ft. Akira Nobusuke
MN – Macabre noctambule
Un vent léger soulevait dans son sillage de longues mèches sombre, retenues par un élégant bijoux doré tel deux lames gardiennes. Le regard fixé sur l’horizon, la jeune femme profitait de l’air iodé et du calme bleu de l’océan. Là-bas, par-delà la ligne indistincte, se dressaient les îles fières d’Althéa, saccagées par les vagues de monstres qui avaient déferlé des semaines plus tôt. Si le retour vers les terres qu’ils avaient quitté sonnait comme une promesse de plus en plus proche pour retrouver les terres si chères à leur cœur ; plus rien ne serait comme avant. Les images d’antan disparaîtraient devant les scènes de désolation auxquelles il faudrait faire face.
Les zones et les villages détruits, les possessions perdues à jamais, les corps de ceux ayant livré bataille. Une pauvre femme esseulée, retrouvant son village natal réduit en poussière, sa maison devenue une ruine et le rire de son mari et de ses enfants hantant encore les lieux alors que plus jamais ils ne l’accueilleraient. Des terres abreuvées de sang, de mort ; des cultures impropres à la consommation et des bêtes ayant succombé et laissé à l’abandon. Voilà ce qu’ils risquaient de découvrir à leur retour, ce qu’il leur faudrait affronter.
Et puis, surtout, la peur. Ce poison sournois, instillé au plus profond du cœur depuis l’invasion, serpent aux paroles sirupeuses qui ne manquerait pas de venir troubler les moments de joie, qui chasserait le sommeil en rappelant à lui les images et l’angoisse des vagues déferlantes de créatures abominables et que nul n’avait vu arriver. Les althéens porteraient le deuil des morts mais aussi des disparus. L’insouciance des enfants ne serait plus. Bien sûr, chacun ferait preuve de force, mais l’ombre de cet événement demeurait à jamais marquer au fer rouge dans l’esprit de chacun.
Un sursaut saisit la jeune femme lorsqu’un oiseau se posa sur la rambarde du navire. Elle, avait toujours sa maison flottante et une famille sur laquelle compter. L’incident dramatique lui avait permis, en un sens, de pouvoir retrouver son cher Capitaine disparu depuis si longtemps. Et pourtant, plus les jours s’écoulaient, plus elle pensait à ces pauvres gens qui, bientôt, rentreraient chez eux. Si un chez eux existait seulement encore. Elle aimait Althéa, et l’imaginer dans un piètre état, avec ce qu’elle avait déjà pu en voir, était bien difficile. Ou bien peut-être était-ce de savoir Akates encore loin des Moonlight Crow qui la rendait si morose. Ou sa dernière mission à Djinn.
Un long soupir franchit la barrière de ses lippes, et elle se détourna de l’horizon. De quelques mots, elle indiqua aux matelots qui entretenaient le navire et s’occupaient du ravitaillement qu’elle allait mettre pied à terre. Se changer les idées lui paraissait la meilleure option pour le moment, aussi décida-t-elle de se promener un peu en bordure de la ville d’Ellium. A pas lents, la démarche gracieuse et silencieuse, elle traversa les petites rues, profitant du calme qui régnait à l’écart du centre animé, observant l’architecture des bâtisses, leurs couleurs, devinant sans mal à leur taille et à leur décoration s’il s’agissait de demeures simples ou appartenant à de riches propriétaires.
Guidée par ses pas, la jeune mercenaire atteignit l’entrée d’un temple. Debout devant la porte, immobile, elle ne parvenait pas ni à se résoudre à entrer, ni à repartir. Il se dégageait quelque chose de cet endroit, une sensation indescriptible qui la gardait dans cette incertitude.
La porte s’ouvrit avec un grincement sinistre, et un petit bout de femme apparut. Son sourire chaleureux chassa l’étrange sensation qui agitait la jeune femme, et elle fut invitée à entrer. Un peu hésitante, elle finit par entrer. La prière l’apaiserait peut-être, et nul autre lieu n’y était plus adapté qu’un temple. Avançant dans l’édifice alors que la porte se refermait derrière elle dans un nouveau geignement sans âge, Saphyra prit le temps de contempler la construction du bâtiment. On reconnaissait assez l’architecture typique d’Akielos, et cette atmosphère propre aux lieux de culte.
Alors que le soleil tombait peu à peu, teintant le ciel d’un orange flamboyant qui illuminait l’endroit à travers les ouvertures de la pièce, la demoiselle commença sa prière, l’adressant à Bokteth. Elle y fit part de ses inquiétudes, de ses remerciements, de sa reconnaissance, dans un parfait silence seulement troublé par le bruit presque imperceptible de son souffle régulier. Et, peu à peu, à mesure que sa prière s’exprimait, elle se sentait plus légère.
Lorsqu’elle l’acheva, la lueur iridescente de l’astre solaire avait disparu. Ne demeurait plus qu’une obscurité naissante, que les petites mains du temple commençaient à chasser en allumant des bougies ça et là. Et puis, dans la pièce, un inconnu. Il lui avait semblé entendre la porte s’ouvrir et se refermer plusieurs fois, en effet, signe qu’il y avait eu du passage au temple pendant sa prière ; mais elle ignorait que quelqu’un était resté à une heure tardive. Peut-être un fervent fidèle venu adressé ses prières à son ou ses dieux afin de trouver le repos à la nuit venue. Certains aimaient à apaiser leur âme avant de sombrer dans le sommeil.
Laissant l’homme à ses occupations, la jeune femme se tourna vers la porte, fit quelques pas dans sa direction, et fut interrompue par une voix féminine.
« Attendez, Mademoiselle ! »
Les yeux de jade se posèrent sur un visage souriant, empli d’une certaine bonhommie. La curée, à n’en point douter, de par sa tenue vestimentaire. Un geste respectueux en guise de salutation de la part de la mercenaire, et la bonne femme reprit.
« Allons mon enfant, vous ne pensez tout de même pas repartir seule à cette heure ? Non, non, cela ne serait pas raisonnable. Les routes sont dangereuses lorsque tombe le soir. Nous avons quelques chambres ici, pour les voyageurs et les pèlerins. Dormez ici ce soir, vous ne craignez rien, et vous pourrez repartir reposée dès le lever du jour. Cela vaut aussi pour vous, jeune homme. Il est de mon devoir de vous offrir hospitalité pour la nuit. Je vous en prie, acceptez. »
Surprise, la jeune femme ne sut pas quoi répondre à cette invitation pour le moindre à brûle-pourpoint, et profita du moment où la curée s’adressa à l’inconnu pour réfléchir à sa proposition. Quoi faire ? Certes, les routes n’étaient pas sûres à la nuit tombée, et elle était lasse de cette journée. Cependant, elle peinait à trouver le sommeil chaque nuit même bercée par la mer ; était-il sage de tenter de trouver sommeil en un lieu parfaitement inconnu ? Gardant le silence, songeuse, elle prit le parti d’attendre la réponse de l’autre individu présent. Après tout, sa présence pourrait l’aider à se décider elle-même.
Les cadeaux !
- Spoiler:
Anneau résistance Res+2 (x2)
2 potions de résurrection
Gâteau des 2 ans : empêche votre personnage de subir un coup fatal en MC et rend tous les PV (utilisable 2 fois ; s'active automatiquement ; passe avant la potion de résurrection).
Tonique de PV (Pv+5)
Tonique de MAG (Mag+2)
Matériau Foudre x2
Matériau Arc
Matériau Glace
-10% (x2), -20% (x2), -25%
2 Tickets 1 tenue
Ticket de familier
Cadre
Bombe confusion
Bombe incendiaire
-- ARMES --
Aqua E MAG+04 (PF 04)
-> Jet d'Acide : Crée une substance opaque qui inflige Acide à l’ennemi visé et des dégâts d’eau ; ce dernier perd 5 PV par tour pendant 2 tours. MAG+2 Portée d'attaque 1-2 cases. (fatigue : 7)
-> Lame Aquatique : Crée une petite lame rapide qui inflige des dégâts d’eau sur un ennemi. MAG+5 Portée d'attaque 1-2 cases. (fatigue : 10)
Ice E MAG+04 (PF 04)
Umi D MAG+06 (PF 09)
Hyou D MAG+06 (PF 09)
-> Corps de Glace : Recouvre le corps de l’unité d’une pellicule de glace pour se protéger pendant 2 tours : DEF/RES+5 (fatigue : 10)
Ocean C MAG+08 (PF 14)
Givre C MAG +08 (PF 14)
- Annihilation : Lorsqu'une cible est attaquée, si un ennemi se trouve sur la case adjacente, ce dernier subit également des dégâts à hauteur de 50% des dégâts d'attaque (activable uniquement en attaque initée, et tous les tours pairs).
- ● Décret du Seigneur : Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)
A quoi bon faire la conversation à soi-même en s’imaginant que les Dieux nous entendent ?
La situation est risible, lorsqu’il en parlera à Isaac, ils en rieront certainement.
Car le mercenaire n’est pas dans ce temple pour y jouer les bons pratiquants, non.
Il a besoin de s’assurer que l’endroit soit bien ce qu’il soupçonne être. Ces derniers temps, ceux qui savent écouter ont certainement entendu parler de ces prêtres dont la foi s’amenuise au profit d’une quête bien plus délicieuse : la place au côté de l’Archevêque est à présent libre, et bon nombre souhaiterait s’y installer dans l’espoir d’apporter sa “contribution” auprès des plus hauts placés.
“On veut seulement faire bouger les choses, mais notre importance est insuffisante pour se faire remarquer comme tel” se justifie-t-on. Des foutaises que l’on aime dire pour se donner bonne conscience ; comme si dire que l’on est du côté des gentils excuse le fait de demander à des hommes peu scrupuleux de faire leur sale besogne.
On parle de falsifications, d’accusations, on parle même de morts sous des termes atténués.
Il n’y a rien que le culte d’Akielos ne saurait pardonner, que l’ont prône la “bonté” de l’action ou non.
Cet endroit n’est pas en reste, il le sait.
Il le sent.
Alors quand les regards se tournent en sa direction et que la mégère du Temple insiste pour que les derniers “fidèles” restent ici pour la nuit, Akira se redresse, son regard d’un naturel perçant et son masque lui donne un mauvais augure. Pourtant, il leur lance un air reconnaissant, ses yeux se montrent soudainement plus agréable.
- “Puisque vous insistez, je ne me vois pas vous refuser cette proposition, Révérende Mère” dit-il à l’intention de la curée.
Il pourra remercier son orphelinat religieux de lui avoir instruit les bonnes manières auprès du culte d’Akielos, à défaut de lui avoir instruit ses valeurs.
Maintenant qu’il est debout et attentif aux deux femmes, il reconnaît vaguement la seconde des Moonlight Crows, ces mercenaires des mers dont la réputation n’avait rien à envier aux Beasts pour les commanditaires les moins gentillets. Mais n’as-t-on pas entendu parler du fait que leur chef (ou corbeau de malheur, peu importe leurs sobriquets) s’est retrouvé à la solde des nobles ? Les rumeurs vont vite, surtout quand on doit s’assurer de tenir la concurrence à l’écart. Le hasard fait certainement bien les choses, mais dans cet air faussement aimable, le charognard se demande.
Sera-t-elle une amie, ou une ennemie ?
- “Puis-je en profiter pour vous demander une visite des lieux ? Je dois admettre que cela fait longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de profiter de l’architecture des Temples d’Akielos, tout est si différent par rapport à Kanagawa.”
La curée semble ravie de l’intérêt que porte l’homme au masque sombre, même si au départ un prêtre s’était présenté à lui pour lui demander de découvrir son visage. Il a fallut jouer entre la maladie et la gêne pour ne pas traîner dans les environs à visage découvert.
Après tout, depuis peu, les Kanagawais se comptent par centaines dans les rues, il ne voudrait pas prendre le risque de réveiller quelques vieux souvenirs à certains.
ft. Akira Nobusuke
MN – Macabre noctambule
L’homme ne perdit guère de temps pour répondre et s’adressa à la curée avec toutes les distinctions appelées par son rang. Il lui sembla néanmoins que, pendant un bref instant, il l’observait davantage elle que son interlocutrice. Son visage, partiellement masqué, ne lui disait rien, mais il se dégageait de lui une certaine aura prédatrice semblable à celle que partageaient les membres de la branche principale des Moonlight Crows. L’aura de ceux qui tuent, et n’ont aucune difficulté à accomplir des besognes de ce genre. Les mercenaires, pour le commun des mortels, demeuraient des êtres difficiles à appréhender ou à reconnaître, à moins d’en avoir côtoyé. Aussi, lorsque l’on avait fait partie de ce monde, il devenait plus aisé de débusquer un semblable sous un masque de normalité.
Cet homme, donc, devait appartenir à un groupe de mercenaires, quoi qu’elle n’aurait su dire lequel. Peut-être des Beasts, peut-être d’un autre. La plupart du temps, bien qu’ils se surveillassent les uns les autres, ils menaient leurs activités dans des zones différentes et n’entraient que peu en relation, à moins d’y être contraints ou d’avoir quelque chose à gagner. Lorsqu’ils se croisaient en dehors de leurs missions, les choses pouvaient être aussi cordiales qu’électriques, selon les ambitions des chefs de groupes respectifs. Seulement, Saphyre et son équipage temporaire, jusqu’au retour d’Akates, s’étaient détournés de cette voie. Nulle raison à ce titre de déclencher un quelconque incident.
De plus, l’homme en question se montrait plutôt courtois avec la religieuse âgée, loin de l’idée rustre que l’on se faisait des mercenaires. Pour autant, la raison de la présence de l’inconnu dans ce temple intriguait la jeune femme. Les gens comme eux n’avaient guère la réputation d’être des hommes de foi très pratiquants. On ne les trouvait que rarement dans ce genre d’endroits, et certainement pas pour venir rendre hommage à un dieu ou lui demander protection. Non, les mercenaires ne cherchaient point à être de bons religieux. Ils flairaient le sang et la mort, et se rendaient là où ces parfums portaient dans leur sillage une fragrance lucrative.
A ce titre, la jeune femme prit la décision de garder un œil sur l’individu, mais également sur tout ce qui pourrait s’avérer suspect au sein du temple. Une hypervigilance acquise à force de côtoyer le danger et l’incertitude des lendemains, la peur que la faucheuse arrive sans prévenir tel un corbeau venu obtenir vengeance et marchant fièrement sur les corps décharnés de ceux l’ayant sous-estimé. Un mercenaire devait toujours s’attendre à ce que l’on vienne à jour à lui envoyer la mort elle-même, que ce soit par ambition, vengeance, jalousie, haine…
Danseurs aériens voguant dans les tréfonds les plus obscurs de l’humanité, ils valsaient avec ce que l’on pouvait trouver de pire chez l’être humain, si tant est que l’on pût encore appeler cela humains. Des êtres infames, capables de tout, aux services de leurs plus bas instincts et de volontés si ardentes qu’ils étaient prêts à l’obtenir à n’importe quel prix, même la damnation éternelle. Quant aux saltimbanques avec lesquels ils valdinguaient encore et encore, ceux-là devenaient les lames abjectes prêtes à réaliser leurs désirs pour quelques pièces.
Certains y prenaient goût. A ce parfum de mort, à cette odeur âcre, ce goût métallique de sang dans la bouche, cette caresse poisseuse du sang qui gicle. La vision de la flamme qui vacille dans le regard de la victime, jusqu’à ce que ses yeux s’éteignent et que la vie s’en échappe définitivement, perdue à jamais, volée pour le compte d’un autre pour qui elle ne représentait aucune valeur.
Un sursaut la saisit en entendant l’homme demander une visite des lieux. Une idée stratégique, probablement ; raison pour laquelle elle ne refusa pas l’invitation de la religieuse à les suivre. Naturellement, la vieille femme marchait plutôt lentement et prenait le temps d’expliquer l’histoire de chaque pièce qu’elle leur présenta, ravie sans doute de recevoir des visiteurs éprouvant un intérêt pour l’architecture de l’édifice. Elle ne devait guère avoir beaucoup de distraction dans un temple comme celui-ci, à l’exception des visites des fidèles.
Pourtant, alors que la gentillesse de leur guide ne se tarissait pas au fil de ses explications, une sensation désagréable l’assaillit, latente, comme celle qu’elle avait ressenti avant de pénétrer dans le temple. Comme une odeur dont on ne parvenait pas à se débarrasser, ou une sensation désagréable sur la peau qui restait peu importe ce qu’on tentait pour y remédier. Si l’expression sur son visage ne changeait pas, demeurant aussi froide que le givre d’hiver, les sensations qui l’envahissaient n’auguraient rien de bon.
Conviés au repas dominical, un plat chaud et correct leur fut servir dans une grande salle commune où, bien entendu, on les installa l’un face à l’autre en bout de table. Les religieuses récitèrent quelques mots et prières avant d’entamer le repas, et quelques bavardages montèrent comme pour rendre la pièce austère un peu plus chaleureuse.
Jaugeant le plat qui lui faisait face, la jeune femme ne parvenait pas à se résoudre à y toucher. Le malaise qu’elle ressentait, diffus, l’habitait toujours et rendait toute consommation de nourriture quelque peu délicate. Aussi, à défaut de se jeter sur le repas gracieusement offert, la demoiselle choisit de faire la conversation pour meublé le silence et, pourquoi pas, chasser pour un temps ses sensations désagréables. Son regard de jade se posa sur l’individu qui lui faisait face.
« Nous sommes reçus avec beaucoup d’égards, semble-t-il. La visite à laquelle nous avons eu droit vous a-t-elle plu ? Et, que pensez-vous du repas ? »
Succinct, certes, mais ayant au moins le mérite d’ouvrir l’échange, même superflu.
Les cadeaux !
- Spoiler:
Anneau résistance Res+2 (x2)
2 potions de résurrection
Gâteau des 2 ans : empêche votre personnage de subir un coup fatal en MC et rend tous les PV (utilisable 2 fois ; s'active automatiquement ; passe avant la potion de résurrection).
Tonique de PV (Pv+5)
Tonique de MAG (Mag+2)
Matériau Foudre x2
Matériau Arc
Matériau Glace
-10% (x2), -20% (x2), -25%
2 Tickets 1 tenue
Ticket de familier
Cadre
Bombe confusion
Bombe incendiaire
-- ARMES --
Aqua E MAG+04 (PF 04)
-> Jet d'Acide : Crée une substance opaque qui inflige Acide à l’ennemi visé et des dégâts d’eau ; ce dernier perd 5 PV par tour pendant 2 tours. MAG+2 Portée d'attaque 1-2 cases. (fatigue : 7)
-> Lame Aquatique : Crée une petite lame rapide qui inflige des dégâts d’eau sur un ennemi. MAG+5 Portée d'attaque 1-2 cases. (fatigue : 10)
Ice E MAG+04 (PF 04)
Umi D MAG+06 (PF 09)
Hyou D MAG+06 (PF 09)
-> Corps de Glace : Recouvre le corps de l’unité d’une pellicule de glace pour se protéger pendant 2 tours : DEF/RES+5 (fatigue : 10)
Ocean C MAG+08 (PF 14)
Givre C MAG +08 (PF 14)
- Annihilation : Lorsqu'une cible est attaquée, si un ennemi se trouve sur la case adjacente, ce dernier subit également des dégâts à hauteur de 50% des dégâts d'attaque (activable uniquement en attaque initée, et tous les tours pairs).
- ● Décret du Seigneur : Augmente la DEF/RES d'un allié choisi de +2 pendant 2 tours. (5)