un œil et me questionner sur mon avis...
Que pense-je de la situation ? Pour moi, aucun doute, il y a au minimum une autre entité dans cette maison... Mais j'ai tout de même du mal à comprendre l'idée de rester plongée dans le noir... Prenant un instant la lanterne, je longe les murs de la chambre et confirme bien que depuis cette pièce, il n'y avait pas la moindre fenêtre... Je l'aurais bien volontiers ouverte pour aérer et avoir de la lumière sinon. Et je suppose que si je commence à en ouvrir une dans une autre pièce plus commune, l'écrivain va venir m'hurler au visage de la refermer.
Un soupir s'échappe de ma bouche. Je pose sur le lit le livre que j'ai acheté précédemment, le mettant en évidence pour que Yamato puisse le remarquer. Si nous avons un moment d'impasse, peut-être que savoir de quoi il parle pourrait nous éclairer. Si c'est grâce à ce livre qu'il a pu s'acheter pareil lieu, il est possible donc que ce livre soit un lien. Mais rien n'est certain.
Le plan de la villa est impressionnant, à croire qu'on n'aurait pas assez d'une journée pour en faire le tour si nous restons à deux... Mais... Est-ce que j'ai envie d'être seule dans un tel endroit ? Hors de question. J'attrape légèrement l'avant-bras de Yamato d'une main, à la fois pour attirer son attention et lui montrer les grandes salles principales de la villa, sans nul doute les plus intéressantes à explorer en premier.
Je sens Yamato me tenir la main pendant quelques secondes, c'est un peu réconfortant... Sauf qu'après mûre réflexion... Yamato est à ma gauche... Pourquoi m'aurait-elle tenue la main droite... Et comment... ? Frisson. Panique. Je serre bien plus fort l'avant-bras de Yamato en lui donnant de petits à-coups, je n'ose plus bouger. Mais je veux vite partir d'ici.
Quand elle est venue me chercher, la curiosité m'envahissait, accompagnée de centaines de questions. Mais il ne fallut qu'un mot pour commencer à me perdre... Hantée.
Mon esprit imagine, sans le moindre doute sur la réalité de leur existence, une centaine de fantômes qui commencent déjà à poser leurs mains sur mes épaules, compatissant à mon égard. J'ai envie de rester ici. Puis les fantômes, c'est moins crédible qu'un Ursicéran ou un Tengu... Peut-être qu'ils n'existent tout simplement pas et qu'on va là-bas pour rien... Naoki disait que des gens se mettent à marcher sur les murs en faisant tourner leur tête quand ils sont possédés par des fantômes... Tu parles de quelque chose d'impossible ! Mais maintenant que j'y pense... Non ! Non ! Et non !
Mais la décision de Yamato est déjà prise. Je n'aurai qu'à me recroqueviller le temps que les fantômes cessent de danser la gavotte autour de moi. Et puis je crois me souvenir que Yamato est du genre à aimer ça... Les fantômes, je veux dire, les histoires précisément. Parce que je n'imagine pas Yamato danser la gavotte... Quoi que maintenant... Ho.
Toujours avec son sourire léger quand elle me regarde, je ne sais jamais quand je pourrais vraiment lui dire quelque chose. Est-ce que je lui avais déjà adressé un mot ? Je ne sais pas... Agrippée à Yamato alors que son cheval file à travers les terres d'Akielos durant plus d'une bonne heure, elle m'aura sûrement sentie devenir une statue de glace jusqu'à notre arrivée. Il n'y avait rien d'effrayant quand elle expliqua la nature de la mission car j'avais globalement compris ce qui nous attendait, mais c'est l'idée de me rapprocher à grand galop de fantômes en tout genre qui me rend lentement inquiète.
Il faut que je me concentre. Que je trouve un moyen d'apaiser mes pensées.
Dans un premier temps, nous avons donc essayé de voir auprès du bas peuple. L'homme qui avait besoin de notre aide est un certain Nikos Kazantzakis. Un nom qui, loin de m'être familier, fera monter diverses voix dans la population. Une bonne personne... Un vil personnage... Un noble de plus qui vole l'argent des pauvres... Un avare... Un songe-malice... Bien sûr et comme souvent, il est plus complexe de trouver une égalité ou plus de positif que de négatif quand on questionne un roturier sur une personne de la haute et je les comprends.
Yamato aura principalement posé les questions quand moi, je me serais contentée d'acheter par curiosité l'ouvrage de ce Nikos Kazantzakis à la première enseigne où je peux le trouver. Le titre de l'ouvrage "Le château du borduciel" invite à la curiosité et à l'imaginaire. Est-ce un ouvrage fantastique ? Une œuvre remplie de mystère ? Ou bien une autobiographie ?
Rangeant à côté de mon catalyseur dans un sac prévu au transport d'un ou deux livres, je rejoins alors Yamato pour nous rendre à la maison du noble... Je n'ai vraiment pas envie.
J'aurai quand même le droit à une parole un peu rassurante de Yamato, qui aura le droit en retour à un léger sourire de ma part pour la remercier.
Monsieur Kazantzakis nous ouvre alors et commence à ouvrir la discussion avec Yamato, tout en me jetant par moments des regards empreints sûrement de doute concernant mon utilité... Je n'ai pas vraiment l'envie de rester, tu sais. L'intérieur de la demeure est plongé dans le noir... D'ailleurs, en parlant de ça, cette maison est immense ! On peut même voir la mer en arrière-plan, un lieu entre terre et ciel qui ne peut pas convenir à un seul homme. Je suis certaine que si moi, Yamato et ses autres élèves venions à vivre ici, il y aurait encore de la place pour le double !
Sinon, ne pas parler... Je veux bien, ce n'est pas difficile pour moi. Mais rester plongée dans le noir... Je ne sais pas si je vais vraiment supporter... D'autant plus qu'il n'y avait pas vraiment besoin de rester plongé dans le noir pour entendre des sons légers mais de toute sorte venir de diverses pièces de la bâtisse...
Quand monsieur Kazantzakis nous laisse enfin seules, nous sommes dans une chambre assez grande pour que l'on ne puisse pas éclairer les quatre murs d'une unique lanterne... J'aurais presque envie de sauter sur le lit si Yamato n'était pas là pour me regarder d'un œil et me questionner sur mon avis...
Que pense-je de la situation ? Pour moi, aucun doute, il y a au minimum une autre entité dans cette maison... Mais j'ai tout de même du mal à comprendre l'idée de rester plongée dans le noir... Prenant un instant la lanterne, je longe les murs de la chambre et confirme bien que depuis cette pièce, il n'y avait pas la moindre fenêtre... Je l'aurais bien volontiers ouverte pour aérer et avoir de la lumière sinon. Et je suppose que si je commence à en ouvrir une dans une autre pièce plus commune, l'écrivain va venir m'hurler au visage de la refermer.
Un soupir s'échappe de ma bouche. Je pose sur le lit le livre que j'ai acheté précédemment, le mettant en évidence pour que Yamato puisse le remarquer. Si nous avons un moment d'impasse, peut-être que savoir de quoi il parle pourrait nous éclairer. Si c'est grâce à ce livre qu'il a pu s'acheter pareil lieu, il est possible donc que ce livre soit un lien. Mais rien n'est certain.
Le plan de la villa est impressionnant, à croire qu'on n'aurait pas assez d'une journée pour en faire le tour si nous restons à deux... Mais... Est-ce que j'ai envie d'être seule dans un tel endroit ? Hors de question. J'attrape légèrement l'avant-bras de Yamato d'une main, à la fois pour attirer son attention et lui montrer les grandes salles principales de la villa, sans nul doute les plus intéressantes à explorer en premier.
Je sens Yamato me tenir la main pendant quelques secondes, c'est un peu réconfortant... Sauf qu'après mûre réflexion... Yamato est à ma gauche... Pourquoi m'aurait-elle tenue la main droite... Et comment... ? Frisson. Panique. Je serre bien plus fort l'avant-bras de Yamato en lui donnant de petits à-coups, je n'ose plus bouger. Mais je veux vite partir d'ici.
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Kanagawa
La lumière de la lanterne s’éloigne, s’envole dans les mains de l’enfant qui t’accompagne. Elle semble chercher quelque chose, ou bien peut-être se rassure-t-elle sur le lieu que vous allez occuper quelques jours. Tu te souviens lui avoir raconté une histoire sur des fantômes une fois, et elle avait fini par se boucher les oreilles pour ne plus t’entendre parler. Bien sûr, tu avais souri de manière malicieuse et amusée, pour finalement arrêter ton histoire afin de ne pas la perturber davantage. En somme, tu as conscience qu’elle sera sur le qui-vive, à choisir, peut-être que tu ne l’aurais pas emmenée dans un tel endroit vu son aversion pour le surnaturel.
N’ayant besoin que de peu de lumière pour farfouiller dans ton sac, tu en sors une boîte contenant une Hékastone de feu, achetée sur le marché d’Uzuri quelques jours avant. Tu la prends dans tes mains, une chaleur agréable se diffuse sur ta paume, tes yeux se perdent sur la luminosité chaleureuse que dégage la pierre.
Tes iris se tournent envers vers la jeune femme qui inspecte les lieux, puis tombent sur le livre déposé sur son lit. Tu l’attrapes dans une main pour l’ouvrir sur une page au hasard et lis rapidement le passage.
… et le domaine était plongé dans le noir de la nuit. Les quelques bruits qui pouvaient perturber l’obscurité étaient le hululement régulier d’un hibou dans un arbre non loin, et quelques pas discrets sur le plancher de l’étage du-dessus. Julius délaissa son lit, ses sens en alerte, une goutte de sueur roula sur sa tempe. Qui était-ce donc ? Il avait la demeure pour lui seul ce week-end, et les domestiques étaient déjà endormis à cette heure-ci.
Tu sors de ta lecture lorsque ton avant-bras est sollicité par les petites mains de Naoto. Ton regard se pose sur elle, refermant immédiatement le livre pour lui accorder de l’attention. Tu étais certaine qu’elle ne serait pas à l’aise dans un tel lieu, tu ne t’attendais simplement pas à ce qu’elle crée elle-même un contact pour se rassurer.
Naoto est comme un animal sauvage. Le moindre geste brusque, le moindre regard trop sévère pourrait la faire détaler comme un lapin face à une proie. Heureusement pour elle, tu es d’une patience sans nom et tu n’as pas l’intention de la brusquer ou l’offenser d’une quelconque manière. Tu lui adresses un léger sourire, avant qu’il ne soit brutalement coupé par les mouvements de Naoto sur ton bras.
Un sourcil se hausse sur ton front.
Tu lis sur son visage qu’elle est extrêmement nerveuse, la panique est ancrée sur ses traits. Tu poses le livre et l’Hékastone pour te mettre à sa hauteur, un genou posé au sol.
« Que se passe-t-il ? Tu ne te sens pas bien ? »
Comme tu le faisais avec ton propre enfant, ta main dorénavant libre, soulève les mèches qui barrent son front, pour se poser sur ce dernier, jaugeant sa température. Tu réfléchis quelques secondes, mais visiblement, ce n’est pas une soudaine montée de fièvre qui la met dans cet état.
« Je sais que cet endroit est … étrange, mais je suis sûr que le propriétaire mélange fantaisies et réalité. »
Tu te redresses finalement et prends la lanterne de sa main pour lui donner l’Hékastone en échange.
« La pierre éclaire autant qu’une lanterne, voire plus. Je te la confie, ne la perds pas, d’accord ? »
Vu son prix, cela t’embêterait de devoir en acheter une nouvelle.
« Elle te réchauffera si tu as froid aussi. Est-ce que cela te rassure un peu plus ? »
Le regard posé sur elle est doux et bienveillant. Tu écartes tes cheveux de tes épaules et libères de la place sur le bureau de la pièce pour étaler la carte. Tu coinces les bords qui roulent à la moindre occasion avec un verre, un petit vase de fleurs et l’une de tes mains pour pouvoir observer les coins et recoins du domaine. Tu ne sais pas par qui cela a été construit ou pensé, mais c’est immense. L’on pourrait même deviner des pièces secrètes si tu laissais ton imagination prendre le pas sur ta conscience professionnelle.
« On essaie de mémoriser le maximum. Ensuite, on va vérifier par nous-mêmes, d’accord ? »
N’ayant besoin que de peu de lumière pour farfouiller dans ton sac, tu en sors une boîte contenant une Hékastone de feu, achetée sur le marché d’Uzuri quelques jours avant. Tu la prends dans tes mains, une chaleur agréable se diffuse sur ta paume, tes yeux se perdent sur la luminosité chaleureuse que dégage la pierre.
Tes iris se tournent envers vers la jeune femme qui inspecte les lieux, puis tombent sur le livre déposé sur son lit. Tu l’attrapes dans une main pour l’ouvrir sur une page au hasard et lis rapidement le passage.
… et le domaine était plongé dans le noir de la nuit. Les quelques bruits qui pouvaient perturber l’obscurité étaient le hululement régulier d’un hibou dans un arbre non loin, et quelques pas discrets sur le plancher de l’étage du-dessus. Julius délaissa son lit, ses sens en alerte, une goutte de sueur roula sur sa tempe. Qui était-ce donc ? Il avait la demeure pour lui seul ce week-end, et les domestiques étaient déjà endormis à cette heure-ci.
Tu sors de ta lecture lorsque ton avant-bras est sollicité par les petites mains de Naoto. Ton regard se pose sur elle, refermant immédiatement le livre pour lui accorder de l’attention. Tu étais certaine qu’elle ne serait pas à l’aise dans un tel lieu, tu ne t’attendais simplement pas à ce qu’elle crée elle-même un contact pour se rassurer.
Naoto est comme un animal sauvage. Le moindre geste brusque, le moindre regard trop sévère pourrait la faire détaler comme un lapin face à une proie. Heureusement pour elle, tu es d’une patience sans nom et tu n’as pas l’intention de la brusquer ou l’offenser d’une quelconque manière. Tu lui adresses un léger sourire, avant qu’il ne soit brutalement coupé par les mouvements de Naoto sur ton bras.
Un sourcil se hausse sur ton front.
Tu lis sur son visage qu’elle est extrêmement nerveuse, la panique est ancrée sur ses traits. Tu poses le livre et l’Hékastone pour te mettre à sa hauteur, un genou posé au sol.
« Que se passe-t-il ? Tu ne te sens pas bien ? »
Comme tu le faisais avec ton propre enfant, ta main dorénavant libre, soulève les mèches qui barrent son front, pour se poser sur ce dernier, jaugeant sa température. Tu réfléchis quelques secondes, mais visiblement, ce n’est pas une soudaine montée de fièvre qui la met dans cet état.
« Je sais que cet endroit est … étrange, mais je suis sûr que le propriétaire mélange fantaisies et réalité. »
Tu te redresses finalement et prends la lanterne de sa main pour lui donner l’Hékastone en échange.
« La pierre éclaire autant qu’une lanterne, voire plus. Je te la confie, ne la perds pas, d’accord ? »
Vu son prix, cela t’embêterait de devoir en acheter une nouvelle.
« Elle te réchauffera si tu as froid aussi. Est-ce que cela te rassure un peu plus ? »
Le regard posé sur elle est doux et bienveillant. Tu écartes tes cheveux de tes épaules et libères de la place sur le bureau de la pièce pour étaler la carte. Tu coinces les bords qui roulent à la moindre occasion avec un verre, un petit vase de fleurs et l’une de tes mains pour pouvoir observer les coins et recoins du domaine. Tu ne sais pas par qui cela a été construit ou pensé, mais c’est immense. L’on pourrait même deviner des pièces secrètes si tu laissais ton imagination prendre le pas sur ta conscience professionnelle.
« On essaie de mémoriser le maximum. Ensuite, on va vérifier par nous-mêmes, d’accord ? »
Icon :
The man who has a conscience suffers whilst acknowledging his sin. That is his punishment. It takes something more than intelligence to act intelligently.
Phrase :
519
Messages :
Jiyan de WuWa
Featuring :
Graph BG
Crédits :
Frame :
Sprite :
09
Niveau :
81/90
Expérience :
23 475
Écus :
-- EQUIPÉS --
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
Inventaire :
Kusarigama E
Arme par défaut :
PV 41 | FOR 17 | MAG 18 | VIT 07 | TEC 06 | DEF 20 | RES 13 | MVT 04
Stats :
E D
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
Armes :
00
Etage Tour :
03
Missions accomplies :
1092
Réputation :
MAG+2
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Maitrises :
Veuf
Statut :
Soutien S :
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Invité
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Feat Feat
Crédits Crédits
Invité
Comme notre tête est faible et s'effare, et s'égare vite, dès qu'un petit fait incompréhensible nous frappe !
Le Horla - Maupassant
Le Horla - Maupassant
Ghost Stories [Naoto/Yamato]
Statue de glace, mon cœur a raté un battement au moment de cette sensation malaisante.
Le son incommodant de l'inquiétude me parasite l'esprit... Est-ce qu'on peut sentir un son ? Entendre une main ?
Je me suis sentie dans le besoin de demander l'attention de Yamato... Si c'était l'un des fantômes qui se trouvait juste avec nous ?! Mon regard observe de manière détaillée ma supérieure, sa présence me calme et son sourire me rassure quelque peu. Bien évidemment, j'essaie de ne pas le montrer que je suis angoissée, mais mes mouvements sont assez raides et je n'arrive pas à m'empêcher de surveiller tout ce qui pourrait me sembler étrange.
Yamato vient alors se placer à ma hauteur, me demandant comment je me sens en ce moment.
Et j'ai véritablement envie de lui dire que je pète la forme depuis que je visite une maison d'horreur qui pourrait nous y enfermer éternellement. Vous imaginez-vous si soudainement le propriétaire hurle ? Je pense que j'utiliserais ma magie pour chercher à briser un mur et m'éloigner de cet endroit sans chercher la moindre sortie.
... Puis vient alors le moment où elle tente de me rassurer. Par moments, j'ai presque l'impression de n'avoir jamais vécu trois années de service militaire et je me dis que je devrais peut-être essayer de me comporter de manière un peu plus mature.
J'ai seize ans. Seize ans... hum...
Prenant alors la lanterne, Yamato me confie son Hékastone de feu, un objet qui pour de nombreuses personnes est important par sa lumière plus flamboyante que la lanterne précédente, et surtout par la chaleur qu'il apporte.
J'accepte sans vraiment réfléchir, me laissant guider de la main qui agrippe la lanterne, à celle qui vient mettre dans mon autre main l'Hékastone. Un avertissement léger de la part de Yamato, interdiction de perdre ce qu'elle me confie.
Je hoche donc la tête pour lui promettre d'en prendre soin, insistant même en la prenant à deux mains. Sa chaleur me fait même exprimer un sourire qui me fait oublier où je me trouve en ce moment même.
Maintenant que ce moment est passé, je regarde un peu mieux la carte qui me semblait peu logique avant d'être apaisée. Je dois me comporter de manière plus mature qu'une enfant apeurée. C'est une mission après tout. Et je ne sais pas vraiment si j'aime être traitée comme une enfant bien que le sourire de Yamato m'évoque le souvenir de ma mère.
Concentration, réflexion et cogitation. Il fallait qu'on se souvienne le mieux possible de la carte avant d'explorer. Qu'on comprenne où nous allions nous rendre et comment revenir si besoin.
Je pointe du doigt sur la carte la pièce la plus grande, celle qui semble être similaire à une pièce de réception ou un immense salon... Plein de portes semblent mener à cette endroit et il pourrait donc être bon de définir celui-ci comme un point de repère en le visitant en premier.
J'observe une dernière fois la carte puis je commence à me rendre vers la porte de la chambre pour pouvoir sortir ; c'est vrai que l'Hékastone m'aide beaucoup à voir autour de moi !
J'attends donc que Yamato ait terminée de son côté avant de sortir pour arriver dans le couloir.
Il faut dire que pour cette ouverture de porte, j'y ai mis l'intégralité de mon courage pour oublier qu'il existe quelque chose derrière la porte, ou alors que j'ai possiblement imaginé une pièce qui m'est déjà connue. Je ne saurais même pas dire alors que c'est arrivé il y a seulement quelques secondes...
Mes pas sont loin d'être naturels, assez lents pour avoir le temps d'observer quand la lumière brûle l'obscurité, mais un peu rapides pour que Yamato ne puisse me passer devant. Du courage Naoto ! Et on respire calmement pour bien se concentrer. Tout semble bien se passer pour le moment, tellement bien que je tourne même la tête pour sourire à Yamato et faire un nouveau hochement de tête pour lui dire que tout va bien.
Il n'y avait véritablement aucune entrée de lumière dans la maison... Les bougies semblent neuves mais aucune n'est entamée, j'ai même cru voir un Héka de foudre coupé pour certainement empêcher que l'énergie de celui-ci produise la moindre lumière. Les fenêtres sont closes et des linges coincés dans les moindres ouvertures latérales... Franchissant donc le couloir, nous avons ignoré plusieurs portes car nous savions où aller premièrement... Mais après ?
Face à la porte, je prends la poignée que je pousse une fois de plus pour accéder à...
"HAAA!"
C'est monsieur Kazantzakis qui nous surprendra, tirant lui-même la porte avant de crier de surprise. Et moi ? Un bond très rapide en arrière me fait arriver à côté de Yamato. Je tiens à deux mains l'Hékastone, mon cœur pulse comme si je sortais d'un entraînement intensif, et mon esprit me supplie de pleurer. Je dois rester droite et forte... Courage... Une main sur mon catalyseur... Et je respire... Respire...
Statue de glace, mon cœur a raté un battement au moment de cette sensation malaisante.
Le son incommodant de l'inquiétude me parasite l'esprit... Est-ce qu'on peut sentir un son ? Entendre une main ?
Je me suis sentie dans le besoin de demander l'attention de Yamato... Si c'était l'un des fantômes qui se trouvait juste avec nous ?! Mon regard observe de manière détaillée ma supérieure, sa présence me calme et son sourire me rassure quelque peu. Bien évidemment, j'essaie de ne pas le montrer que je suis angoissée, mais mes mouvements sont assez raides et je n'arrive pas à m'empêcher de surveiller tout ce qui pourrait me sembler étrange.
Yamato vient alors se placer à ma hauteur, me demandant comment je me sens en ce moment.
Et j'ai véritablement envie de lui dire que je pète la forme depuis que je visite une maison d'horreur qui pourrait nous y enfermer éternellement. Vous imaginez-vous si soudainement le propriétaire hurle ? Je pense que j'utiliserais ma magie pour chercher à briser un mur et m'éloigner de cet endroit sans chercher la moindre sortie.
... Puis vient alors le moment où elle tente de me rassurer. Par moments, j'ai presque l'impression de n'avoir jamais vécu trois années de service militaire et je me dis que je devrais peut-être essayer de me comporter de manière un peu plus mature.
J'ai seize ans. Seize ans... hum...
Prenant alors la lanterne, Yamato me confie son Hékastone de feu, un objet qui pour de nombreuses personnes est important par sa lumière plus flamboyante que la lanterne précédente, et surtout par la chaleur qu'il apporte.
J'accepte sans vraiment réfléchir, me laissant guider de la main qui agrippe la lanterne, à celle qui vient mettre dans mon autre main l'Hékastone. Un avertissement léger de la part de Yamato, interdiction de perdre ce qu'elle me confie.
Je hoche donc la tête pour lui promettre d'en prendre soin, insistant même en la prenant à deux mains. Sa chaleur me fait même exprimer un sourire qui me fait oublier où je me trouve en ce moment même.
Maintenant que ce moment est passé, je regarde un peu mieux la carte qui me semblait peu logique avant d'être apaisée. Je dois me comporter de manière plus mature qu'une enfant apeurée. C'est une mission après tout. Et je ne sais pas vraiment si j'aime être traitée comme une enfant bien que le sourire de Yamato m'évoque le souvenir de ma mère.
Concentration, réflexion et cogitation. Il fallait qu'on se souvienne le mieux possible de la carte avant d'explorer. Qu'on comprenne où nous allions nous rendre et comment revenir si besoin.
Je pointe du doigt sur la carte la pièce la plus grande, celle qui semble être similaire à une pièce de réception ou un immense salon... Plein de portes semblent mener à cette endroit et il pourrait donc être bon de définir celui-ci comme un point de repère en le visitant en premier.
J'observe une dernière fois la carte puis je commence à me rendre vers la porte de la chambre pour pouvoir sortir ; c'est vrai que l'Hékastone m'aide beaucoup à voir autour de moi !
J'attends donc que Yamato ait terminée de son côté avant de sortir pour arriver dans le couloir.
Il faut dire que pour cette ouverture de porte, j'y ai mis l'intégralité de mon courage pour oublier qu'il existe quelque chose derrière la porte, ou alors que j'ai possiblement imaginé une pièce qui m'est déjà connue. Je ne saurais même pas dire alors que c'est arrivé il y a seulement quelques secondes...
Mes pas sont loin d'être naturels, assez lents pour avoir le temps d'observer quand la lumière brûle l'obscurité, mais un peu rapides pour que Yamato ne puisse me passer devant. Du courage Naoto ! Et on respire calmement pour bien se concentrer. Tout semble bien se passer pour le moment, tellement bien que je tourne même la tête pour sourire à Yamato et faire un nouveau hochement de tête pour lui dire que tout va bien.
Il n'y avait véritablement aucune entrée de lumière dans la maison... Les bougies semblent neuves mais aucune n'est entamée, j'ai même cru voir un Héka de foudre coupé pour certainement empêcher que l'énergie de celui-ci produise la moindre lumière. Les fenêtres sont closes et des linges coincés dans les moindres ouvertures latérales... Franchissant donc le couloir, nous avons ignoré plusieurs portes car nous savions où aller premièrement... Mais après ?
Face à la porte, je prends la poignée que je pousse une fois de plus pour accéder à...
"HAAA!"
C'est monsieur Kazantzakis qui nous surprendra, tirant lui-même la porte avant de crier de surprise. Et moi ? Un bond très rapide en arrière me fait arriver à côté de Yamato. Je tiens à deux mains l'Hékastone, mon cœur pulse comme si je sortais d'un entraînement intensif, et mon esprit me supplie de pleurer. Je dois rester droite et forte... Courage... Une main sur mon catalyseur... Et je respire... Respire...
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Yamato Gyokuyô
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Crédits Crédits
Kanagawa
Lorsque tu constates que les épaules de Naoto ne sont plus aussi crispées que précédemment, tu ne peux que renforcer ton petit sourire doux à son encontre. Tu ne saurais réellement expliquer le lien qui vous unit, mais il est certain que, lorsque tu l’as trouvé, inconsciente dans une mer de glace ce jour-là, tu n’as pas réfléchi plus longtemps. Tu sais que tes supérieurs ne te croient qu’à peine sur l’histoire inventée pour protéger cette enfant, et c’est bien pour cela que la petite est aujourd’hui sous ta coupe. On t’a ordonné de faire attention à son comportement et qu’il était de ton devoir de lui apprendre à maîtriser son don.
Après tout … Qui de mieux placé pour cette tâche lorsque tu as demandé à être maître d’armes quelques années auparavant ? Tu es spécialisée dans la magie et l’épée puisque ce sont tes utilisations fréquentes. Bien sûr, tu ne pourrais pas être un instructeur pour la magie de glace par exemple, puisque tu n’es pas calé dessus mais l’utilisation de la magie est la même pour tous. Tu peux au moins enseigner les bases et les aider, individuellement, à trouver leur voie.
Jusqu’ici, tu n’as pas failli à ta tâche.
Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs.
Tu n’as pas assez d’années d’expérience pour te faire un véritable avis sur tes capacités. Cependant, en regardant tes élèves, leur motivation, leurs ambitions et leur détermination pour la plupart, tu ne peux t’empêcher d’être fière d’eux. Lorsque Naoto saisit l’hékastone entre ses deux mains après ton ordre simple de ne surtout pas la perdre, tu te redresses, non sans afficher, une nouvelle fois, un sourire bienveillant.
Naoto n’emploie pas un langage comme les autres. Les mots qui sortent de sa bouche sont extrêmement rares, voire inexistants. Tu as donc dû apprendre à lire ses gestes, ses mimiques, son attitude, parfois sa manière de marcher, parfois des petits détails imperceptibles. Qui sont visibles si l’on s’y penche suffisamment pour les détecter. Tu ne souhaites pas la brusquer, ni même la pousser à débloquer sa faculté de parole. Elle le fera, lorsqu’elle se sentira prête.
Le sourire de l’enfant, regardant la pierre briller dans sa main, te réchauffe le cœur.
Vos regards se posent ensuite sur la carte exposée, tu analyses et essaies de retenir. Tu espères que cet endroit ne possède pas réellement de pièces secrètes, cela pourrait grandement compliquer votre exploration. Naoto prend l’initiative de désigner le premier endroit à visiter, tu te contentes de hocher la tête. Tu n’es pas difficile et en tant qu’adoratrice d’histoires sombres de ce genre, tu n’es pas plus impressionnée par cet endroit qu’un champ de fleurs.
« Allons-y. »
C’est encore une fois la petite qui prend les devants et décide de sortir de la chambre la première. Tu hausses les sourcils, surprise de cette initiative, mais pas mécontente qu’elle prenne son courage à deux mains. Tu la suis donc, à une distance raisonnable pour ne pas lui provoquer quelques frissons désagréables en étant trop près. Un long couloir totalement cloisonné par des rideaux épais et divers tissus pour couvrir fenêtres et miroirs, tu te demandes jusqu’où va la paranoïa du propriétaire.
A première vue, il n’y a pas grand chose d’alarmant, si ce n’est l’état psychologie de ce cher Nikos Kazantzakis. Les doigts sur la poignée de la porte, Naoto recule violemment lorsque c’est le maître des lieux qui ouvre le battant pour hurler d’un cri viril. Tu fronces les sourcils, surprise de le voir arpenter le domaine comme un fantôme.
« Tout va bien ? »
C’est autant une question pour Naoto que tu regardes attentivement, que pour Nikos qui te laisse perplexe sur bien des choses. Tu as la sensation qu’il ne dit pas tout à propos de cette villa. Tu repenses au passage lu dans son bouquin, qui te donne un sentiment de familiarité.
« Vu que vous êtes là, de quoi vous vous êtes inspiré pour votre livre ? J’ai entendu dire que vous aviez eu un succès prononcé sur votre unique œuvre, je suis curieuse. »
Avant même qu’il ait le temps de formuler une phrase, un grincement se fait entendre dans le couloir. Tu tournes vivement la tête, mais à première vue, il n’y a rien ni personne. Pas même un chat qui aurait pu provoquer l’affaissement du bois du couloir. Tu te demandes s’il est même possible de faire grincer quoi que ce soit dans cette maison, tout a l’air neuf et propre, c’en serait aveuglant les fenêtres ouvertes.
Tu plisses les yeux, incapable de voir quoi que ce soit, et sans plus y accorder de l’attention, tu reportes ton attention sur le propriétaire, dans l’attente de sa réponse à propos de son bouquin à succès.
Lancement de dé = 2
1. Un objet tombe dans un étage supérieur.
2. Un grincement semblable à du bois dans le couloir.
3. Un souffle discret dans la nuque de Yamato.
Après tout … Qui de mieux placé pour cette tâche lorsque tu as demandé à être maître d’armes quelques années auparavant ? Tu es spécialisée dans la magie et l’épée puisque ce sont tes utilisations fréquentes. Bien sûr, tu ne pourrais pas être un instructeur pour la magie de glace par exemple, puisque tu n’es pas calé dessus mais l’utilisation de la magie est la même pour tous. Tu peux au moins enseigner les bases et les aider, individuellement, à trouver leur voie.
Jusqu’ici, tu n’as pas failli à ta tâche.
Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs.
Tu n’as pas assez d’années d’expérience pour te faire un véritable avis sur tes capacités. Cependant, en regardant tes élèves, leur motivation, leurs ambitions et leur détermination pour la plupart, tu ne peux t’empêcher d’être fière d’eux. Lorsque Naoto saisit l’hékastone entre ses deux mains après ton ordre simple de ne surtout pas la perdre, tu te redresses, non sans afficher, une nouvelle fois, un sourire bienveillant.
Naoto n’emploie pas un langage comme les autres. Les mots qui sortent de sa bouche sont extrêmement rares, voire inexistants. Tu as donc dû apprendre à lire ses gestes, ses mimiques, son attitude, parfois sa manière de marcher, parfois des petits détails imperceptibles. Qui sont visibles si l’on s’y penche suffisamment pour les détecter. Tu ne souhaites pas la brusquer, ni même la pousser à débloquer sa faculté de parole. Elle le fera, lorsqu’elle se sentira prête.
Le sourire de l’enfant, regardant la pierre briller dans sa main, te réchauffe le cœur.
Vos regards se posent ensuite sur la carte exposée, tu analyses et essaies de retenir. Tu espères que cet endroit ne possède pas réellement de pièces secrètes, cela pourrait grandement compliquer votre exploration. Naoto prend l’initiative de désigner le premier endroit à visiter, tu te contentes de hocher la tête. Tu n’es pas difficile et en tant qu’adoratrice d’histoires sombres de ce genre, tu n’es pas plus impressionnée par cet endroit qu’un champ de fleurs.
« Allons-y. »
C’est encore une fois la petite qui prend les devants et décide de sortir de la chambre la première. Tu hausses les sourcils, surprise de cette initiative, mais pas mécontente qu’elle prenne son courage à deux mains. Tu la suis donc, à une distance raisonnable pour ne pas lui provoquer quelques frissons désagréables en étant trop près. Un long couloir totalement cloisonné par des rideaux épais et divers tissus pour couvrir fenêtres et miroirs, tu te demandes jusqu’où va la paranoïa du propriétaire.
A première vue, il n’y a pas grand chose d’alarmant, si ce n’est l’état psychologie de ce cher Nikos Kazantzakis. Les doigts sur la poignée de la porte, Naoto recule violemment lorsque c’est le maître des lieux qui ouvre le battant pour hurler d’un cri viril. Tu fronces les sourcils, surprise de le voir arpenter le domaine comme un fantôme.
« Tout va bien ? »
C’est autant une question pour Naoto que tu regardes attentivement, que pour Nikos qui te laisse perplexe sur bien des choses. Tu as la sensation qu’il ne dit pas tout à propos de cette villa. Tu repenses au passage lu dans son bouquin, qui te donne un sentiment de familiarité.
« Vu que vous êtes là, de quoi vous vous êtes inspiré pour votre livre ? J’ai entendu dire que vous aviez eu un succès prononcé sur votre unique œuvre, je suis curieuse. »
Avant même qu’il ait le temps de formuler une phrase, un grincement se fait entendre dans le couloir. Tu tournes vivement la tête, mais à première vue, il n’y a rien ni personne. Pas même un chat qui aurait pu provoquer l’affaissement du bois du couloir. Tu te demandes s’il est même possible de faire grincer quoi que ce soit dans cette maison, tout a l’air neuf et propre, c’en serait aveuglant les fenêtres ouvertes.
Tu plisses les yeux, incapable de voir quoi que ce soit, et sans plus y accorder de l’attention, tu reportes ton attention sur le propriétaire, dans l’attente de sa réponse à propos de son bouquin à succès.
Lancement de dé = 2
1. Un objet tombe dans un étage supérieur.
2. Un grincement semblable à du bois dans le couloir.
3. Un souffle discret dans la nuque de Yamato.
Icon :
The man who has a conscience suffers whilst acknowledging his sin. That is his punishment. It takes something more than intelligence to act intelligently.
Phrase :
519
Messages :
Jiyan de WuWa
Featuring :
Graph BG
Crédits :
Frame :
Sprite :
09
Niveau :
81/90
Expérience :
23 475
Écus :
-- EQUIPÉS --
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
Inventaire :
Kusarigama E
Arme par défaut :
PV 41 | FOR 17 | MAG 18 | VIT 07 | TEC 06 | DEF 20 | RES 13 | MVT 04
Stats :
E D
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
Armes :
00
Etage Tour :
03
Missions accomplies :
1092
Réputation :
MAG+2
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Maitrises :
Veuf
Statut :
Soutien S :
Icon
Invité
Phrase
Messages
Messages
Joueur Joueur
Feat Feat
Crédits Crédits
Invité
On aborde toujours l'inconnu avec plus de prudence la première fois. Ainsi, il apparait beaucoup plus expansif qu'il ne l'est réellement.
- Mark Z. Danielewski
- Mark Z. Danielewski
Ghost Stories [Naoto/Yamato]
Le cœur s'apaise en même temps que mes mains... Je pouvais la sentir, cette fraîcheur azur qui naît de mes paumes. Je ne dois pas me faire avoir par mes émotions, non ! Tenant mon catalyseur puis mon haut à poing serré, j'en aurais presque l'envie de m'arracher le cœur tant je me sens incapable alors que ce n'est pas le cas. Je m'énerve encore une fois contre moi-même, mais tout va bien. Je me relâche après que la dopamine ait disparu.
Regardant d'abord le propriétaire des lieux avec un regard assez colérique, je me reprends donc pour hocher la tête vers Yamato, voulant la rassurer sur mon état. Au moins, si le truc le plus effrayant ici est cet homme, je pense que je devrais survivre à la fin de cette mission. Elle enchaîna alors par une question qui pouvait sembler un peu bateau, mais qui m'intrigue de même : L'inspiration de son livre. Le château du bord du ciel est un titre qui touche assez aisément un lecteur, mais il est impossible pour nous de ne pas rapprocher ce nom avec cette demeure elle-même !
Silencieuse, comme toujours, j'attendais sa réponse avant qu'une interlude ne vienne faire pause à ce début d'interrogatoire, et par cela, je voulais parler d'un grincement bien curieux qui vient de derrière nous... Sauf que Yamato et moi-même l'avions traversé ce couloir et il n'y avait pas eu un seul bruit de bois grinçant, ni même de porte... Cet endroit veut sûrement encore essayer de m'effrayer mais il ne m'aura pas cette fois ! Tous les regards tournés vers le couloir... Il n'y avait rien de visible avec notre lumière... Il faudrait sûrement s'approcher.
Mais ce n'est pas l'idée de Yamato pour le moment qui se retourne de nouveau vers Monsieur Kazantzakis pour enfin recevoir sa réponse...
"Et bien... Je n'étais nullement le maître de ces lieux avant mon livre. Je l'ai écrit avec l'anc... avec ma détermination ! Puis j'ai acheté ce lieu juste après le succès qu'on me connaît avec... Enfin... Qu'avez-vous pensé de mon ouvrage ? Étonnant, n'est-il pas ?"
Sa détermination ? Est-ce que c'est ainsi qu'un auteur parle de son livre ? D'ailleurs, compte-t-il se contenter d'un seul livre ? Ou bien en écrira-t-il d'autres ? Je laisse Yamato lui demander plutôt qu'essayer de m'embêter à lui faire comprendre ce que je souhaite savoir... Je ne le connais pas assez pour qu'il puisse peut-être me comprendre un minimum... Et j'ai cru entendre un début de quelque chose... L'anc... L'ancien ? L'ancienne ? L'encyclopédie ?
"Ne voudriez-vous pas en parler dans le salon tranquillement ? V... Vous pensez que cette histoire de fantôme aurait un lien avec ce livre ? Honnêtement, ce serait absurde ! Et puis ne pouvez-vous pas simplement le faire fuir ?"
Exactement à la fin de sa phrase, le bruit de fond ressurgit alors du couloir... Je tourne une fois de plus mon regard vers le couloir pour ne toujours rien apercevoir... Je commence vraiment à me demander de quoi cela peut bien venir... Beaucoup trop curieuse pour laisser le mystère planer plus longtemps, je décide donc d'aller voir par moi-même directement... Je fais donc un pas vers le couloir à nouveau qui attirera sûrement l'attention de Yamato, à quoi je lui ferais un simple signe de ne pas me suivre pour qu'elle puisse rester avec le propriétaire pour continuer de l'interroger.
Et puis je ne compte pas non plus m'éloigner très loin dans le couloir... Juste quelques pas de manière à voir si je pouvais voir d'où provient ce drôle de bruit... À peine plus loin, le feu de l'Hékastone me permet alors de voir une porte qui était fermée quand nous sommes passées juste avant, n'est-ce pas un chemin qui mène vers la salle à manger ? Je tourne la tête un instant et je peux encore voir Yamato avec sa lanterne, je lui montre donc de la main la porte entrouverte. Celle-ci fera une fois de plus un son de grincement... Pourtant la porte semble en parfait état... Ouvrant donc celle-ci pour regarder à l'intérieur, je peux y voir comme prévu la pièce dédiée au repas en tout genre avec deux autres portes et ce qui semble être un escalier pour que les personnes à l'étage puissent rejoindre rapidement le lieu. J'avoue ne pas vraiment comprendre l'intérêt d'avoir une pièce uniquement pour manger quand la cuisine ou le salon qui sont déjà immenses pourraient faire largement l'affaire... Des trucs de riches quoi. Je mets un pied dans la pièce... Puis un second...
CLACK !
Et voilà qu'en me retournant, je ne peux qu'observer la porte qui s'est refermée derrière moi. Je m'empresse de tourner le pas pour essayer de l'ouvrir mais elle semble complètement verrouillée... Ni une, ni deux, je prends mon catalyseur d'une main et tiens l'Hékastone de l'autre, me préparant à faire exploser la porte mais je me reprends rapidement en me rappelant que ce serait certainement compromettant pour la mission, le propriétaire et surtout la réputation de Yamato si je venais à détruire quelque chose ici... Et puis, un ninja doit être calme et réfléchi... En toute circonstance.
Je tente encore une fois en tapant à la porte, voir si Yamato pouvait m'entendre frapper. Dans la foulée, j'entends de nouveau ce son de fermeture, venant certainement des autres portes de la pièce... Ne me laissant alors que deux possibilités...
Attendre ici ou monter l'escalier pour me rendre à l'étage et chercher à rejoindre Yamato... sauf si elle ne décide finalement de détruire l'une des portes.
__________
Lancement de dé = 2
1. Livre sur le sol du couloir.
2. Le grincement viens d'une porte entrouverte qui s'ouvre et se ferme.
3. Quand Naoto se retourne, elle est plus loin que prévue dans le couloir.
Le cœur s'apaise en même temps que mes mains... Je pouvais la sentir, cette fraîcheur azur qui naît de mes paumes. Je ne dois pas me faire avoir par mes émotions, non ! Tenant mon catalyseur puis mon haut à poing serré, j'en aurais presque l'envie de m'arracher le cœur tant je me sens incapable alors que ce n'est pas le cas. Je m'énerve encore une fois contre moi-même, mais tout va bien. Je me relâche après que la dopamine ait disparu.
Regardant d'abord le propriétaire des lieux avec un regard assez colérique, je me reprends donc pour hocher la tête vers Yamato, voulant la rassurer sur mon état. Au moins, si le truc le plus effrayant ici est cet homme, je pense que je devrais survivre à la fin de cette mission. Elle enchaîna alors par une question qui pouvait sembler un peu bateau, mais qui m'intrigue de même : L'inspiration de son livre. Le château du bord du ciel est un titre qui touche assez aisément un lecteur, mais il est impossible pour nous de ne pas rapprocher ce nom avec cette demeure elle-même !
Silencieuse, comme toujours, j'attendais sa réponse avant qu'une interlude ne vienne faire pause à ce début d'interrogatoire, et par cela, je voulais parler d'un grincement bien curieux qui vient de derrière nous... Sauf que Yamato et moi-même l'avions traversé ce couloir et il n'y avait pas eu un seul bruit de bois grinçant, ni même de porte... Cet endroit veut sûrement encore essayer de m'effrayer mais il ne m'aura pas cette fois ! Tous les regards tournés vers le couloir... Il n'y avait rien de visible avec notre lumière... Il faudrait sûrement s'approcher.
Mais ce n'est pas l'idée de Yamato pour le moment qui se retourne de nouveau vers Monsieur Kazantzakis pour enfin recevoir sa réponse...
"Et bien... Je n'étais nullement le maître de ces lieux avant mon livre. Je l'ai écrit avec l'anc... avec ma détermination ! Puis j'ai acheté ce lieu juste après le succès qu'on me connaît avec... Enfin... Qu'avez-vous pensé de mon ouvrage ? Étonnant, n'est-il pas ?"
Sa détermination ? Est-ce que c'est ainsi qu'un auteur parle de son livre ? D'ailleurs, compte-t-il se contenter d'un seul livre ? Ou bien en écrira-t-il d'autres ? Je laisse Yamato lui demander plutôt qu'essayer de m'embêter à lui faire comprendre ce que je souhaite savoir... Je ne le connais pas assez pour qu'il puisse peut-être me comprendre un minimum... Et j'ai cru entendre un début de quelque chose... L'anc... L'ancien ? L'ancienne ? L'encyclopédie ?
"Ne voudriez-vous pas en parler dans le salon tranquillement ? V... Vous pensez que cette histoire de fantôme aurait un lien avec ce livre ? Honnêtement, ce serait absurde ! Et puis ne pouvez-vous pas simplement le faire fuir ?"
Exactement à la fin de sa phrase, le bruit de fond ressurgit alors du couloir... Je tourne une fois de plus mon regard vers le couloir pour ne toujours rien apercevoir... Je commence vraiment à me demander de quoi cela peut bien venir... Beaucoup trop curieuse pour laisser le mystère planer plus longtemps, je décide donc d'aller voir par moi-même directement... Je fais donc un pas vers le couloir à nouveau qui attirera sûrement l'attention de Yamato, à quoi je lui ferais un simple signe de ne pas me suivre pour qu'elle puisse rester avec le propriétaire pour continuer de l'interroger.
Et puis je ne compte pas non plus m'éloigner très loin dans le couloir... Juste quelques pas de manière à voir si je pouvais voir d'où provient ce drôle de bruit... À peine plus loin, le feu de l'Hékastone me permet alors de voir une porte qui était fermée quand nous sommes passées juste avant, n'est-ce pas un chemin qui mène vers la salle à manger ? Je tourne la tête un instant et je peux encore voir Yamato avec sa lanterne, je lui montre donc de la main la porte entrouverte. Celle-ci fera une fois de plus un son de grincement... Pourtant la porte semble en parfait état... Ouvrant donc celle-ci pour regarder à l'intérieur, je peux y voir comme prévu la pièce dédiée au repas en tout genre avec deux autres portes et ce qui semble être un escalier pour que les personnes à l'étage puissent rejoindre rapidement le lieu. J'avoue ne pas vraiment comprendre l'intérêt d'avoir une pièce uniquement pour manger quand la cuisine ou le salon qui sont déjà immenses pourraient faire largement l'affaire... Des trucs de riches quoi. Je mets un pied dans la pièce... Puis un second...
CLACK !
Et voilà qu'en me retournant, je ne peux qu'observer la porte qui s'est refermée derrière moi. Je m'empresse de tourner le pas pour essayer de l'ouvrir mais elle semble complètement verrouillée... Ni une, ni deux, je prends mon catalyseur d'une main et tiens l'Hékastone de l'autre, me préparant à faire exploser la porte mais je me reprends rapidement en me rappelant que ce serait certainement compromettant pour la mission, le propriétaire et surtout la réputation de Yamato si je venais à détruire quelque chose ici... Et puis, un ninja doit être calme et réfléchi... En toute circonstance.
Je tente encore une fois en tapant à la porte, voir si Yamato pouvait m'entendre frapper. Dans la foulée, j'entends de nouveau ce son de fermeture, venant certainement des autres portes de la pièce... Ne me laissant alors que deux possibilités...
Attendre ici ou monter l'escalier pour me rendre à l'étage et chercher à rejoindre Yamato... sauf si elle ne décide finalement de détruire l'une des portes.
__________
Lancement de dé = 2
1. Livre sur le sol du couloir.
2. Le grincement viens d'une porte entrouverte qui s'ouvre et se ferme.
3. Quand Naoto se retourne, elle est plus loin que prévue dans le couloir.
Icon
Yamato Gyokuyô
Phrase
Messages
Messages
Joueur Joueur
Feat Feat
Crédits Crédits
Kanagawa
Sans plus faire attention au grincement entendu, le balayant de tes pensées comme un simple grain de sable, tu reportes ton attention sur le noble. Il ne te regarde jamais dans le blanc des yeux, fuyant sans cesse dans les coins et recoins du couloir, ou au-dessus de son épaule. Tu pourrais mettre cela sur la frayeur, comme tu l’a fait en arrivant dans cette demeure, face à son accueil pour le moins paranoïaque. Cependant, ton instinct te dit que c’est plus que cela.
Sa réponse te pousse vers tes soupçons : il ment ou il cache quelque chose dont il ne veut pas parler. La précipitation de ses mots, et les gouttes de sueur qui perlent sur sa tempe démontrent encore une fois son embarras. Tu plisses les yeux tout en le fixant, analysant son comportement. Il y a quelque chose qui cloche chez lui, reste à savoir quoi.
« Sans vous offenser, je pense que vous ne nous dites pas tout. »
Un nouveau grincement.
Naoto s’éloigne légèrement, ton regard la suit instinctivement, attentif à ce qu’elle fait, alors que le propriétaire des lieux essaie de se justifier. Ton attention se reporte sur lui, sur les mots qu’il bredouille pendant que tu croises les bras sur ta poitrine. Il n’y a plus aucun doute, il ment, mais tu as l’impression que tu n’arriveras pas à le faire parler.
Brièvement, tu cherches Naoto des yeux.
Celle-ci s’enfonce dans une pièce dont la porte est ouverte.
Un sursaut.
Le bruit fait accélérer ton cœur.
Une main posée dessus.
Et tes pas qui avancent vers le claquement, précipitamment. Tu poses la main sur la poignée et essaies d’ouvrir avec une certaine force, mais il n’y a rien à faire, elle ne bouge pas d’un pouce. Tu regardes les contours de la porte, sur le bâti, mais n’y vois aucun piège, aucune fermeture automatique, aucun mécanisme particulier. Tu te tournes vers le propriétaire, mais il a disparu. Tu peux entendre au bruit de ses pas qu’il n’a pas perdu de temps pour fuir la situation, l’interrogatoire et prendre ses jambes à son cou.
Tu inspires à grand coup, récupérant de la frayeur précédente. Le calme revient en ton for intérieur alors que tu entends Naoto frapper derrière, probablement paniquée. D’être seule. Dans cet endroit sombre. Enfermée. Tu t’approches au maximum de la porte pour pouvoir lui parler.
« Tout va bien Naoto. Je suis juste derrière. Je vais te poser des questions. Tu vas taper une fois pour oui, et deux fois pour non. Est-ce que tu as compris ? »
Naoto est une enfant qui ne parle pas. Tu ne sais pas si tu as déjà entendu sa voix un jour, mais tu espères que le temps lui permettra de déverrouiller ce trésor pour que tu puisses avoir une conversation avec elle. Tu aimerais beaucoup ça, en réalité. Parfois, tu essaies de combler les silences entre vous, mais très souvent, la solitude te rattrape dans ses bras froids et calmes. Tu ne montres rien, puisque tu es patiente et compréhensive de nature, mais tes yeux, par contre, c’est une autre histoire.
La première réponse te parvient.
« Est-ce qu’il y a d’autres portes là où tu es ? »
Tu attends les coups contre la porte.
« Est-ce que tu te souviens du plan de la maison ? »
Cela ne devrait pas être trop compliqué de s’en sortir si vous vous basez sur les documents fournis par le propriétaire. Tu inspires de nouveau un grand coup puis souffles sur la flamme à l’intérieur de la lanterne, posant l’objet sur une étagère du couloir. Tu n’en as pas besoin pour te diriger dans le noir, quelques filets de lumière venant de l’extérieur vont suffire. Tu as l’habitude de travailler la nuit, lorsque les gens sont endormis. C’est même lorsqu’aucune lumière n’est allumée qu’un ninja peut être le plus discret.
« On va essayer de garder le plan en mémoire et se rejoindre, d’accord ? Essaies de garder ton calme, n’uses pas de ta magie sauf si tu es attaquée. On se verra très vite. »
Il n’y a absolument rien à craindre dans cette maison, n’est-ce pas ?
Lancements de dé = 1 & 1
1. Yamato entend Naoto.
2. Yamato n'entend pas Naoto.
1. Yamato laisse la lanterne dans le couloir.
2. Yamato éteint la lanterne mais la prend avec elle.
Sa réponse te pousse vers tes soupçons : il ment ou il cache quelque chose dont il ne veut pas parler. La précipitation de ses mots, et les gouttes de sueur qui perlent sur sa tempe démontrent encore une fois son embarras. Tu plisses les yeux tout en le fixant, analysant son comportement. Il y a quelque chose qui cloche chez lui, reste à savoir quoi.
« Sans vous offenser, je pense que vous ne nous dites pas tout. »
Un nouveau grincement.
Naoto s’éloigne légèrement, ton regard la suit instinctivement, attentif à ce qu’elle fait, alors que le propriétaire des lieux essaie de se justifier. Ton attention se reporte sur lui, sur les mots qu’il bredouille pendant que tu croises les bras sur ta poitrine. Il n’y a plus aucun doute, il ment, mais tu as l’impression que tu n’arriveras pas à le faire parler.
Brièvement, tu cherches Naoto des yeux.
Celle-ci s’enfonce dans une pièce dont la porte est ouverte.
Un sursaut.
Le bruit fait accélérer ton cœur.
Une main posée dessus.
Et tes pas qui avancent vers le claquement, précipitamment. Tu poses la main sur la poignée et essaies d’ouvrir avec une certaine force, mais il n’y a rien à faire, elle ne bouge pas d’un pouce. Tu regardes les contours de la porte, sur le bâti, mais n’y vois aucun piège, aucune fermeture automatique, aucun mécanisme particulier. Tu te tournes vers le propriétaire, mais il a disparu. Tu peux entendre au bruit de ses pas qu’il n’a pas perdu de temps pour fuir la situation, l’interrogatoire et prendre ses jambes à son cou.
Tu inspires à grand coup, récupérant de la frayeur précédente. Le calme revient en ton for intérieur alors que tu entends Naoto frapper derrière, probablement paniquée. D’être seule. Dans cet endroit sombre. Enfermée. Tu t’approches au maximum de la porte pour pouvoir lui parler.
« Tout va bien Naoto. Je suis juste derrière. Je vais te poser des questions. Tu vas taper une fois pour oui, et deux fois pour non. Est-ce que tu as compris ? »
Naoto est une enfant qui ne parle pas. Tu ne sais pas si tu as déjà entendu sa voix un jour, mais tu espères que le temps lui permettra de déverrouiller ce trésor pour que tu puisses avoir une conversation avec elle. Tu aimerais beaucoup ça, en réalité. Parfois, tu essaies de combler les silences entre vous, mais très souvent, la solitude te rattrape dans ses bras froids et calmes. Tu ne montres rien, puisque tu es patiente et compréhensive de nature, mais tes yeux, par contre, c’est une autre histoire.
La première réponse te parvient.
« Est-ce qu’il y a d’autres portes là où tu es ? »
Tu attends les coups contre la porte.
« Est-ce que tu te souviens du plan de la maison ? »
Cela ne devrait pas être trop compliqué de s’en sortir si vous vous basez sur les documents fournis par le propriétaire. Tu inspires de nouveau un grand coup puis souffles sur la flamme à l’intérieur de la lanterne, posant l’objet sur une étagère du couloir. Tu n’en as pas besoin pour te diriger dans le noir, quelques filets de lumière venant de l’extérieur vont suffire. Tu as l’habitude de travailler la nuit, lorsque les gens sont endormis. C’est même lorsqu’aucune lumière n’est allumée qu’un ninja peut être le plus discret.
« On va essayer de garder le plan en mémoire et se rejoindre, d’accord ? Essaies de garder ton calme, n’uses pas de ta magie sauf si tu es attaquée. On se verra très vite. »
Il n’y a absolument rien à craindre dans cette maison, n’est-ce pas ?
Lancements de dé = 1 & 1
1. Yamato entend Naoto.
2. Yamato n'entend pas Naoto.
1. Yamato laisse la lanterne dans le couloir.
2. Yamato éteint la lanterne mais la prend avec elle.
Icon :
The man who has a conscience suffers whilst acknowledging his sin. That is his punishment. It takes something more than intelligence to act intelligently.
Phrase :
519
Messages :
Jiyan de WuWa
Featuring :
Graph BG
Crédits :
Frame :
Sprite :
09
Niveau :
81/90
Expérience :
23 475
Écus :
-- EQUIPÉS --
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
Inventaire :
Kusarigama E
Arme par défaut :
PV 41 | FOR 17 | MAG 18 | VIT 07 | TEC 06 | DEF 20 | RES 13 | MVT 04
Stats :
E D
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
Armes :
00
Etage Tour :
03
Missions accomplies :
1092
Réputation :
MAG+2
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Maitrises :
Veuf
Statut :
Soutien S :
Icon
Invité
Phrase
Messages
Messages
Joueur Joueur
Feat Feat
Crédits Crédits
Invité
Et ce bleu qui lui rit de loin,
L'attirant sans jamais descendre,
Lui donne l'infini besoin
D'un essor impossible à prendre.
- René-François Sully
L'attirant sans jamais descendre,
Lui donne l'infini besoin
D'un essor impossible à prendre.
- René-François Sully
Ghost Stories [Naoto/Yamato]
Je frappe à la porte. À chaque question que Yamato me pose, j'écoute et je frappe pour lui dire Oui ou Non.
Ici, il y a bien d'autres portes, mais au bruit, je pense qu'elles sont déjà toutes fermées. Voilà pourquoi je pense que je vais devoir prendre l'escalier pour monter à l'étage et rejoindre les escaliers principaux pour redescendre.
Pour le plan de la maison, je pense m'en souvenir, oui. En montant, j'aurai accès à un couloir long qui se boucle de manière rectangulaire. Il sera jonché de nombreuses portes jusqu'à ce que j'atteigne l'escalier principal qui devrait se trouver à l'opposé.
Et quand elle me demande de la rejoindre, c'est déjà l'idée que j'avais en tête, alors je frappe une fois de plus à la porte.
Je suis tête collée contre celle-ci. Mes mains sont froides à cause du stress, mais c'est contrôlable. Ça arrive à chaque fois que je ne me sens pas bien. Et si je me sens vraiment mal... Et bien...
Soupir. Je suis seule. Yamato est peut-être déjà partie, mais par simple envie, je tape encore une fois à la porte sans qu'elle ne parle. Maintenant, je m'éloigne et commence à faire le tour de la pièce. Le lieu est calme. Encore et toujours l'Hékastone dans une main, c'est mon unique source de lumière dans cette pièce qui doit sûrement être éclairée de bougies et de chandeliers habituellement. Je tente toutes les portes de la pièce, mais aucune ne daigne s'ouvrir. C'est bien ce que je pensais.
L'unique chemin sans porte, l'escalier, se situe donc face à moi. Je pouvais à peine voir la fin des marches avec ce faible éclairage. N'importe qui chuterait sans un peu d'éclairage.
Et une fois au sommet, me voici directement dans le couloir de l'étage. Les maisons de riches sont vraiment bizarres dans leur conception...
Éclairant les moindres petits coins qui me semblent suspects, je ne vois cependant rien d'anormal... Et je pense d'ailleurs que je pourrais me permettre d'observer certaines pièces fermées pour potentiellement faire avancer l'enquête, non? Au moins, si Yamato me demande si j'ai vu quelque chose, je pourrais lui indiquer.
Ouvrant donc lentement une première porte du couloir... hum... C'est trop de suspense inutile. J'ouvre la porte d'un coup en poussant du plat de la main... Rien de suspect si ce n'est une jeune femme qui semble assise face à un piano. Je me recule pour commencer à refermer la porte quand je commence à lentement comprendre ce qui est en train de se passer...
La femme tourne son regard vers moi...
Ses cheveux noirs en bataille tombent sur ses épaules maigrichonnes, un vêtement chaud et rouge semble la revêtir. Ses pupilles vertes brillent grâce à la lumière de l'Hékastone, si fortement que je pouvais me voir à l'intérieur de son regard, tel un miroir immense. Les imperfections sur son visage montrent qu'elle semble trop détaillée pour être l'image d'une hallucination de mon esprit.
Elle me sourit.
"Est-ce que Nikos est ici? Il m'a promis de revenir."
Sa voix résonne dans mes oreilles comme un écho, comme si elle ne venait pas de face à moi. Ma respiration ne fait qu'un tour. Bouche, poumons, cœur, veines, cerveau et puis s'extirpe pour recommencer un cycle.
J'ai envie de fuir. Mais j'ai la sensation d'avoir par inadvertance touché du regard quelque chose d'irréel.
Il n'y a pas à douter. C'est un fantôme. Un esprit.
Mes jambes se contractent, comme si elles avaient déjà parcouru une centaine de kilomètres. Comme si elles voulaient laisser tomber le reste de mon corps. Concentre-toi, Naoto. Yamato est ici, elle saura quoi faire.
Est-ce que Nikos est ici, c'est l'écrivain, non? Et elle? Qui est-elle?
Elle semble figée. Pétrifiée dans ses mouvements. Une statue qui n'attend qu'une réponse. Heureusement, elle fait moins peur quand elle ne bouge pas. Il faut que je trouve Yamato rapidement et que je lui fasse signe de venir ici. Ou bien faire venir l'écrivain.
Il se passe quelque chose de bizarre ici.
Je montre la paume de ma main, doigts tendus, signe de se stopper ou d'attendre. Et je recule.
Je n'ai pas eu plus peur qu'avant. Mais quand même. Peut-être était-ce parce qu'elle semblait plus humaine que fantôme?
Laissant alors la porte ouverte... Je continue de chercher les escaliers pour expliquer cela à Yamato.
__________
Lancement de dé = 2
1. Naoto ne trouve rien d'intéressant.
2. Naoto rencontre une femme.
3. Naoto tombe sur une pièce remplis du même livre.
Je frappe à la porte. À chaque question que Yamato me pose, j'écoute et je frappe pour lui dire Oui ou Non.
Ici, il y a bien d'autres portes, mais au bruit, je pense qu'elles sont déjà toutes fermées. Voilà pourquoi je pense que je vais devoir prendre l'escalier pour monter à l'étage et rejoindre les escaliers principaux pour redescendre.
Pour le plan de la maison, je pense m'en souvenir, oui. En montant, j'aurai accès à un couloir long qui se boucle de manière rectangulaire. Il sera jonché de nombreuses portes jusqu'à ce que j'atteigne l'escalier principal qui devrait se trouver à l'opposé.
Et quand elle me demande de la rejoindre, c'est déjà l'idée que j'avais en tête, alors je frappe une fois de plus à la porte.
Je suis tête collée contre celle-ci. Mes mains sont froides à cause du stress, mais c'est contrôlable. Ça arrive à chaque fois que je ne me sens pas bien. Et si je me sens vraiment mal... Et bien...
Soupir. Je suis seule. Yamato est peut-être déjà partie, mais par simple envie, je tape encore une fois à la porte sans qu'elle ne parle. Maintenant, je m'éloigne et commence à faire le tour de la pièce. Le lieu est calme. Encore et toujours l'Hékastone dans une main, c'est mon unique source de lumière dans cette pièce qui doit sûrement être éclairée de bougies et de chandeliers habituellement. Je tente toutes les portes de la pièce, mais aucune ne daigne s'ouvrir. C'est bien ce que je pensais.
L'unique chemin sans porte, l'escalier, se situe donc face à moi. Je pouvais à peine voir la fin des marches avec ce faible éclairage. N'importe qui chuterait sans un peu d'éclairage.
Et une fois au sommet, me voici directement dans le couloir de l'étage. Les maisons de riches sont vraiment bizarres dans leur conception...
Éclairant les moindres petits coins qui me semblent suspects, je ne vois cependant rien d'anormal... Et je pense d'ailleurs que je pourrais me permettre d'observer certaines pièces fermées pour potentiellement faire avancer l'enquête, non? Au moins, si Yamato me demande si j'ai vu quelque chose, je pourrais lui indiquer.
Ouvrant donc lentement une première porte du couloir... hum... C'est trop de suspense inutile. J'ouvre la porte d'un coup en poussant du plat de la main... Rien de suspect si ce n'est une jeune femme qui semble assise face à un piano. Je me recule pour commencer à refermer la porte quand je commence à lentement comprendre ce qui est en train de se passer...
La femme tourne son regard vers moi...
Ses cheveux noirs en bataille tombent sur ses épaules maigrichonnes, un vêtement chaud et rouge semble la revêtir. Ses pupilles vertes brillent grâce à la lumière de l'Hékastone, si fortement que je pouvais me voir à l'intérieur de son regard, tel un miroir immense. Les imperfections sur son visage montrent qu'elle semble trop détaillée pour être l'image d'une hallucination de mon esprit.
Elle me sourit.
"Est-ce que Nikos est ici? Il m'a promis de revenir."
Sa voix résonne dans mes oreilles comme un écho, comme si elle ne venait pas de face à moi. Ma respiration ne fait qu'un tour. Bouche, poumons, cœur, veines, cerveau et puis s'extirpe pour recommencer un cycle.
J'ai envie de fuir. Mais j'ai la sensation d'avoir par inadvertance touché du regard quelque chose d'irréel.
Il n'y a pas à douter. C'est un fantôme. Un esprit.
Mes jambes se contractent, comme si elles avaient déjà parcouru une centaine de kilomètres. Comme si elles voulaient laisser tomber le reste de mon corps. Concentre-toi, Naoto. Yamato est ici, elle saura quoi faire.
Est-ce que Nikos est ici, c'est l'écrivain, non? Et elle? Qui est-elle?
Elle semble figée. Pétrifiée dans ses mouvements. Une statue qui n'attend qu'une réponse. Heureusement, elle fait moins peur quand elle ne bouge pas. Il faut que je trouve Yamato rapidement et que je lui fasse signe de venir ici. Ou bien faire venir l'écrivain.
Il se passe quelque chose de bizarre ici.
Je montre la paume de ma main, doigts tendus, signe de se stopper ou d'attendre. Et je recule.
Je n'ai pas eu plus peur qu'avant. Mais quand même. Peut-être était-ce parce qu'elle semblait plus humaine que fantôme?
Laissant alors la porte ouverte... Je continue de chercher les escaliers pour expliquer cela à Yamato.
__________
Lancement de dé = 2
1. Naoto ne trouve rien d'intéressant.
2. Naoto rencontre une femme.
3. Naoto tombe sur une pièce remplis du même livre.
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Yamato Gyokuyô
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Kanagawa
Après avoir entendu le dernier coup de Naoto contre la porte, tu délaisses, à contre coeur, la porte derrière laquelle l’enfant est coincée. Il y a des portes, elle devrait donc pouvoir s’en sortir ou au moins, te rejoindre quelque part. Cette maison ne peut pas être aussi grande qu’un labyrinthe tout de même. Tu ne t’inquiètes pas plus que nécessaire, soufflant un bon coup pour te donner la motivation d’avancer dans ce dédale sombre.
Tu traverses un nouveau couloir, à la luminosité quasi inexistante. Tu te permets de légèrement tiré les bords des rideaux sur ton chemin pour créer un filet de luminosité qui te permettra de retrouver ta route en cas de besoin, ou au moins, de voir derrière toi pour n’avoir aucune surprise.
Alternant entre avancée et prudence avec des regards dans ton dos, et les petites aiguilles qui maintiennent tant bien que mal le tissu épais des rideaux, tu continues de t’enfoncer dans le manoir. Le silence pourrait presque te provoquer des frissons si tu n’y étais pas habituée. Nombreuses sont tes anciennes missions qui se passaient dans un silence et un noir absolu, avec pour seul repère, les rayons de la lune.
Tu es une kunoichi avec quelques années d’expérience, tu n’es pas effrayée par les conditions de cette mission, même si l’ambiance est différente. Tu ressens des petits frissons sur tes avant-bras, dressant tes poils par intermittence, comme si quelque chose d’inexplicable se tramait dans l’ombre. D’où la précaution de regarder régulièrement derrière toi, pour ne pas être surprise d’une visite inattendue.
Tu essaies d’ouvrir une porte, mais celle-ci, entrebâillée, semble coincée par quelque chose derrière. Tu décides donc de jeter un œil, t’approchant de l’ouverture pour approfondir ta recherche. A première vue, il n’y a absolument rien, si ce n’est des caisses empilées, dont certaines juste derrière la porte, ce qui t’empêche de l’ouvrir à la manière douce.
Perdue dans tes pensées, tu sens un souffle froid contre ton visage. Sous tes yeux écarquillés, dans ce silence morbide qui te serre soudainement les tripes, la figure d’une personne apparaît, blanche comme la mort, les prunelles livides, d’une couleur opaque qui ne fait aucun doute sur la nature de cette “personne”. Elle est morte.
Sous le coup de la surprise, lorsque ton cerveau se remet en marche après un moment de blanc infernal, tu recules d’un pas pour mieux observer le quart de la silhouette qui se trouve derrière cette porte. Là, se trouve un fantôme. Un esprit qui s’est matérialisé sous ton regard inattentif. Toutes les légendes que tu racontes à tord et à travers, pour faire peur aux gens, elles existent.
Ton coeur s’emballe.
Mais pas à cause de la peur.
Tu as là, une histoire réelle, à raconter lorsque tes élèves ou quelques soldats se rassembleront autour d’un feu. Lorsque la mission sera terminée ou sur le point de commencer, lorsqu’une stratégie a été mise au point et qu’il vous reste du temps pour discuter ou manger. Tu essaies de calmer ton enthousiasme et reprendre tes “esprits”. Cette pensée te donne envie de sourire, mais tu fronces les sourcils à la place.
« Bonjour. Qui es-tu ? »
A bien le regarder, l’esprit est probablement un jeune adolescent d’environ onze ou douze ans, qui n’égale ta grandeur que parce qu’il se tient sur l’une des caisses. Le garçon adoucit son expression, comme s’il s’attendait à ce que tu prennes tes jambes à ton cou, à ce que tu cries, à ce que tu deviennes hystérique. Ton calme doit le surprendre, car sa tête se penche d’un côté.
« Es-tu coincé dans cette pièce ? »
Naturellement, tu t’approches de la porte pour essayer de la pousser à nouveau, mais à peine as-tu touché la poignée, qu’il disparaît comme la vapeur d’une eau bouillante. Tu restes interdite quelques secondes et recules de quelques pas à nouveau. Tes sourcils froncés dans une mine songeuse, tu glisses l’une de tes mains dans tes cheveux, réfléchissant à toute vitesse.
Si un esprit se balade dans cette maison, alors le propriétaire a raison d’avoir peur. Mais pour quelle raison des esprits seraient coincés ici ? Généralement, on donne aux mort-vivants l’excuse d’être mort tragiquement ou soudainement, mais quelle est la différence avec les esprits ? Tu as la preuve concrète que c’est possible, que les fantômes existent … Tu n’en reviens pas.
Perturbée et excitée par ta découverte, tu continues ton chemin, effectuant machinalement tes précédentes actions avec les rideaux, oubliant de regarder derrière toi. Tu atteins enfin une porte qui s’ouvre tout à fait normalement, et y entres en y apercevant un escalier droit et étroit. Dans une voix claire et distincte, tu appelles alors ta protégée.
« Naoto ? »
________________________________
Lancers de dé :
1. Une silhouette passe dans la pièce.
2. Un visage apparaît dans l'entrebâillement de la porte.
3. Une fredonnement est entendu derrière.
1. Le fantôme disparaît.
2. Le fantôme traverse la porte, ne peut pas parler.
3. Traverse la porte et prononce quelques mots.
Tu traverses un nouveau couloir, à la luminosité quasi inexistante. Tu te permets de légèrement tiré les bords des rideaux sur ton chemin pour créer un filet de luminosité qui te permettra de retrouver ta route en cas de besoin, ou au moins, de voir derrière toi pour n’avoir aucune surprise.
Alternant entre avancée et prudence avec des regards dans ton dos, et les petites aiguilles qui maintiennent tant bien que mal le tissu épais des rideaux, tu continues de t’enfoncer dans le manoir. Le silence pourrait presque te provoquer des frissons si tu n’y étais pas habituée. Nombreuses sont tes anciennes missions qui se passaient dans un silence et un noir absolu, avec pour seul repère, les rayons de la lune.
Tu es une kunoichi avec quelques années d’expérience, tu n’es pas effrayée par les conditions de cette mission, même si l’ambiance est différente. Tu ressens des petits frissons sur tes avant-bras, dressant tes poils par intermittence, comme si quelque chose d’inexplicable se tramait dans l’ombre. D’où la précaution de regarder régulièrement derrière toi, pour ne pas être surprise d’une visite inattendue.
Tu essaies d’ouvrir une porte, mais celle-ci, entrebâillée, semble coincée par quelque chose derrière. Tu décides donc de jeter un œil, t’approchant de l’ouverture pour approfondir ta recherche. A première vue, il n’y a absolument rien, si ce n’est des caisses empilées, dont certaines juste derrière la porte, ce qui t’empêche de l’ouvrir à la manière douce.
Perdue dans tes pensées, tu sens un souffle froid contre ton visage. Sous tes yeux écarquillés, dans ce silence morbide qui te serre soudainement les tripes, la figure d’une personne apparaît, blanche comme la mort, les prunelles livides, d’une couleur opaque qui ne fait aucun doute sur la nature de cette “personne”. Elle est morte.
Sous le coup de la surprise, lorsque ton cerveau se remet en marche après un moment de blanc infernal, tu recules d’un pas pour mieux observer le quart de la silhouette qui se trouve derrière cette porte. Là, se trouve un fantôme. Un esprit qui s’est matérialisé sous ton regard inattentif. Toutes les légendes que tu racontes à tord et à travers, pour faire peur aux gens, elles existent.
Ton coeur s’emballe.
Mais pas à cause de la peur.
Tu as là, une histoire réelle, à raconter lorsque tes élèves ou quelques soldats se rassembleront autour d’un feu. Lorsque la mission sera terminée ou sur le point de commencer, lorsqu’une stratégie a été mise au point et qu’il vous reste du temps pour discuter ou manger. Tu essaies de calmer ton enthousiasme et reprendre tes “esprits”. Cette pensée te donne envie de sourire, mais tu fronces les sourcils à la place.
« Bonjour. Qui es-tu ? »
A bien le regarder, l’esprit est probablement un jeune adolescent d’environ onze ou douze ans, qui n’égale ta grandeur que parce qu’il se tient sur l’une des caisses. Le garçon adoucit son expression, comme s’il s’attendait à ce que tu prennes tes jambes à ton cou, à ce que tu cries, à ce que tu deviennes hystérique. Ton calme doit le surprendre, car sa tête se penche d’un côté.
« Es-tu coincé dans cette pièce ? »
Naturellement, tu t’approches de la porte pour essayer de la pousser à nouveau, mais à peine as-tu touché la poignée, qu’il disparaît comme la vapeur d’une eau bouillante. Tu restes interdite quelques secondes et recules de quelques pas à nouveau. Tes sourcils froncés dans une mine songeuse, tu glisses l’une de tes mains dans tes cheveux, réfléchissant à toute vitesse.
Si un esprit se balade dans cette maison, alors le propriétaire a raison d’avoir peur. Mais pour quelle raison des esprits seraient coincés ici ? Généralement, on donne aux mort-vivants l’excuse d’être mort tragiquement ou soudainement, mais quelle est la différence avec les esprits ? Tu as la preuve concrète que c’est possible, que les fantômes existent … Tu n’en reviens pas.
Perturbée et excitée par ta découverte, tu continues ton chemin, effectuant machinalement tes précédentes actions avec les rideaux, oubliant de regarder derrière toi. Tu atteins enfin une porte qui s’ouvre tout à fait normalement, et y entres en y apercevant un escalier droit et étroit. Dans une voix claire et distincte, tu appelles alors ta protégée.
« Naoto ? »
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Lancers de dé :
1. Une silhouette passe dans la pièce.
2. Un visage apparaît dans l'entrebâillement de la porte.
3. Une fredonnement est entendu derrière.
1. Le fantôme disparaît.
2. Le fantôme traverse la porte, ne peut pas parler.
3. Traverse la porte et prononce quelques mots.
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The man who has a conscience suffers whilst acknowledging his sin. That is his punishment. It takes something more than intelligence to act intelligently.
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519
Messages :
Jiyan de WuWa
Featuring :
Graph BG
Crédits :
Frame :
Sprite :
09
Niveau :
81/90
Expérience :
23 475
Écus :
-- EQUIPÉS --
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
Inventaire :
Kusarigama E
Arme par défaut :
PV 41 | FOR 17 | MAG 18 | VIT 07 | TEC 06 | DEF 20 | RES 13 | MVT 04
Stats :
E D
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
Armes :
00
Etage Tour :
03
Missions accomplies :
1092
Réputation :
MAG+2
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Maitrises :
Veuf
Statut :
Soutien S :
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Enfermé, enfermé entre mer et tristesse.
Silencieux, délirant, entre deux statues de gondoliers.
- Pablo Neruda
Silencieux, délirant, entre deux statues de gondoliers.
- Pablo Neruda
Ghost Stories [Naoto/Yamato]
Les choses ici sont de plus en plus bizarres, un nouveau riche qui s'enferme dans sa demeure, il ne semble pas tout nous dire sur ce qu'il sait et souhaite pourtant être aidé... Un fantôme qui attend son retour...
Immédiatement, je pense à l'idée que l'écrivain ne serait pas le réel créateur de cet ouvrage.
C'est bien évidemment une supposition, mais c'est à ça que me fait penser cette histoire actuellement...
Mes pieds au bruit étouffé par le tapis du long couloir, le silence est toujours effrayant. Mais je dois être forte. J'ai tout pour ne pas avoir peur. Yamato est ici. J'ai de la lumière. Je connais à peu près les plans de l'habitation.
Mais le cœur ne cesse de battre à la porte de ma cage thoracique, aussi fort que moi contre la porte de ma chambre plus jeune, avec l'espoir que Naoki ouvre la porte et me laisse aider maman.
Je me stoppe une seconde. Peut-être une minute.
Simplement le temps de me concentrer, car ce n'est nullement l'instant pour penser à autre chose.
Focus sur la mission. Calme, pour mieux comprendre les choses. C'est comme ça que je dois être et penser.
Je dois grandir un peu.
J'entends alors sa voix.
Faible mais parfaitement audible par l'absence du moindre son environnant du lieu.
Mes pas se font alors bien plus confiants, bien plus rapides jusqu'à apercevoir un escalier descendant!
En haut de l'escalier, je respire. Montre à Yamato que tu te portes bien. Montre à Yamato que tu es parvenue à rester seule sans paniquer. Et puis j'ai même rencontré un fantôme! Comment le lui dire...
J'ouvre la bouche, instinct humain pour m'exprimer. Mais aussitôt un frisson parcourt mon crâne. Et je m'en veux. Et je m'en veux. Et je m'en veux...
Je descends l'escalier, la lumière révèle bien avant le bruit mon arrivée. C'est bel et bien Yamato. Mais elle n'a pas la moindre lumière avec elle pour se repérer, avait-elle perdu sa lanterne? J'accepte de comprendre qu'il est plus discret de se dissimuler sans lumière, mais c'est quand même un confort bien agréable pour une mission de ce niveau, non?
Mon cœur se reprend. Il est rassuré de la voir. Moi aussi.
Je descends complètement les escaliers et je me rapproche d'elle. Je vais bien.
Posant l'hékastone sur le sol une seconde, je m'approche d'un mur pour dessiner, ce qui sera plus simple pour moi. Avec ma glace qui se forme légèrement sur le bout d'un de mes index, je dessine malhabilement une tête avec des cheveux longs, un dessin de fantôme et je pointe ensuite mon doigt vers le ciel.
Puis je constate d'ailleurs que l'écrivain ne se trouve plus avec elle. C'est bien ma chance... Moi qui pensais que tout serait vite fini. Je lance un regard derrière Yamato, comme pour montrer que je cherche quelque chose, puis j'attends qu'elle m'explique comment cela s'est passé de son côté... Normalement, c'est tout ce que je souhaite.
Je reprends ensuite la lumière avec moi, mais je me demande si Yamato ne préférerait pas l'éteindre.
Comment est-ce que je peux éteindre la lumière de ce truc...
Du moment que je suis avec elle, tout devrait bien se passer. Et puis je crois que je commence à m'habituer au lieu aussi à force de m'attendre en permanence à être surprise par tout ce qui m'entoure.
___________________
1. Naoto garde l'hékastone avec elle allumé pour suivre Yamato.
2. Naoto souhaite coupe la lumière de l'hékastone pour faire comme Yamato.
3. Naoto partira en oubliant l'hékastone au risque de décevoir Yamato.
Les choses ici sont de plus en plus bizarres, un nouveau riche qui s'enferme dans sa demeure, il ne semble pas tout nous dire sur ce qu'il sait et souhaite pourtant être aidé... Un fantôme qui attend son retour...
Immédiatement, je pense à l'idée que l'écrivain ne serait pas le réel créateur de cet ouvrage.
C'est bien évidemment une supposition, mais c'est à ça que me fait penser cette histoire actuellement...
Mes pieds au bruit étouffé par le tapis du long couloir, le silence est toujours effrayant. Mais je dois être forte. J'ai tout pour ne pas avoir peur. Yamato est ici. J'ai de la lumière. Je connais à peu près les plans de l'habitation.
Mais le cœur ne cesse de battre à la porte de ma cage thoracique, aussi fort que moi contre la porte de ma chambre plus jeune, avec l'espoir que Naoki ouvre la porte et me laisse aider maman.
Je me stoppe une seconde. Peut-être une minute.
Simplement le temps de me concentrer, car ce n'est nullement l'instant pour penser à autre chose.
Focus sur la mission. Calme, pour mieux comprendre les choses. C'est comme ça que je dois être et penser.
Je dois grandir un peu.
J'entends alors sa voix.
Faible mais parfaitement audible par l'absence du moindre son environnant du lieu.
Mes pas se font alors bien plus confiants, bien plus rapides jusqu'à apercevoir un escalier descendant!
En haut de l'escalier, je respire. Montre à Yamato que tu te portes bien. Montre à Yamato que tu es parvenue à rester seule sans paniquer. Et puis j'ai même rencontré un fantôme! Comment le lui dire...
J'ouvre la bouche, instinct humain pour m'exprimer. Mais aussitôt un frisson parcourt mon crâne. Et je m'en veux. Et je m'en veux. Et je m'en veux...
Je descends l'escalier, la lumière révèle bien avant le bruit mon arrivée. C'est bel et bien Yamato. Mais elle n'a pas la moindre lumière avec elle pour se repérer, avait-elle perdu sa lanterne? J'accepte de comprendre qu'il est plus discret de se dissimuler sans lumière, mais c'est quand même un confort bien agréable pour une mission de ce niveau, non?
Mon cœur se reprend. Il est rassuré de la voir. Moi aussi.
Je descends complètement les escaliers et je me rapproche d'elle. Je vais bien.
Posant l'hékastone sur le sol une seconde, je m'approche d'un mur pour dessiner, ce qui sera plus simple pour moi. Avec ma glace qui se forme légèrement sur le bout d'un de mes index, je dessine malhabilement une tête avec des cheveux longs, un dessin de fantôme et je pointe ensuite mon doigt vers le ciel.
Puis je constate d'ailleurs que l'écrivain ne se trouve plus avec elle. C'est bien ma chance... Moi qui pensais que tout serait vite fini. Je lance un regard derrière Yamato, comme pour montrer que je cherche quelque chose, puis j'attends qu'elle m'explique comment cela s'est passé de son côté... Normalement, c'est tout ce que je souhaite.
Je reprends ensuite la lumière avec moi, mais je me demande si Yamato ne préférerait pas l'éteindre.
Comment est-ce que je peux éteindre la lumière de ce truc...
Du moment que je suis avec elle, tout devrait bien se passer. Et puis je crois que je commence à m'habituer au lieu aussi à force de m'attendre en permanence à être surprise par tout ce qui m'entoure.
___________________
1. Naoto garde l'hékastone avec elle allumé pour suivre Yamato.
2. Naoto souhaite coupe la lumière de l'hékastone pour faire comme Yamato.
3. Naoto partira en oubliant l'hékastone au risque de décevoir Yamato.
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Yamato Gyokuyô
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Kanagawa
Alors que tu appelles Naoto, avec l’espoir que la petite soit quelque part, pas loin, tu vois une faible lueur en haut des escaliers. Ton cœur rate un battement, imaginant bien malgré toi, qu’il s’agit d’un nouveau fantôme. Ton palpitant s’accélère considérablement, avant que tu n’entendes des pas s’approcher du précipice de marches. Bien que tu espérais une nouvelle présence surnaturelle, tu ne peux ni empêcher le soulager d’apparaître sur ton visage, ni même le cacher. Tu laisses un petit soupir traverser tes lèvres, observant la petite s’approcher de toi. Elle semble rassurée de son côté que tu sois là, que tu n’aies pas disparu.
Tu laisses un doux sourire étirer tes lèvres en voyant ses réactions. Tu te demandes bien ce qu’elle a découvert de son côté. Comme pour parler et tout te raconter, elle ouvre la bouche. Tes yeux s’illuminent d’un espoir sans nom, avant que la petite se ravise et décide d’utiliser sa magie pour dessiner une silhouette sur le mur. Une personne aux cheveux longs de par sa représentation graphique. Tu te mets à réfléchir.
Une femme.
Un enfant.
Tu fronces les sourcils. La situation est bien plus complexe qu’il n’y paraît. Il faut absolument trouver l’origine de ces esprits qui hantent cette demeure, pour qu’ils puissent aller jusqu’à la réincarnation en oubliant leur vie passée.
« De mon côté, j’ai fait une rencontre de la même nature que toi. Un enfant se cachait dans une pièce, je n’ai pas réussi à le faire parler ou savoir de qui il s’agissait. »
Cependant, le mystère est complet et continue de s’épaissir. Et le temps presse pour vous deux. Il va falloir trouver un moyen pour communiquer avec ces esprits et connaître la vérité. Tu attrapes la main de Naoto et la traînes avec toi, devant la pièce où tu as croisé l’enfant pâle. Tu n’y vas pas par quatre chemins, et essaies de légèrement bouger ce qui bloque l’entrée.
Rien ne bouge.
« Si tu es derrière cette porte … Saches que nous ne te voulons pas de mal. Nous voulons simplement savoir ce qui t’est arrivé. »
Tu n’as jamais appelé ou parlé avec des esprits, alors tu vas plutôt le considérer comme un enfant tout à fait normal et le rassurer dans un premier temps.
« Si tu ne réponds pas … Je vais devoir trouver un autre moyen pour communiquer avec toi. Et je ne sais pas si ce sera aussi agréable. »
Tu bluffes, mais quel meilleur moyen pour l’attirer ? Tu n’as pas beaucoup de solutions. Puis soudainement, un souffle froid parcourt ton échine, un long frisson qui court sur tout ton corps, comme pour t’avertir d’une présence non désirée. Tu te retournes brusquement pour rencontrer le regard de Naoto, qui est aussi perdue que toi face à cette situation étrange.
A la différence, c’est que tu n’es aucunement effrayée par ce qui se passe dans cette maison. Ton but est de résoudre cette affaire quoi qu’il en coûte. En plissant les yeux, tu aperçois une vague tâche blanche derrière ta protégée. Celle-ci se déplace jusqu’au bout du couloir dans une légère traînée fumée blanche qui disparaît presque aussitôt.
« Suivons-la. Restes près de moi Naoto. »
Une main sur la poignée de ton glaive dans le doute où tu devrais te défendre, tu décides de suivre l’esprit sans aucune forme. Il vous fait traverser le couloir, vous fait monter les escaliers desquels Naoto est descendue précédemment, vous fait de nouveau traverser un corridor dans l’obscurité jusqu’à s’arrêter au beau milieu d’une impasse. Tu ne comprends pas ce qu’il faut faire à présent.
« Que cherches-tu à nous faire comprendre ? Est-ce qu’il y a quelque chose ici ? »
La seule chose qui traîne contre un mur est une échelle vaguement délaissée.
« Naoto, éclaires les murs pour essayer de trouver … Je ne sais quoi. »
Parce que tu n’as vraiment aucune idée de ce que souhaite l’esprit.
Grâce aux lueurs de l’hékastone, les murs peuvent être observés avec attention, essayant d’y trouver un indice, un son creux en tapant dans les parois, trouver un bout de peinture écaillé ou encore, des traces de mains, de sang, de poussière anormale. Cela dit, après plusieurs minutes, vous ne parvenez pas à trouver quoi que ce soit de marquant. Tout est normal, tout est à sa place, tout est propre, presque de manière obsessionnelle.
Lasse, tu rejettes ta tête en arrière pour souffler un bon coup. En levant les yeux vers le plafond, tu aperçois un crochet de grenier cloué. Tu te redresses et regardes correctement au-dessus de ta tête.
« Regardes ça Naoto … Il y a quelque chose au plafond. »
____________________
Tir de dé = 3
1. l'esprit les mène dans une cave.
2. l'esprit les mène dans une pièce condamnée par un mur récent.
3. l'esprit les mène jusqu'au grenier.
Tu laisses un doux sourire étirer tes lèvres en voyant ses réactions. Tu te demandes bien ce qu’elle a découvert de son côté. Comme pour parler et tout te raconter, elle ouvre la bouche. Tes yeux s’illuminent d’un espoir sans nom, avant que la petite se ravise et décide d’utiliser sa magie pour dessiner une silhouette sur le mur. Une personne aux cheveux longs de par sa représentation graphique. Tu te mets à réfléchir.
Une femme.
Un enfant.
Tu fronces les sourcils. La situation est bien plus complexe qu’il n’y paraît. Il faut absolument trouver l’origine de ces esprits qui hantent cette demeure, pour qu’ils puissent aller jusqu’à la réincarnation en oubliant leur vie passée.
« De mon côté, j’ai fait une rencontre de la même nature que toi. Un enfant se cachait dans une pièce, je n’ai pas réussi à le faire parler ou savoir de qui il s’agissait. »
Cependant, le mystère est complet et continue de s’épaissir. Et le temps presse pour vous deux. Il va falloir trouver un moyen pour communiquer avec ces esprits et connaître la vérité. Tu attrapes la main de Naoto et la traînes avec toi, devant la pièce où tu as croisé l’enfant pâle. Tu n’y vas pas par quatre chemins, et essaies de légèrement bouger ce qui bloque l’entrée.
Rien ne bouge.
« Si tu es derrière cette porte … Saches que nous ne te voulons pas de mal. Nous voulons simplement savoir ce qui t’est arrivé. »
Tu n’as jamais appelé ou parlé avec des esprits, alors tu vas plutôt le considérer comme un enfant tout à fait normal et le rassurer dans un premier temps.
« Si tu ne réponds pas … Je vais devoir trouver un autre moyen pour communiquer avec toi. Et je ne sais pas si ce sera aussi agréable. »
Tu bluffes, mais quel meilleur moyen pour l’attirer ? Tu n’as pas beaucoup de solutions. Puis soudainement, un souffle froid parcourt ton échine, un long frisson qui court sur tout ton corps, comme pour t’avertir d’une présence non désirée. Tu te retournes brusquement pour rencontrer le regard de Naoto, qui est aussi perdue que toi face à cette situation étrange.
A la différence, c’est que tu n’es aucunement effrayée par ce qui se passe dans cette maison. Ton but est de résoudre cette affaire quoi qu’il en coûte. En plissant les yeux, tu aperçois une vague tâche blanche derrière ta protégée. Celle-ci se déplace jusqu’au bout du couloir dans une légère traînée fumée blanche qui disparaît presque aussitôt.
« Suivons-la. Restes près de moi Naoto. »
Une main sur la poignée de ton glaive dans le doute où tu devrais te défendre, tu décides de suivre l’esprit sans aucune forme. Il vous fait traverser le couloir, vous fait monter les escaliers desquels Naoto est descendue précédemment, vous fait de nouveau traverser un corridor dans l’obscurité jusqu’à s’arrêter au beau milieu d’une impasse. Tu ne comprends pas ce qu’il faut faire à présent.
« Que cherches-tu à nous faire comprendre ? Est-ce qu’il y a quelque chose ici ? »
La seule chose qui traîne contre un mur est une échelle vaguement délaissée.
« Naoto, éclaires les murs pour essayer de trouver … Je ne sais quoi. »
Parce que tu n’as vraiment aucune idée de ce que souhaite l’esprit.
Grâce aux lueurs de l’hékastone, les murs peuvent être observés avec attention, essayant d’y trouver un indice, un son creux en tapant dans les parois, trouver un bout de peinture écaillé ou encore, des traces de mains, de sang, de poussière anormale. Cela dit, après plusieurs minutes, vous ne parvenez pas à trouver quoi que ce soit de marquant. Tout est normal, tout est à sa place, tout est propre, presque de manière obsessionnelle.
Lasse, tu rejettes ta tête en arrière pour souffler un bon coup. En levant les yeux vers le plafond, tu aperçois un crochet de grenier cloué. Tu te redresses et regardes correctement au-dessus de ta tête.
« Regardes ça Naoto … Il y a quelque chose au plafond. »
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Tir de dé = 3
1. l'esprit les mène dans une cave.
2. l'esprit les mène dans une pièce condamnée par un mur récent.
3. l'esprit les mène jusqu'au grenier.
Icon :
The man who has a conscience suffers whilst acknowledging his sin. That is his punishment. It takes something more than intelligence to act intelligently.
Phrase :
519
Messages :
Jiyan de WuWa
Featuring :
Graph BG
Crédits :
Frame :
Sprite :
09
Niveau :
81/90
Expérience :
23 475
Écus :
-- EQUIPÉS --
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
Inventaire :
Kusarigama E
Arme par défaut :
PV 41 | FOR 17 | MAG 18 | VIT 07 | TEC 06 | DEF 20 | RES 13 | MVT 04
Stats :
E D
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
Armes :
00
Etage Tour :
03
Missions accomplies :
1092
Réputation :
MAG+2
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Maitrises :
Veuf
Statut :
Soutien S :
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Je suis comme un peintre qu’un Dieu moqueur
Condamne à peindre, hélas !
- Charles Baudelaire
Condamne à peindre, hélas !
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Ghost Stories [Naoto/Yamato]
TW: Cadavre.
Yamato se montre de plus en plus sérieuse à mesure que le temps passe, le silence s'émancipe de son origine pour se faire entendre comme le son des aiguilles du temps. La lumière éteinte, je m'adapte lentement à l'obscurité, mais pas assez pour discerner correctement mon environnement au moment où Yamato me tire la main. Certainement vers la pièce de l'enfant caché. Mais est-ce "réellement" un enfant? Est-ce peut-être un esprit, comme la femme que j'ai pu apercevoir?
Cette pensée me donne un léger frisson de doute sur ce qui pouvait bien se passer ici.
Ce livre. Il semble bien trop important. Et puis il y a bien trop de signaux pour croire que la présence d'esprit en ce lieu ne soit que pure coïncidence.
Face à cette porte immobile, résistante même à la force de Yamato, je pense encore que la fracasser pour entrer serait une bonne option, mais encore une fois, ce n'est pas la solution à adopter ici alors je reste simplement observatrice de la tentative de persuasion de ma cheffe qui tente la technique de la sagesse avant celle de la maman qui gronde. J'en ai presque un frisson moi-même de souvenir étrangement nostalgique.
Et puis, est-ce que cela peut vraiment fonctionner de gronder un esprit?
Et soudainement vint un frisson qui nous semble commun à moi et Yamato, si commun qu'elle se retourne vers moi, constatant la frayeur qui revient toujours au galop, malgré chaque moment où je pense l'avoir surmontée. Peut-être car c'est quelque chose d'inconnu et nouveau, quelque chose que je n'ai jamais ressenti avant. Peut-être que la prochaine fois, ça ira mieux?
En fait, j'en suis même à peu près certaine. Quand Yamato me demande de suivre ce qu'elle aperçoit derrière moi, l'étrange fumée ne me fait nullement peur. Voir diverses formes d'esprits se déplacer dans ce lieu devient comme une chose naturelle, comme si je m'habituais à un nouveau monde, une nouvelle existence.
Une nouvelle marche dans ce lieu où le temps poursuit sa tumulte dans l'obscurité pesante. On finit même par remonter à l'étage. Vais-je à nouveau croiser cette femme? Ne m'en voudra-t-elle pas de revenir sans la personne qu'elle réclamait?
Des questions qui s'évanouissent dans les profondeurs de mon esprit car je n'arrive pas vraiment à reconnaître précisément les lieux de l'étage sans lumière... Comme si tout était nouveau pour moi.
Puis, une impasse.
Yamato tente encore une fois d'échanger avec l'esprit qui s'évanouit dans l'impasse, puis l'analyse de la zone commence.
L'hékastone dans ma main libre depuis tout à l'heure vient faire jaillir à nouveau sa lumière, presque trop forte pour nous deux qui nous étions bien habituées à l'obscurité. Quelques secondes seront alors nécessaires pour nos yeux avant d'observer dans les moindres recoins l'impasse. Celle-ci est, à la différence du reste du couloir, vide de tout mouvement humain. Hormis une échelle légèrement poussiéreuse, rien.
Figer est le son ici. Même le silence se tait.
Les ornements sont là, posés, symétriques, centrés.
Une table de décoration avec un tiroir, mais rien dedans.
« Regarde ça, Naoto… Il y a quelque chose au plafond. »
Mes yeux s'élèvent sur la trappe d'une pièce au-dessus de cette impasse. Silence.
Un grenier qui semble fermé et même condamné. Il y a quelque chose ici, il n'y a nul doute là-dessus.
Je prends alors l'échelle avec Yamato, moyen le plus simple de monter. Et dans un sentiment que je ne saurais expliquer, je décide moi de monter à celle-ci.
Un bruit peut alors se faire entendre. Un frottement presque indiscernable si l'on ne se trouve pas contre la trappe.
Je n'essaie même pas de réfléchir à si j'en ai le droit ou non, je pose une main contre la trappe et viens faire levier avec la création d'un morceau de glace dans la fente légère de la trappe et le clou qui avait ébréché finement le bois.
La trappe s'ouvre et ma tête peut alors s'élever.
L'obscurité atténue ma réaction qui se marque sur mon visage à mesure que mes yeux s'adaptent.
Les corps sans vie de deux personnes.
Une femme à la peau rétractée et solide contre les os, attachée à l'une des poutres des fondations de la maison. Comme abandonnée et oubliée ici depuis plusieurs semaines à quelques mois.
Le corps couché d'un enfant à quelques centimètres de la trappe. Ses mains collées au sol et dont les marques indiquent qu'il avait dû frapper et gratter le bois jusqu'à s'arracher la peau des phalanges. Ses vêtements flétris et arrachés comme s'il avait essayé de manger ses propres vêtements pour survivre, si ce ne sont pas les souris et les rats cachés dans la maison.
Mon regard n'arrive pas à se dérober de l'horreur. Un spectacle plus atroce encore que les monstres vivants en Cheldis ne pourraient proposer.
Mon regard tremble. Ce n'est pas humain. Et même si les pièces de l'histoire ne sont pas encore pleinement en place dans mon esprit, je ne pouvais en venir qu'à une seule et unique conclusion.
J'entends alors des bruits de pas qui se rapprochent de moi et Yamato, je me doute qu'il ne peut pas s'agir d'elle.
Malgré ma respiration haletante, j'entends parfaitement. Je vois parfaitement.
- Ha! Heu... Vo... Vous... Vous avez ouvert la trappe! Voilà longtemps que je cherche à l'ouvrir sans y parvenir pour entreposer m...
Sa voix se stoppe au contact de mon regard. Face à cette situation, mon cœur implose et l'air commence à se rafraîchir autour de moi et Yamato, si soudainement que de l'humidité commence à couler des murs pour devenir des morceaux de glace. L'échelle pourrait même coller aux mains de Yamato.
Je suis certaine qu'il est le responsable.
Il est pire qu'un monstre. Pourquoi? Pourquoi?
Est-ce pour la noblesse? Pour ce lieu? Ce livre? Par pur plaisir?
Une femme et un fils...
Agrippée d'une main à l'échelle encore, je plante quasiment mes ongles dans la couverture de mon catalyseur pour me contenir et ne pas faire de mal à Yamato. Mais au moindre mouvement de fuite de cet homme, je n'hésiterais pas à tenter de l'arrêter. Tout ce que je veux, c'est ne pas blesser Yamato.
_______________________
Tir de dé = 2
1. Nikos Kazantzakis arrive avant l'ouverture de la trappe et tente de dissuader Naoto et Yamato e s'y rendre.
2. Nikos Kazantzakis arrive après l'ouverture de la trappe et cherche a nier la découverte.
3. Après l'ouverture de la trappe, Naoto part à la recherche de Nikos Kazantzakis.
TW: Cadavre.
Yamato se montre de plus en plus sérieuse à mesure que le temps passe, le silence s'émancipe de son origine pour se faire entendre comme le son des aiguilles du temps. La lumière éteinte, je m'adapte lentement à l'obscurité, mais pas assez pour discerner correctement mon environnement au moment où Yamato me tire la main. Certainement vers la pièce de l'enfant caché. Mais est-ce "réellement" un enfant? Est-ce peut-être un esprit, comme la femme que j'ai pu apercevoir?
Cette pensée me donne un léger frisson de doute sur ce qui pouvait bien se passer ici.
Ce livre. Il semble bien trop important. Et puis il y a bien trop de signaux pour croire que la présence d'esprit en ce lieu ne soit que pure coïncidence.
Face à cette porte immobile, résistante même à la force de Yamato, je pense encore que la fracasser pour entrer serait une bonne option, mais encore une fois, ce n'est pas la solution à adopter ici alors je reste simplement observatrice de la tentative de persuasion de ma cheffe qui tente la technique de la sagesse avant celle de la maman qui gronde. J'en ai presque un frisson moi-même de souvenir étrangement nostalgique.
Et puis, est-ce que cela peut vraiment fonctionner de gronder un esprit?
Et soudainement vint un frisson qui nous semble commun à moi et Yamato, si commun qu'elle se retourne vers moi, constatant la frayeur qui revient toujours au galop, malgré chaque moment où je pense l'avoir surmontée. Peut-être car c'est quelque chose d'inconnu et nouveau, quelque chose que je n'ai jamais ressenti avant. Peut-être que la prochaine fois, ça ira mieux?
En fait, j'en suis même à peu près certaine. Quand Yamato me demande de suivre ce qu'elle aperçoit derrière moi, l'étrange fumée ne me fait nullement peur. Voir diverses formes d'esprits se déplacer dans ce lieu devient comme une chose naturelle, comme si je m'habituais à un nouveau monde, une nouvelle existence.
Une nouvelle marche dans ce lieu où le temps poursuit sa tumulte dans l'obscurité pesante. On finit même par remonter à l'étage. Vais-je à nouveau croiser cette femme? Ne m'en voudra-t-elle pas de revenir sans la personne qu'elle réclamait?
Des questions qui s'évanouissent dans les profondeurs de mon esprit car je n'arrive pas vraiment à reconnaître précisément les lieux de l'étage sans lumière... Comme si tout était nouveau pour moi.
Puis, une impasse.
Yamato tente encore une fois d'échanger avec l'esprit qui s'évanouit dans l'impasse, puis l'analyse de la zone commence.
L'hékastone dans ma main libre depuis tout à l'heure vient faire jaillir à nouveau sa lumière, presque trop forte pour nous deux qui nous étions bien habituées à l'obscurité. Quelques secondes seront alors nécessaires pour nos yeux avant d'observer dans les moindres recoins l'impasse. Celle-ci est, à la différence du reste du couloir, vide de tout mouvement humain. Hormis une échelle légèrement poussiéreuse, rien.
Figer est le son ici. Même le silence se tait.
Les ornements sont là, posés, symétriques, centrés.
Une table de décoration avec un tiroir, mais rien dedans.
« Regarde ça, Naoto… Il y a quelque chose au plafond. »
Mes yeux s'élèvent sur la trappe d'une pièce au-dessus de cette impasse. Silence.
Un grenier qui semble fermé et même condamné. Il y a quelque chose ici, il n'y a nul doute là-dessus.
Je prends alors l'échelle avec Yamato, moyen le plus simple de monter. Et dans un sentiment que je ne saurais expliquer, je décide moi de monter à celle-ci.
Un bruit peut alors se faire entendre. Un frottement presque indiscernable si l'on ne se trouve pas contre la trappe.
Je n'essaie même pas de réfléchir à si j'en ai le droit ou non, je pose une main contre la trappe et viens faire levier avec la création d'un morceau de glace dans la fente légère de la trappe et le clou qui avait ébréché finement le bois.
La trappe s'ouvre et ma tête peut alors s'élever.
L'obscurité atténue ma réaction qui se marque sur mon visage à mesure que mes yeux s'adaptent.
Les corps sans vie de deux personnes.
Une femme à la peau rétractée et solide contre les os, attachée à l'une des poutres des fondations de la maison. Comme abandonnée et oubliée ici depuis plusieurs semaines à quelques mois.
Le corps couché d'un enfant à quelques centimètres de la trappe. Ses mains collées au sol et dont les marques indiquent qu'il avait dû frapper et gratter le bois jusqu'à s'arracher la peau des phalanges. Ses vêtements flétris et arrachés comme s'il avait essayé de manger ses propres vêtements pour survivre, si ce ne sont pas les souris et les rats cachés dans la maison.
Mon regard n'arrive pas à se dérober de l'horreur. Un spectacle plus atroce encore que les monstres vivants en Cheldis ne pourraient proposer.
Mon regard tremble. Ce n'est pas humain. Et même si les pièces de l'histoire ne sont pas encore pleinement en place dans mon esprit, je ne pouvais en venir qu'à une seule et unique conclusion.
J'entends alors des bruits de pas qui se rapprochent de moi et Yamato, je me doute qu'il ne peut pas s'agir d'elle.
Malgré ma respiration haletante, j'entends parfaitement. Je vois parfaitement.
- Ha! Heu... Vo... Vous... Vous avez ouvert la trappe! Voilà longtemps que je cherche à l'ouvrir sans y parvenir pour entreposer m...
Sa voix se stoppe au contact de mon regard. Face à cette situation, mon cœur implose et l'air commence à se rafraîchir autour de moi et Yamato, si soudainement que de l'humidité commence à couler des murs pour devenir des morceaux de glace. L'échelle pourrait même coller aux mains de Yamato.
Je suis certaine qu'il est le responsable.
Il est pire qu'un monstre. Pourquoi? Pourquoi?
Est-ce pour la noblesse? Pour ce lieu? Ce livre? Par pur plaisir?
Une femme et un fils...
Agrippée d'une main à l'échelle encore, je plante quasiment mes ongles dans la couverture de mon catalyseur pour me contenir et ne pas faire de mal à Yamato. Mais au moindre mouvement de fuite de cet homme, je n'hésiterais pas à tenter de l'arrêter. Tout ce que je veux, c'est ne pas blesser Yamato.
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Tir de dé = 2
1. Nikos Kazantzakis arrive avant l'ouverture de la trappe et tente de dissuader Naoto et Yamato e s'y rendre.
2. Nikos Kazantzakis arrive après l'ouverture de la trappe et cherche a nier la découverte.
3. Après l'ouverture de la trappe, Naoto part à la recherche de Nikos Kazantzakis.
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Yamato Gyokuyô
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Joueur Joueur
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Crédits Crédits
Kanagawa
Naoto a le même réflexe que toi. Chercher dans tous les recoins de cette impasse pour découvrir ce qui pourrait s’y cacher. L’esprit vous a conduit ici, tu es certaine que c’est pour une raison valable. Ce n’est pas juste pour vous induire en erreur, tu en es persuadée sans véritablement pouvoir prouver quoi que ce soit. Tu cherches et cherches encore, sans relâche mais tu ne peux pas fouiller un endroit quasiment vide de meubles. Seule une petite table à tiroir est postée le long d’un des murs. Malheureusement, elle ne fournit aucune réponse.
Dans un mouvement commun, Naoto et toi mettez l’échelle contre le renfoncement du plafond menant au grenier pour que l’une d’entre vous y grimpe. Sans même te laisser le temps d’action, c’est la petite qui prend les devants et monte en premier. Tu te contentes d'agripper fermement les bords de l’échelle pour qu’elle ne tombe pas lors de l’ascension de Naoto jusqu’à la trappe. Celle-ci semble coincée, car au son produit, tu devines que la jeune fille use de sa magie pour l’ouvrir.
Tu ne peux qu’attendre patiemment en bas, qu’elle te révèle d’une manière ou d’une autre ce qu’elle voit. Le temps semble au ralenti, tu ne peux malheureusement pas deviner, d’où tu es, ce que vit Naoto actuellement. Doucement mais sûrement, une odeur que tu connais trop bien commence à remplir le couloir. Attentive à ton environnement, tu peux déjà entendre des pas se rapprocher de l’endroit où vous êtes. Sans doute que le claquement de l’échelle contre le bois et vos nombreux allers et retours qui l’ont alerté de quelque chose.
Tu plisses les yeux en apercevant la silhouette de l’hôte s’approcher de l’endroit où tu es à cause de l’obscurité d’où il vient, et puis, les quelques mots qu’il laisse passer sont vite stoppés par le regard de Naoto qui redescend. Ton œil valide alterne entre les deux, ne comprenant pas toute la situation. La magie de la fillette se réveille dans le couloir, refroidissant l’atmosphère de nombreuses manières.
« Naoto. »
Un ton clair.
Une voix ferme.
Tu as les yeux posés sur Naoto avec les sourcils froncés. Bien plus que la peur qu’elle blesse l’hôte de cette maison qui a, de toute évidence, de nombreux secrets, c’est pour sa vie à elle que tu crains si un incident incontrôlable venait à se produire. Tu lâches rapidement l’échelle et te places entre la fillette et Nikos.
« Naoto, ça suffit. »
Tu ne la lâches pas du regard jusqu’à ce qu’elle maîtrise un tant soit peu son élan de pouvoir. Tu déposes ensuite tes yeux sur le propriétaire de cette demeure sans lui laisser le moindre choix que de t’écouter et s'exécuter.
« Vous voulez dire que vous ne savez pas ce qu’il y a dans ce grenier ? »
Sur le ton glacial que tu lui lances, il secoue vivement la tête, légèrement en panique.
« Vous ne voyez aucun inconvénient à aller jeter un œil vous-mêmes alors ? »
Déglutissant, il ne lâche pas des yeux Naoto qui se tient encore derrière toi. Son regard est semblable à celui d’un lapin apeuré devant un prédateur, devant un monstre. Il est effrayé par Naoto, et pas dans le bon sens de la chose. Son pouvoir, non contrôlé, est comme une bombe à retardement et nul ne sait lorsqu’elle va exploser. Tout ce que tu peux faire, c’est de retarder ce moment, c’est de lui apprendre à ne jamais provoquer sa propre mort.
C’est ton travail en tant que tutrice, en tant que maître d’armes spécialisé dans la magie.
Même si tu as bien évidemment d’autres ambitions cachées pour cette petite fille tout juste dans le monde des adultes.
Tu gardes ton sang-froid mais tu vois bien que le propriétaire est complètement tétanisé par le danger que représente Naoto. Tu fronces les sourcils.
« Vous ne sentez pas l’odeur qui descend du grenier ? Ceci est le parfum de la mort, de corps en décomposition, délaissé dans cette pièce. »
Tu ne peux pas te tromper, c’est impossible.
« Il est dans votre intérêt de nous raconter tout ce que vous savez. Sinon les autorités Akieloises s’occuperont de vous. C’est votre seule chance à présent. »
Il attrape sa tête dramatiquement et se perd dans ses pensées, troublé, anxieux. Alors qu’il parle, il ne semble plus présent, tourmenté par ses souvenirs.
« J’ai hérité de cette maison de ma femme. Sa famille possédait cette demeure depuis des générations, mais elle s’est suicidée il y a quelques semaines … J’ai gardé cette affaire étouffée, parce qu’elle avait des … problèmes. »
« Quel genre ? »
Il te regarde, hésitant, effrayé par ce qu’il pourrait dire.
« Je … Je voyais une autre femme depuis quelques mois. Au début, ma femme ne voyait pas d’inconvénient, parce qu’elle avait également des liaisons, mais quand elle a appris qu’un enfant était dans l’équation … Elle a changé. »
« Vous voulez dire que la femme et l’enfant dans le grenier … ? »
Il se met à trembler de tout son être. Sa main couvre sa bouche, et les larmes coulent sur ses joues. Il se retient de vomir, alors qu’il assimile l’information.
« Non, c’est pas possible … »
Tu jettes un regard à Naoto. Cette histoire a été trop loin, des gens sont morts et cet homme ne semble pas responsable de cette tuerie. Tu pousses un soupir, une main sur ton front, consternée. Tout ceci est fâcheux.
___________________
1. Le proprio est anxieux mais accepte d'y aller quand même.
2. Il refuse de monter là-haut, trop effrayé par Naoto, la regardant comme si elle était un monstre.
1. Il accepte de parler.
2. Il refuse.
Dans un mouvement commun, Naoto et toi mettez l’échelle contre le renfoncement du plafond menant au grenier pour que l’une d’entre vous y grimpe. Sans même te laisser le temps d’action, c’est la petite qui prend les devants et monte en premier. Tu te contentes d'agripper fermement les bords de l’échelle pour qu’elle ne tombe pas lors de l’ascension de Naoto jusqu’à la trappe. Celle-ci semble coincée, car au son produit, tu devines que la jeune fille use de sa magie pour l’ouvrir.
Tu ne peux qu’attendre patiemment en bas, qu’elle te révèle d’une manière ou d’une autre ce qu’elle voit. Le temps semble au ralenti, tu ne peux malheureusement pas deviner, d’où tu es, ce que vit Naoto actuellement. Doucement mais sûrement, une odeur que tu connais trop bien commence à remplir le couloir. Attentive à ton environnement, tu peux déjà entendre des pas se rapprocher de l’endroit où vous êtes. Sans doute que le claquement de l’échelle contre le bois et vos nombreux allers et retours qui l’ont alerté de quelque chose.
Tu plisses les yeux en apercevant la silhouette de l’hôte s’approcher de l’endroit où tu es à cause de l’obscurité d’où il vient, et puis, les quelques mots qu’il laisse passer sont vite stoppés par le regard de Naoto qui redescend. Ton œil valide alterne entre les deux, ne comprenant pas toute la situation. La magie de la fillette se réveille dans le couloir, refroidissant l’atmosphère de nombreuses manières.
« Naoto. »
Un ton clair.
Une voix ferme.
Tu as les yeux posés sur Naoto avec les sourcils froncés. Bien plus que la peur qu’elle blesse l’hôte de cette maison qui a, de toute évidence, de nombreux secrets, c’est pour sa vie à elle que tu crains si un incident incontrôlable venait à se produire. Tu lâches rapidement l’échelle et te places entre la fillette et Nikos.
« Naoto, ça suffit. »
Tu ne la lâches pas du regard jusqu’à ce qu’elle maîtrise un tant soit peu son élan de pouvoir. Tu déposes ensuite tes yeux sur le propriétaire de cette demeure sans lui laisser le moindre choix que de t’écouter et s'exécuter.
« Vous voulez dire que vous ne savez pas ce qu’il y a dans ce grenier ? »
Sur le ton glacial que tu lui lances, il secoue vivement la tête, légèrement en panique.
« Vous ne voyez aucun inconvénient à aller jeter un œil vous-mêmes alors ? »
Déglutissant, il ne lâche pas des yeux Naoto qui se tient encore derrière toi. Son regard est semblable à celui d’un lapin apeuré devant un prédateur, devant un monstre. Il est effrayé par Naoto, et pas dans le bon sens de la chose. Son pouvoir, non contrôlé, est comme une bombe à retardement et nul ne sait lorsqu’elle va exploser. Tout ce que tu peux faire, c’est de retarder ce moment, c’est de lui apprendre à ne jamais provoquer sa propre mort.
C’est ton travail en tant que tutrice, en tant que maître d’armes spécialisé dans la magie.
Même si tu as bien évidemment d’autres ambitions cachées pour cette petite fille tout juste dans le monde des adultes.
Tu gardes ton sang-froid mais tu vois bien que le propriétaire est complètement tétanisé par le danger que représente Naoto. Tu fronces les sourcils.
« Vous ne sentez pas l’odeur qui descend du grenier ? Ceci est le parfum de la mort, de corps en décomposition, délaissé dans cette pièce. »
Tu ne peux pas te tromper, c’est impossible.
« Il est dans votre intérêt de nous raconter tout ce que vous savez. Sinon les autorités Akieloises s’occuperont de vous. C’est votre seule chance à présent. »
Il attrape sa tête dramatiquement et se perd dans ses pensées, troublé, anxieux. Alors qu’il parle, il ne semble plus présent, tourmenté par ses souvenirs.
« J’ai hérité de cette maison de ma femme. Sa famille possédait cette demeure depuis des générations, mais elle s’est suicidée il y a quelques semaines … J’ai gardé cette affaire étouffée, parce qu’elle avait des … problèmes. »
« Quel genre ? »
Il te regarde, hésitant, effrayé par ce qu’il pourrait dire.
« Je … Je voyais une autre femme depuis quelques mois. Au début, ma femme ne voyait pas d’inconvénient, parce qu’elle avait également des liaisons, mais quand elle a appris qu’un enfant était dans l’équation … Elle a changé. »
« Vous voulez dire que la femme et l’enfant dans le grenier … ? »
Il se met à trembler de tout son être. Sa main couvre sa bouche, et les larmes coulent sur ses joues. Il se retient de vomir, alors qu’il assimile l’information.
« Non, c’est pas possible … »
Tu jettes un regard à Naoto. Cette histoire a été trop loin, des gens sont morts et cet homme ne semble pas responsable de cette tuerie. Tu pousses un soupir, une main sur ton front, consternée. Tout ceci est fâcheux.
___________________
1. Le proprio est anxieux mais accepte d'y aller quand même.
2. Il refuse de monter là-haut, trop effrayé par Naoto, la regardant comme si elle était un monstre.
1. Il accepte de parler.
2. Il refuse.
Icon :
The man who has a conscience suffers whilst acknowledging his sin. That is his punishment. It takes something more than intelligence to act intelligently.
Phrase :
519
Messages :
Jiyan de WuWa
Featuring :
Graph BG
Crédits :
Frame :
Sprite :
09
Niveau :
81/90
Expérience :
23 475
Écus :
-- EQUIPÉS --
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
DEF+2
RES+2
DEF+3
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC
20 PV
20 PV
50 PV (2)
Résu (2)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Soin Alt état
-- BOMBES --
Curative (2) : petite brume curative sur 4 cases, soignant instantanément les alliés à l'intérieur de 10 PV
Incendiaire (1) : 10 points de dégâts à la cible. Les ennemis ou alliés sur les cases adjacentes subissent 5 points de dégâts.
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Crêpe (1) : soulage 30 PF
Sakura Mochi (1) : soulage 30 PF
-- TONIQUES --
RES
DEF
PV
-- INCLASSABLE --
20% (1) ; 10% (3)
ticket familier x1, tenue x1
-- MATERIAUX --
x0
x1
Inventaire :
Kusarigama E
Arme par défaut :
PV 41 | FOR 17 | MAG 18 | VIT 07 | TEC 06 | DEF 20 | RES 13 | MVT 04
Stats :
E D
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
-- ARMES --
Seringlaive : FOR+12. Après une atk initiée réussie sur un ennemi, déclenche Cadence = garanti de faire une action en premier au tour suivant sans prendre en compte la VIT des unités présentes. (PF 7)
Bâton rang E+ MAG+2 (PF 2)
Soin : Absorbe la magie naturelle pour la transformer en soin sur un allié. MAG+4 Portée d’utilisation 1 case. (PF 5)
Bâton rang D MAG+8 (PF 7)
Auto-récupération : Accorde de l’auto-récupération de PV à l’allié (montant des PV récupérés à chaque tour = MAG du lanceur) pendant 2 tours. Portée d'utilisation 2 cases. (PF 12)
Enchantement magique : Appose un enchantement magique sur l’arme blanche d’un allié ou l’unité pendant 3 tours lui conférant FOR+3. Portée d'utilisation 1 case. (PF 10)
Kusarigama E : FOR+5, FOR/TEC-2 à l’ennemi pendant 1 tour. Portée d'atk 1-2c. (PF 5)
Armes :
00
Etage Tour :
03
Missions accomplies :
1092
Réputation :
MAG+2
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Si magie équipée : MAG+1
Décret du Seigneur = Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
Maitrises :
Veuf
Statut :
Soutien S :
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