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Esprit Divin
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Naël Ramses
feat Cyno || Genshin Impact
caractère
défauts : réservé – timide- incapable de cacher ses émotions – sensible – maladroit – aucun sens de l’orientation – trop hésitant – influençable – naïf – assisté – trop indulgent – secret - curieux
qualités : empathique – rêveur – curieux – aimant – poli – intelligent – simple – gentil – sérieux – investi – peut se montrer bien plus courageux qu’on ne le croirait
Naël enfant du désert, toi, petit prince au cœur d’or. Aussi chaleureux que le sable fin de vos terres. Lumière qui nous apporte réconfort. C’est pourtant un visage souvent sévère qui tire tes traits. Un regard aride, qui ne semble dévoiler qu’une personnalité austère. Ce n’est qu’une façade. Un masque que tu essaies de porter pour faire disparaître ton innocence. Faire disparaître ton ignorance. Tes sentiments. Tu veux que les gens aient confiance en toi. Tu veux être digne de ton statut royal. Et à tes yeux, cette sensibilité incontrôlable ne t’aidera jamais. C’est de honte que tu es vêtu, voyant que les larmes coulent sans que tu ne le désires. Voyant que tu es aussi facile à lire qu’un livre pour enfants. Devant ton miroir, tu serres les poings. Frustré. Pourtant, on ne t’a jamais rien demandé ? Personne ne souhaite que tu te montres aussi ferme. Que tu sois aussi dur avec toi-même.
Tu ne veux guère être un poids.
Ni pour ton pays.
Ni pour ta famille.
Une famille en éclats.
Tes frères et sœurs représentent beaucoup trop pour toi. Tu les aimes de tout ton cœur. Ils constituent ton plus grand bonheur. Tu les observes. Tu vois vos différences… Le conflit entre Geb et Tarek…. Tu sais qu’ils ont du travail… Des responsabilités. Tu souhaites pouvoir les aider. Les soulager ne serait-ce qu’un peu. Alors tu devais faire de ton mieux. Ne pas les inquiéter. Ne pas montrer que tu pleures en silence. Tu dois cacher tes peurs. Arrêter d’être faible. Arrêter d’être le petit Naël. Le petit garçon qu’on protège. Le prince impuissant. Le jeune ignorant. Mais comment faire lorsqu’on est qu’un rêveur ? Qu’on a si bon cœur.
Une âme plein de candeur.
Une âme qui pardonne toutes les mœurs.
Oui toi. Toi qui excuses les vices, les mensonges, ceux qui blessent, qui jugent, qui empoisonnent. Tu es ce genre de personne. Ce cœur innocent, qui pense que l’Homme n’est que, nuance. Que le noir n’est jamais seul. Qu’aucun humain n’est que de vertus ou d’orgueil. Que le blanc pur n’est qu’un narcisse. Que la malice a ses propres raisons d’exister. Que toutes les actions aussi mauvaises soient-elles peuvent être expliquées. Comment blâmer le voleur qui ne voulait que nourrir des êtres chers ? Comment condamner un tueur qui cherchait simplement à survivre à sa manière ? Et s’il voulait seulement se défendre ? Et si le mal qu’il faisait n’était que le résultat d’une vie pleine de malheurs ? Comment réellement juger une personne ?
Oh Naël, comme tu es candide.
Cette indulgence finira par te détruire.
Ou bien est-ce que tu fuis la réalité de ce monde terrible ?
Tu ne le connais qu’à travers des récits. Tu ne sais rien de la vraie vie. De rumeurs et de dires. De rêves où lorsque tu te réveilles, tu les sais, inaccessibles. Tu veux apprendre. Tu veux savoir. Remplir ta tête d’espoir. Avoir des réponses aux pourquoi. Tu veux voir. Découvrir des paysages. Mais tu n’oses pas. Tu te contentes de pages marquées d’encres noires. Tu te contentes des ruelles d’Héliopolis. De ce palais où tu te sais en sécurité. Tu as du mal à faire le pas. Non pas que tu manques de curiosité. De désirs. Ce n’est qu’une incapacité à te sociabiliser. C’est cette peur d’adresser la parole sans bégayer. Cette peur de trop te montrer. Trop te révéler sans que tu ne le veuilles. Tu n’as pas envie de déranger. Pas envie de t’incruster. Pas envie d’exprimer.
Mais les jours passent.
Tu veux faire un caprice.
Combler ce désir.
Ta curiosité.
Tu veux voyager.
Quitter ce palais, ces rues que tu connais.
Il te suffit d’être accompagné non ? Y a-t-il vraiment besoin de se sociabiliser avec des inconnus ?
qualités : empathique – rêveur – curieux – aimant – poli – intelligent – simple – gentil – sérieux – investi – peut se montrer bien plus courageux qu’on ne le croirait
Naël enfant du désert, toi, petit prince au cœur d’or. Aussi chaleureux que le sable fin de vos terres. Lumière qui nous apporte réconfort. C’est pourtant un visage souvent sévère qui tire tes traits. Un regard aride, qui ne semble dévoiler qu’une personnalité austère. Ce n’est qu’une façade. Un masque que tu essaies de porter pour faire disparaître ton innocence. Faire disparaître ton ignorance. Tes sentiments. Tu veux que les gens aient confiance en toi. Tu veux être digne de ton statut royal. Et à tes yeux, cette sensibilité incontrôlable ne t’aidera jamais. C’est de honte que tu es vêtu, voyant que les larmes coulent sans que tu ne le désires. Voyant que tu es aussi facile à lire qu’un livre pour enfants. Devant ton miroir, tu serres les poings. Frustré. Pourtant, on ne t’a jamais rien demandé ? Personne ne souhaite que tu te montres aussi ferme. Que tu sois aussi dur avec toi-même.
Tu ne veux guère être un poids.
Ni pour ton pays.
Ni pour ta famille.
Une famille en éclats.
Tes frères et sœurs représentent beaucoup trop pour toi. Tu les aimes de tout ton cœur. Ils constituent ton plus grand bonheur. Tu les observes. Tu vois vos différences… Le conflit entre Geb et Tarek…. Tu sais qu’ils ont du travail… Des responsabilités. Tu souhaites pouvoir les aider. Les soulager ne serait-ce qu’un peu. Alors tu devais faire de ton mieux. Ne pas les inquiéter. Ne pas montrer que tu pleures en silence. Tu dois cacher tes peurs. Arrêter d’être faible. Arrêter d’être le petit Naël. Le petit garçon qu’on protège. Le prince impuissant. Le jeune ignorant. Mais comment faire lorsqu’on est qu’un rêveur ? Qu’on a si bon cœur.
Une âme plein de candeur.
Une âme qui pardonne toutes les mœurs.
Oui toi. Toi qui excuses les vices, les mensonges, ceux qui blessent, qui jugent, qui empoisonnent. Tu es ce genre de personne. Ce cœur innocent, qui pense que l’Homme n’est que, nuance. Que le noir n’est jamais seul. Qu’aucun humain n’est que de vertus ou d’orgueil. Que le blanc pur n’est qu’un narcisse. Que la malice a ses propres raisons d’exister. Que toutes les actions aussi mauvaises soient-elles peuvent être expliquées. Comment blâmer le voleur qui ne voulait que nourrir des êtres chers ? Comment condamner un tueur qui cherchait simplement à survivre à sa manière ? Et s’il voulait seulement se défendre ? Et si le mal qu’il faisait n’était que le résultat d’une vie pleine de malheurs ? Comment réellement juger une personne ?
Oh Naël, comme tu es candide.
Cette indulgence finira par te détruire.
Ou bien est-ce que tu fuis la réalité de ce monde terrible ?
Tu ne le connais qu’à travers des récits. Tu ne sais rien de la vraie vie. De rumeurs et de dires. De rêves où lorsque tu te réveilles, tu les sais, inaccessibles. Tu veux apprendre. Tu veux savoir. Remplir ta tête d’espoir. Avoir des réponses aux pourquoi. Tu veux voir. Découvrir des paysages. Mais tu n’oses pas. Tu te contentes de pages marquées d’encres noires. Tu te contentes des ruelles d’Héliopolis. De ce palais où tu te sais en sécurité. Tu as du mal à faire le pas. Non pas que tu manques de curiosité. De désirs. Ce n’est qu’une incapacité à te sociabiliser. C’est cette peur d’adresser la parole sans bégayer. Cette peur de trop te montrer. Trop te révéler sans que tu ne le veuilles. Tu n’as pas envie de déranger. Pas envie de t’incruster. Pas envie d’exprimer.
Mais les jours passent.
Tu veux faire un caprice.
Combler ce désir.
Ta curiosité.
Tu veux voyager.
Quitter ce palais, ces rues que tu connais.
Il te suffit d’être accompagné non ? Y a-t-il vraiment besoin de se sociabiliser avec des inconnus ?
Date de naissance & âge
19 ans ( 09/01/1532)
Signe astrologique
Panda roux
Lieu de naissance
Héliopolis - Djinn
Sexe
Masculin
Orientation Sexuelle
Bisexuel
Statut Social
Célibataire
Lieu de vie
Héliopolis
Classe sociale
Noble
Titre
Benjamin princier
Activité / métier
Prince
19 ans ( 09/01/1532)
Signe astrologique
Panda roux
Lieu de naissance
Héliopolis - Djinn
Sexe
Masculin
Orientation Sexuelle
Bisexuel
Statut Social
Célibataire
Lieu de vie
Héliopolis
Classe sociale
Noble
Titre
Benjamin princier
Activité / métier
Prince
Facts
signe du panda roux - peut paraître froid, souvent à cause de son regard – en réalité c’est juste qu’il essaye constamment de cacher ses émotions et d’avoir un visage plus ferme – adressez-lui la parole et tout de suite il se mettra à rougir et paniquer à cause de sa timidité – ce n’est pas qu’il est insociable, c’est juste qu’il ne sait pas trop comment s’adresser aux gens et qu’il manque profondément d’assurance en société – pourtant pour aider quelqu’un, il n’hésite pas - souvent perdu dans ses pensées – sursaute facilement – trop facilement – à chaque fois il a l’impression qu’il va faire une crise cardiaque – se retient (trop) souvent de rire mais il est aisé de lui décrocher un sourire – très câlin – aime énormément sa famille – il aimerait pouvoir faire quelque chose pour que les liens se renouent entre tout le monde – ça le blesse constamment de voir Geb et Tarek dans une telle relation – aime passer du temps avec ses frères et sœurs mais, n’ose pas vraiment aller les voir par peur de les déranger – il essaie de prendre soin d’eux et de les encourager du mieux qu’il peut – même s’il voudrait toujours pouvoir faire plus - se perd souvent dans les couloirs à cause d’un sens de l’orientation inexistant – adore les chats et nourrit ceux dans la rue quand il en croise – sa sensibilité est pour lui un véritable défaut dont il aimerait se débarrasser – très gourmand – faible face aux sucreries – rêve de tout et de rien – le fait qu’il lise beaucoup nourrit son imagination et ses songes – il aspire autant au voyage qu’à la découverte d’un plat étrange et délicieux – innocent et beaucoup sont ceux qui cherchent à le préserver – en tant que prince, il est très assisté et sa maladresse n’a guère aidé à le rendre plus autonome – cherche à aider mais, on préfère le voir rien faire plutôt que tout casser – pardonne trop facilement ce qui lui porte parfois préjudice – plus doué en combat qu’on ne le pense – il est rapide et tenace – il s’investit toujours dans ce qu’il fait et sa curiosité maladive l’aide à s’intéresser à de nombreux sujets – ce n’est pas un inventif ni même un créateur, mais il porte beaucoup d’intérêt aux travaux des chercheurs – adore dessiner et est doué dans le domaine – système immunitaire pas ouf (était complètement à chier dans son enfance mais il a réussi à le renforcer)
Physique
1m68 - Cheveux blancs et mi-longs - Yeux rouges – Porte en général des vêtements légers typiques de Djinn – Porte souvent un chapeau inspiré du chacal – légère cicatrice au-dessus de l’œil droit mais qui restera à vie – auparavant elle était bien plus large – il a pris la manie de coiffer sa frange pour la cacher – corps plutôt bien sculpté au vu des entraînements quotidiens qu’il doit avoir – il ne ménage pas ses efforts dessus pour se défendre lui-même et espérer atteindre ses objectifs dans la vie – mais c’est surtout pour protéger les gens malgré le fait qu’il n’aime pas vraiment la violence
Une étoile dorée. Un ciel aux douces couleurs bleutées. Une mer de sable, qui se transforme en forêt à chaque pas. Des créatures aussi adorables qu’étranges, qui apparaissent sous ton regard émerveillé. Un conte. Une fantaisie. Un rêve qui ne se réalisera jamais. Un rêve que tu ne fais qu’imaginer, en lisant des lignes. En lisant ces pages, que tu connais déjà. Une histoire que tu découvres, encore une fois. Une histoire que tu ne pourras jamais vivre. Les aventures de tes héros favoris… Ce sentiment qu’ils éprouvaient, lorsqu’ils découvraient des ruines anciennes, des traces du passé, de la magie et un monde d’une incroyable beauté. Si ce ne sont que des écrits imaginés… Que jamais personne, ne pourrait vivre comme ces personnages de livres… Tu ne pouvais t’empêcher de le ramener à la réalité.
Un regard au-delà de la fenêtre.
Tu observes cette ville qui t’a vu naître.
Qui t’a vu grandir.
Où pourtant, tu n’as jamais pu t’y balader.
Alors que tu refermes ton bouquin, de sombres pensées t’envahissent. Toi, petit prince dans ta tour d’ivoire.
Pourquoi n’en sors-tu pas ?
Tu t’approches timidement de la vitre. Tu as envie de sortir. Tu as envie de courir. De faire comme plein d’enfants finalement… Mais la toux vient. Elle te rappelle son existence. Ton corps te lâche. Tu as mal à la tête. Tu as la gorge sèche. Les poumons qui te brûlent. Le cœur qui s’accélère. Les larmes qui montent en un instant. Tu es faible Naël. Tu n’es qu’un enfant fragile. Un petit être qu’on pourrait briser si facilement. Qui pleure en appelant sa mère, ses sœurs et frères. Un prince qui ne peut vivre en dehors de sa chambre. De son palais doré.
C’était ça ton enfance.
C’était à ça que se limitait ton monde.
Un monde qui ne s’enrichissait qu’à travers des livres, des contes et des légendes.
Rouge… Ta vue se teinte de rouge. Tout devient trouble. Tu entends sa voix. Tu entends son désespoir. Son inquiétude. Tu le sens qui saisit ta main, qui t’emmène quelque part. Mais où ? Tu ne sais pas. Tu es perdu. Tu as mal. Tu as si mal. Ton pas ralenti. Tu aperçois du sang qui teinte le sol. Tu as cette drôle de sensation sur le visage. Tu ne tiens plus debout. Tu n’arrives plus à penser.
Tu te laisses tomber.
…
Le souvenir était encore gravé. Aussi bien dans ta mémoire que sur ta tête. Au travers du miroir, tu la vois, cette cicatrice. Elle aurait pu te prendre un œil. Elle aurait pu te tuer. Tu aurais pu te vider de ton sang. Tu aurais pu mourir d’une façon bien négligente. Elle était pourtant, la marque d’un acte de courage. De toi qui oses faire le premier pas. De toi qui sauves ton premier ami. Mais… Qu’était-il devenu ? Tu ne savais pas. Plus de nouvelles. Plus rien. Disparu. Avait-il pris la fuite ? C’était possible… Ce serait même logique… Devais-tu lui en vouloir pour ça ? Devais-tu éprouver, la moindre haine, la moindre hostilité à son égard ? A lui ou son père ?
Non.
Pourquoi le ferais-tu ?
Tu as lu de nombreuses histoires.
Parfois, même le plus cruel des hommes, agit par amour.
Souvent, c’est le passé qui forge notre mal.
Peut-être que la pauvreté pouvait rendre fou. Peut-être que ce monde s’acharnait trop sur certains. Peut-être que tu étais trop naïf. Trop indulgent. Trop innocent. Trop ignorant… Mais voudrait-on vraiment te retirer cela ? Te retirer cette candeur ? Tu as trop bon cœur Naël. Même si on avait marqué ton visage de cette manière, tu n’arrivais pas à être en colère. Tu ne pouvais qu’être triste. Triste que quelqu’un puisse finir ainsi.
Triste de dire au revoir à un ami.
Tu places tes mèches devant ton œil droit. Cherchant à cacher cette cicatrice. Peut-être avais-tu un peu honte. Honte d’avoir inquiété tout le monde. Honte de n’avoir récolté qu’une blessure. De ne pas avoir eu la force de faire plus. Tu ne voulais pas voir ces regards plein d’inquiétudes chez ta famille. Tu préférais, montrer le moins possible. Comme toujours finalement. Tu es discret. Tu es cette âme qui cherche à se cacher. Tu l’as toujours été…
« Mère…. »
Des larmes.
« Mère ! »
Un cri de désespoir.
« M-Mère... »
Aucune réponse.
Voilà la réalité.
Ce n’est pas la mort d’un héros dans un livre.
Ce n’est pas une histoire tragique que tu pouvais lire.
C’était ta réalité.
Tu ne pouvais pas revenir en arrière. Tu ne pouvais pas effacer les lettres. Déchirer les pages. Tu ne pouvais qu’accepter. Accepter son trépas. Accepter ? En étais-tu capable ? Non. Tu es resté dans le déni, pendant longtemps. Tu n’as pas arrêté d’entendre encore sa voix. De voir son visage si vivant. Son sourire si tendre. Tu n’as pas arrêté de sentir encore sa chaleur, lorsqu’elle te prenait dans ses bras. Son regard, lorsqu’elle attendait que tu lui parles, que tu te confies. Tu revoyais tous ces moments. Une mère oui. Une confidente aussi. Une personne chère. Qui avait veillé sur toi, qui avait pris soin de toi.
Une personne qui maintenait votre famille unie.
Mais tout se détruit.
Se fissure.
Comme ton cœur désormais en miettes.
Que tu peines à recoller.
Combien de larmes avais-tu fait couler ? Bien trop. C’était comme s’il n’y en avait jamais assez. Qu’on puisait dans un puits, qui n’avait ni fond. Ni lumière. Tu avais beau essayer de te retenir. De garder la tête haute. Tu n’avais pas la force de le faire. On dit que tu mis des jours, peut-être même des semaines, des mois à t’en remettre. Mais ce n’est pas vrai. Tu n’as jamais pu. La cicatrice est toujours trop grande. Une plaie béante qui dure depuis un an. Qui n’arrive pas à se refermer. Tu la caches devant les autres. Et parfois, tu te relâches, lorsque la solitude est ta seule compagne.
Ce n’était la faute à personne.
Ce n’était qu’une fatalité.
Mais tu aurais préféré que ce jour ne soit jamais arrivé.
Une étoile dorée. Un ciel aux douces couleurs bleutées. Une mer de sable, qui se transforme en forêt à chaque pas. Des créatures aussi adorables qu’étranges, qui apparaissent sous ton regard émerveillé. Un conte. Une fantaisie. Un livre, une histoire à laquelle tu essayais de donner la vie. Tu posais ton crayon sur la feuille. Tu esquissais quelque chose. Tu jetais. Tu recommençais. Un long soupir. Tu reprends ton livre, tu relis. Tu testes. Tu as ce doux sourire sur les lèvres. Tu t’imagines voyager. Prendre la mer et découvrir des paysages. Comme si tu étais toujours un enfant. Un garçon si innocent.
C’est au bout de longues heures ainsi, que tu te décides enfin à sortir de ta chambre.
À sortir du palais.
Ton regard se posait sur les rues animées. Pourtant, il semblait chercher plus loin… Bien plus loin… Si seulement tu pouvais découvrir le monde… Si seulement tu pouvais faire un petit caprice. Mettre de côté ta peur… Ta timidité maladive… Tu y crois. Un jour, tu pourras partir de cette ville. Pas pour recevoir des Enseignements à Ios, mais bien parce que tu en as l’envie. Pour toi aussi, répondre à ta curiosité. Ouvrir de nouvelles portes.
Découvrir ce monde en proie au changement.
Aux catastrophes.
En proie à un avenir, peut-être plus sombre qu’on ne le pense.
Un regard au-delà de la fenêtre.
Tu observes cette ville qui t’a vu naître.
Qui t’a vu grandir.
Où pourtant, tu n’as jamais pu t’y balader.
Alors que tu refermes ton bouquin, de sombres pensées t’envahissent. Toi, petit prince dans ta tour d’ivoire.
Pourquoi n’en sors-tu pas ?
Tu t’approches timidement de la vitre. Tu as envie de sortir. Tu as envie de courir. De faire comme plein d’enfants finalement… Mais la toux vient. Elle te rappelle son existence. Ton corps te lâche. Tu as mal à la tête. Tu as la gorge sèche. Les poumons qui te brûlent. Le cœur qui s’accélère. Les larmes qui montent en un instant. Tu es faible Naël. Tu n’es qu’un enfant fragile. Un petit être qu’on pourrait briser si facilement. Qui pleure en appelant sa mère, ses sœurs et frères. Un prince qui ne peut vivre en dehors de sa chambre. De son palais doré.
C’était ça ton enfance.
C’était à ça que se limitait ton monde.
Un monde qui ne s’enrichissait qu’à travers des livres, des contes et des légendes.
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Rouge… Ta vue se teinte de rouge. Tout devient trouble. Tu entends sa voix. Tu entends son désespoir. Son inquiétude. Tu le sens qui saisit ta main, qui t’emmène quelque part. Mais où ? Tu ne sais pas. Tu es perdu. Tu as mal. Tu as si mal. Ton pas ralenti. Tu aperçois du sang qui teinte le sol. Tu as cette drôle de sensation sur le visage. Tu ne tiens plus debout. Tu n’arrives plus à penser.
Tu te laisses tomber.
…
Le souvenir était encore gravé. Aussi bien dans ta mémoire que sur ta tête. Au travers du miroir, tu la vois, cette cicatrice. Elle aurait pu te prendre un œil. Elle aurait pu te tuer. Tu aurais pu te vider de ton sang. Tu aurais pu mourir d’une façon bien négligente. Elle était pourtant, la marque d’un acte de courage. De toi qui oses faire le premier pas. De toi qui sauves ton premier ami. Mais… Qu’était-il devenu ? Tu ne savais pas. Plus de nouvelles. Plus rien. Disparu. Avait-il pris la fuite ? C’était possible… Ce serait même logique… Devais-tu lui en vouloir pour ça ? Devais-tu éprouver, la moindre haine, la moindre hostilité à son égard ? A lui ou son père ?
Non.
Pourquoi le ferais-tu ?
Tu as lu de nombreuses histoires.
Parfois, même le plus cruel des hommes, agit par amour.
Souvent, c’est le passé qui forge notre mal.
Peut-être que la pauvreté pouvait rendre fou. Peut-être que ce monde s’acharnait trop sur certains. Peut-être que tu étais trop naïf. Trop indulgent. Trop innocent. Trop ignorant… Mais voudrait-on vraiment te retirer cela ? Te retirer cette candeur ? Tu as trop bon cœur Naël. Même si on avait marqué ton visage de cette manière, tu n’arrivais pas à être en colère. Tu ne pouvais qu’être triste. Triste que quelqu’un puisse finir ainsi.
Triste de dire au revoir à un ami.
Tu places tes mèches devant ton œil droit. Cherchant à cacher cette cicatrice. Peut-être avais-tu un peu honte. Honte d’avoir inquiété tout le monde. Honte de n’avoir récolté qu’une blessure. De ne pas avoir eu la force de faire plus. Tu ne voulais pas voir ces regards plein d’inquiétudes chez ta famille. Tu préférais, montrer le moins possible. Comme toujours finalement. Tu es discret. Tu es cette âme qui cherche à se cacher. Tu l’as toujours été…
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« Mère…. »
Des larmes.
« Mère ! »
Un cri de désespoir.
« M-Mère... »
Aucune réponse.
Voilà la réalité.
Ce n’est pas la mort d’un héros dans un livre.
Ce n’est pas une histoire tragique que tu pouvais lire.
C’était ta réalité.
Tu ne pouvais pas revenir en arrière. Tu ne pouvais pas effacer les lettres. Déchirer les pages. Tu ne pouvais qu’accepter. Accepter son trépas. Accepter ? En étais-tu capable ? Non. Tu es resté dans le déni, pendant longtemps. Tu n’as pas arrêté d’entendre encore sa voix. De voir son visage si vivant. Son sourire si tendre. Tu n’as pas arrêté de sentir encore sa chaleur, lorsqu’elle te prenait dans ses bras. Son regard, lorsqu’elle attendait que tu lui parles, que tu te confies. Tu revoyais tous ces moments. Une mère oui. Une confidente aussi. Une personne chère. Qui avait veillé sur toi, qui avait pris soin de toi.
Une personne qui maintenait votre famille unie.
Mais tout se détruit.
Se fissure.
Comme ton cœur désormais en miettes.
Que tu peines à recoller.
Combien de larmes avais-tu fait couler ? Bien trop. C’était comme s’il n’y en avait jamais assez. Qu’on puisait dans un puits, qui n’avait ni fond. Ni lumière. Tu avais beau essayer de te retenir. De garder la tête haute. Tu n’avais pas la force de le faire. On dit que tu mis des jours, peut-être même des semaines, des mois à t’en remettre. Mais ce n’est pas vrai. Tu n’as jamais pu. La cicatrice est toujours trop grande. Une plaie béante qui dure depuis un an. Qui n’arrive pas à se refermer. Tu la caches devant les autres. Et parfois, tu te relâches, lorsque la solitude est ta seule compagne.
Ce n’était la faute à personne.
Ce n’était qu’une fatalité.
Mais tu aurais préféré que ce jour ne soit jamais arrivé.
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Une étoile dorée. Un ciel aux douces couleurs bleutées. Une mer de sable, qui se transforme en forêt à chaque pas. Des créatures aussi adorables qu’étranges, qui apparaissent sous ton regard émerveillé. Un conte. Une fantaisie. Un livre, une histoire à laquelle tu essayais de donner la vie. Tu posais ton crayon sur la feuille. Tu esquissais quelque chose. Tu jetais. Tu recommençais. Un long soupir. Tu reprends ton livre, tu relis. Tu testes. Tu as ce doux sourire sur les lèvres. Tu t’imagines voyager. Prendre la mer et découvrir des paysages. Comme si tu étais toujours un enfant. Un garçon si innocent.
C’est au bout de longues heures ainsi, que tu te décides enfin à sortir de ta chambre.
À sortir du palais.
Ton regard se posait sur les rues animées. Pourtant, il semblait chercher plus loin… Bien plus loin… Si seulement tu pouvais découvrir le monde… Si seulement tu pouvais faire un petit caprice. Mettre de côté ta peur… Ta timidité maladive… Tu y crois. Un jour, tu pourras partir de cette ville. Pas pour recevoir des Enseignements à Ios, mais bien parce que tu en as l’envie. Pour toi aussi, répondre à ta curiosité. Ouvrir de nouvelles portes.
Découvrir ce monde en proie au changement.
Aux catastrophes.
En proie à un avenir, peut-être plus sombre qu’on ne le pense.
09/01/1532 Naissance de Naël, à peine qu’on entend ses premiers cris, il est déjà bercé par l’amour de sa famille et du regard tendre de sa mère. Né prématurément, sa petite corpulence arrache un sourire à sa génitrice qui lui souhaite de grandir correctement et de bien s’entendre avec ses frères et sœurs. C’est cette même année que Geb est élu héritier, n’étant qu’un bébé, Naël n’a aucune conscience de ce qui se passe.
1536 Petit prince a la santé fragile et tombe facilement malade, sa toux est régulière, mais sa mère veille sur lui tout comme le reste de sa famille et les médecins. Il reste assez souvent dans sa chambre, mais ne se sent pas malheureux pour autant. Malgré tout… Il lui arrive de sortir pour aller chercher ses frères et sœurs. De nature timide, il ne parle pas vraiment aux servants et au personnel du palais, mais, cherche beaucoup l’attention des membres de sa famille. Il n’a ni conscience de la charge sur les épaules de Geb ou de ce que ressentait leur sœur aînée. C’était toujours plein d’innocence qu’il allait les retrouver, souvent en cherchant un câlin ou la moindre tendresse.
1537 Naël voit Tarek partir pour Ios. Il ne comprend pas vraiment ce qui se passe mais les jours suivants, il se rend vraiment compte de son absence. Souvent, il s’en va le chercher dans le palais pour finalement pleurer à force de ne pas le trouver. On s’occupe de le rassurer et de lui dire qu’il reviendra, que tout allait bien. Naël est un garçon déjà profondément sensible et à la larme facile.
1538Alors qu’il n’avait que 6 ans, une fissure se créait au sein de la fratrie Ramses. Lorsqu’il voit Tarek cracher de la haine envers Geb, le petit garçon se contente d’aller se cacher, n’osant rien faire de plus. Il n’a aucune idée de ce qui a provoqué ce soudain changement. Mais même à cet âge-là, il se rend bien compte qu’une distance se fait. Qu’une tension s’est créée. Naël reste silencieux, il continue son apprentissage, se dit que c’est son imagination. Il se plonge déjà dans de nombreux livres, où il se perd dans différents mondes qui nourrissent ses rêves. Si sa santé fragile l’a incité à ne pas s’amuser, n’importe comment, rester dans sa chambre, la peur de croiser ces deux-là en même temps lui donnait inconsciemment envie de passer encore plus de temps dans ces fantaisies.
1539De nouveau un frère qui s’en va pour Ios. Désormais en âge de comprendre le pourquoi du comment, Naël lui souhaite bon voyage avec un doux sourire et un dessin plutôt mal fait et enfantin. Son absence lui est aussi douloureuse, mais… Il se rend compte qu’au final il s’était déjà habitué à le voir de moins en moins. Une pensée qui était fortement déplaisante…
1541 - 1543 Alors que Tarek et Geb partent pour leur service militaire, le plus jeune prince, lui, se renferme de plus en plus et en profite pour sérieusement étudier. Il voyait de moins en moins les membres de sa famille et cela l’attristait profondément. Cependant, ils restaient pour lui de véritables modèles, en les voyant donner le meilleur d’eux-mêmes, Naël a lui aussi décidé de travailler dur. Plutôt intelligent et logique, son tempérament calme par nature l’aidait à se concentrer et à comprendre ce qu’on lui enseignait. Il n’était pas un génie, incapable de devenir inventeur, incapable de devenir un grand guerrier au vu de sa fragilité physique tout comme… Il n’allait jamais devenir roi. C’était sans doute plus un soulagement pour lui qu’autre chose. Mais, Naël, n’avait pas vraiment de points forts. Il était maladroit, et le plus petit des Ramses. Il n’avait pas vraiment de rôle. Pas grand chose pour lui. Alors qu’il se rapprochait de l’âge de l’adolescence, les doutes augmentaient, les questions aussi, le poids de la culpabilité surtout… Il se rendait compte qu’il ne pouvait pas vraiment aider sa famille. S’il essayait déjà de cacher ses émotions, sa mère parvenait toujours à voir ce qui n’allait pas. Il allait souvent la voir, lorsque c’était un trop gros poids pour ses épaules. Se maudissant de se lamenter pour ce genre de choses alors qu’il était sans doute, celui qui avait le moins à se plaindre dans cette famille.
1544 Naël quitte le palais pour la première fois de sa vie. Âgé de 12 ans, il s’en va pour Ios. Incapable de cacher les émotions sur son visage, lors du départ, tout le monde put voir le stress qui l’accablait et son profond malaise. En plus d’avoir eu le mal de mer sur le trajet, souvenir embarrassant, il fut incapable de retenir ses larmes. Pourtant, il était heureux. Heureux de sortir, de découvrir un nouveau pays. Mais il avait peur. Il était seul. Ce n’est que lorsqu’il est arrivé dans la ville que les larmes ont cessé. L’émerveillement est tout ce qui restait.
Durant ces 6 mois à Ios, Naël a écouté le sourire aux lèvres ce qu’on lui disait. Il était complètement en joie, mais c’était un solitaire. Il n’avait connu que le palais. Il n’était qu’un ignorant, un garçon à la nature timide qui n’avait jamais eu d’amis. Il n’a jamais osé parler aux autres. Jamais osé faire le premier pas. Jamais osé tenir une conversation. Il fuyait, chaque fois qu’on essayait de lui adresser la parole. Honteux. En plus d’être rapidement tombé malade, son séjour ne fut guère aussi plaisant qu'espérer. Seule sa curiosité avait été satisfaite, mais pour le reste… Ce n’était pas vraiment ça.
1545 - 1547Peu de temps après son retour d'Ios, Naël décide de prendre de véritables mesures pour améliorer sa condition physique. S’il n’avait pas de problème niveau alimentaire, il lui fallait renforcer son système immunitaire. C’est donc avec beaucoup de détermination qu’il est allé faire son service militaire, mais il ressentait un certain poids à ce niveau… Il était le dernier des Ramses à le faire. Le plus petit. Le plus fragile. Celui qui tombe facilement malade. À côté, Tahira s’était illustrée tout comme Tarek. Geb avait réussi à faire ses preuves… Naël n’avait aucune confiance en ses capacités, encore moins dans ce domaine. Il devait faire aussi bien que sa fratrie. Au moins un minimum… Mais aussi pour sa santé. Pour qu’il puisse plus sortir. Avoir moins de temps passé au lit. Il s’est démené pendant ces deux ans. Il s’est réellement démené. Il faisait des exercices quotidiens. S’il dut faire plusieurs pauses et que plusieurs fois, il dut prendre du repos à cause d’une maladie ou deux. Ses toux se sont calmées. Il s’est montré même plutôt doué, surtout dans la lance et dans les soins. Tous furent étonnés de le voir ainsi se démarquer lors de sa dernière année de service. Il avait un talent de combattant, même s’il n’aime pas la violence. Était-ce le désir de supporter sa famille qui lui donnait sa force ?
1548 Désormais, il avait un rythme de vie. Souvent, il s’exerçait pour se maintenir en forme, voyant les bienfaits que ça avait eu sur sa santé. Il ne se voyait cependant pas trop en tant que soldat. En fait, il ne savait pas quoi faire de sa vie. Prince oui. Mais ce n’était qu’un titre… Une fois de retour au palais, il était de retour dans ce flot de questions sur son futur. Il continuait de s’entraîner aux armes. Il continuait d’étudier. Pour aller où ? Il n’en avait aucune idée. Et souvent lorsque sa tête s’embrouillait de toutes ces pensées, le jeune homme décidait de prendre l’air. Dans les rues d’Héliopolis. Désormais, il pouvait y aller sans craindre plusieurs jours alités à tousser. Il aimait bien aller nourrir les chats. Il ne parlait pas aux gens. Il se contentait simplement de se balader. De se changer les idées en observant la ville si animée.
Un jour, en suivant un de ses amis félins, Naël finit par faire la rencontre d’un pauvre. Grâce au chat, ils se retrouveront plusieurs fois. Naël le fuyait tout le temps au début, mais petit à petit, il a accepté silencieusement sa compagnie. Petit à petit, il a osé parler. Dire bonjour. Les deux jeunes adolescents se donnaient rendez-vous au même endroit. Le prince restait particulièrement silencieux et gêné, mais il écoutait tout ce que lui disait le jeune homme. Où il habite, comment il vit, ce qu’il aime ou n’aime pas… Naël a même offert de la nourriture, parfois un peu d’écus, devant insister pour que le garçon accepte… Oui… Il s’était fait son premier ami.
1549 Un jour, son ami est en retard à leur petit rendez-vous habituel… Bien trop en retard. Naël sait qu’il est pauvre et que sa condition familiale est difficile, se rappelant d’où il habite, il décide de partir à sa recherche, même si cela doit dire s’enfoncer bien loin dans la ville. Dans les pires quartiers… Bien que stressé, il continue sa route, se perd un peu. N’osant pas demander aux gens son chemin. Finalement, il parvient à reconnaître au loin la voix de son ami. Il accélère le pas, mais une scène désolante l’attend. Un père en colère. Un enfant battu presque à mort. Le jeune prince n’a pas hésité un instant pour prendre sa défense. Une bouteille qu’il se prend en pleine tête, laissant une belle ouverture sur son front. Son ami le voyant gravement blessé, l’emmène le plus vite possible au loin, ayant conscience de la gravité de la situation. Que par sa faute, le prince est blessé, en sang. Parce qu’il l’a protégé. Quelles seraient les conséquences ? Naël en chemin, finit par perdre connaissance. C’est son ami qui l’a porté, faible, il avait si peu de force, mais malgré ses blessures et sa maigreur, il parvint à trouver un soldat. Cependant, après avoir remis l’enfant royal, il est parti en courant en profitant de la confusion face à l’état du prince et en puisant dans sa dernière source d'énergie. Sans doute, eut-il trop peur des conséquences. De ce qu’on pourrait lui faire.
Naël se réveillera chez lui, dans sa chambre un bandage à la tête. Il entend des plaintes et de l’inquiétude, il s’est fait sermonner de façon juste, c’est avec une certaine culpabilité qu’il s’est excusé. N’ayant pas de regret sur son geste malgré tout… Mais que s’était-il passé pour qu’il soit dans cet état ? Mentir ? Naël n’oserait pas, surtout à sa famille… Il a simplement dit la vérité. Qu’il a protégé un ami de son père.
Des soldats sont partis chercher cet homme. Mais en arrivant sur les lieux. Il n’y avait plus personne.
Naël ne saura jamais ce qu’ils sont devenus.
Il n'en a jamais voulu à personne.
Que ce soit le garçon qu’il a protégé et qui est parti sans rien dire ou le responsable de sa blessure…
1550 Si l’ouverture de la Tour et l’arrivée des étrangers, monstres et catastrophes étaient un grand changement pour tout Cheldis, pour Naël, ce ne fut pas l’événement le plus marquant de cette année-là. C’est en apprenant la mort de sa mère qu’il sentit son cœur se réduire en miettes. Incapable de retenir ses larmes, il a été dans le déni. Il a refusé d’y croire. Pourtant là était la vérité… Il n’arrive pas à s’en remettre. Chaque jour, il ressent son absence. Elle lui avait donné la vie, elle était sa confidente, celle qui maintenait encore liée la famille. Désormais, tout était brisé. Tout...
08/1551 Encore une tragédie… Ios était une ville où Naël n’avait pas de si bons souvenirs pourtant… Il avait aimé ses bâtisses. Il avait aimé apprendre là-bas. Découvrir les paysages. Il fut profondément attristé en entendant parler de ce qui s’était passé. De ce lieu qui fut si facilement balayé. Encore des morts. Encore et toujours… Des inconnus que le prince à pleurer, par empathie, parce qu’il ne souhaite la Mort à personne, parce qu’il en connaît les conséquences... Mais ce qu'il a le plus mal vécu à cette période... C'était l'absence de son frère aîné, Geb. Il n'avait pas de nouvelles. Il ne savait pas si la tempête l'avait emporté ou non. S'il avait réussi à survivre... Naël ne voulait pas encore perdre un membre de sa famille. Ce serait trop pour lui. Heureusement, les larmes ont pu s'arrêter. Son frère lui était revenu entier.
17/10/1551 Une étoile. Alors qu’il s’était perdu dans ses dessins, la fenêtre ouverte, une lumière l’interpelle. C’est le regard à la fois terrifié et émerveillé qu’il observe l’étoile qui traverse le ciel. Une pensée pour ses frères aînés. Une étrange angoisse alors que la beauté de cette nuit-là, était à couper le souffle. Était-ce l’annonce d’un changement ? D’une nouvelle catastrophe ?
1536 Petit prince a la santé fragile et tombe facilement malade, sa toux est régulière, mais sa mère veille sur lui tout comme le reste de sa famille et les médecins. Il reste assez souvent dans sa chambre, mais ne se sent pas malheureux pour autant. Malgré tout… Il lui arrive de sortir pour aller chercher ses frères et sœurs. De nature timide, il ne parle pas vraiment aux servants et au personnel du palais, mais, cherche beaucoup l’attention des membres de sa famille. Il n’a ni conscience de la charge sur les épaules de Geb ou de ce que ressentait leur sœur aînée. C’était toujours plein d’innocence qu’il allait les retrouver, souvent en cherchant un câlin ou la moindre tendresse.
1537 Naël voit Tarek partir pour Ios. Il ne comprend pas vraiment ce qui se passe mais les jours suivants, il se rend vraiment compte de son absence. Souvent, il s’en va le chercher dans le palais pour finalement pleurer à force de ne pas le trouver. On s’occupe de le rassurer et de lui dire qu’il reviendra, que tout allait bien. Naël est un garçon déjà profondément sensible et à la larme facile.
1538Alors qu’il n’avait que 6 ans, une fissure se créait au sein de la fratrie Ramses. Lorsqu’il voit Tarek cracher de la haine envers Geb, le petit garçon se contente d’aller se cacher, n’osant rien faire de plus. Il n’a aucune idée de ce qui a provoqué ce soudain changement. Mais même à cet âge-là, il se rend bien compte qu’une distance se fait. Qu’une tension s’est créée. Naël reste silencieux, il continue son apprentissage, se dit que c’est son imagination. Il se plonge déjà dans de nombreux livres, où il se perd dans différents mondes qui nourrissent ses rêves. Si sa santé fragile l’a incité à ne pas s’amuser, n’importe comment, rester dans sa chambre, la peur de croiser ces deux-là en même temps lui donnait inconsciemment envie de passer encore plus de temps dans ces fantaisies.
1539De nouveau un frère qui s’en va pour Ios. Désormais en âge de comprendre le pourquoi du comment, Naël lui souhaite bon voyage avec un doux sourire et un dessin plutôt mal fait et enfantin. Son absence lui est aussi douloureuse, mais… Il se rend compte qu’au final il s’était déjà habitué à le voir de moins en moins. Une pensée qui était fortement déplaisante…
1541 - 1543 Alors que Tarek et Geb partent pour leur service militaire, le plus jeune prince, lui, se renferme de plus en plus et en profite pour sérieusement étudier. Il voyait de moins en moins les membres de sa famille et cela l’attristait profondément. Cependant, ils restaient pour lui de véritables modèles, en les voyant donner le meilleur d’eux-mêmes, Naël a lui aussi décidé de travailler dur. Plutôt intelligent et logique, son tempérament calme par nature l’aidait à se concentrer et à comprendre ce qu’on lui enseignait. Il n’était pas un génie, incapable de devenir inventeur, incapable de devenir un grand guerrier au vu de sa fragilité physique tout comme… Il n’allait jamais devenir roi. C’était sans doute plus un soulagement pour lui qu’autre chose. Mais, Naël, n’avait pas vraiment de points forts. Il était maladroit, et le plus petit des Ramses. Il n’avait pas vraiment de rôle. Pas grand chose pour lui. Alors qu’il se rapprochait de l’âge de l’adolescence, les doutes augmentaient, les questions aussi, le poids de la culpabilité surtout… Il se rendait compte qu’il ne pouvait pas vraiment aider sa famille. S’il essayait déjà de cacher ses émotions, sa mère parvenait toujours à voir ce qui n’allait pas. Il allait souvent la voir, lorsque c’était un trop gros poids pour ses épaules. Se maudissant de se lamenter pour ce genre de choses alors qu’il était sans doute, celui qui avait le moins à se plaindre dans cette famille.
1544 Naël quitte le palais pour la première fois de sa vie. Âgé de 12 ans, il s’en va pour Ios. Incapable de cacher les émotions sur son visage, lors du départ, tout le monde put voir le stress qui l’accablait et son profond malaise. En plus d’avoir eu le mal de mer sur le trajet, souvenir embarrassant, il fut incapable de retenir ses larmes. Pourtant, il était heureux. Heureux de sortir, de découvrir un nouveau pays. Mais il avait peur. Il était seul. Ce n’est que lorsqu’il est arrivé dans la ville que les larmes ont cessé. L’émerveillement est tout ce qui restait.
Durant ces 6 mois à Ios, Naël a écouté le sourire aux lèvres ce qu’on lui disait. Il était complètement en joie, mais c’était un solitaire. Il n’avait connu que le palais. Il n’était qu’un ignorant, un garçon à la nature timide qui n’avait jamais eu d’amis. Il n’a jamais osé parler aux autres. Jamais osé faire le premier pas. Jamais osé tenir une conversation. Il fuyait, chaque fois qu’on essayait de lui adresser la parole. Honteux. En plus d’être rapidement tombé malade, son séjour ne fut guère aussi plaisant qu'espérer. Seule sa curiosité avait été satisfaite, mais pour le reste… Ce n’était pas vraiment ça.
1545 - 1547Peu de temps après son retour d'Ios, Naël décide de prendre de véritables mesures pour améliorer sa condition physique. S’il n’avait pas de problème niveau alimentaire, il lui fallait renforcer son système immunitaire. C’est donc avec beaucoup de détermination qu’il est allé faire son service militaire, mais il ressentait un certain poids à ce niveau… Il était le dernier des Ramses à le faire. Le plus petit. Le plus fragile. Celui qui tombe facilement malade. À côté, Tahira s’était illustrée tout comme Tarek. Geb avait réussi à faire ses preuves… Naël n’avait aucune confiance en ses capacités, encore moins dans ce domaine. Il devait faire aussi bien que sa fratrie. Au moins un minimum… Mais aussi pour sa santé. Pour qu’il puisse plus sortir. Avoir moins de temps passé au lit. Il s’est démené pendant ces deux ans. Il s’est réellement démené. Il faisait des exercices quotidiens. S’il dut faire plusieurs pauses et que plusieurs fois, il dut prendre du repos à cause d’une maladie ou deux. Ses toux se sont calmées. Il s’est montré même plutôt doué, surtout dans la lance et dans les soins. Tous furent étonnés de le voir ainsi se démarquer lors de sa dernière année de service. Il avait un talent de combattant, même s’il n’aime pas la violence. Était-ce le désir de supporter sa famille qui lui donnait sa force ?
1548 Désormais, il avait un rythme de vie. Souvent, il s’exerçait pour se maintenir en forme, voyant les bienfaits que ça avait eu sur sa santé. Il ne se voyait cependant pas trop en tant que soldat. En fait, il ne savait pas quoi faire de sa vie. Prince oui. Mais ce n’était qu’un titre… Une fois de retour au palais, il était de retour dans ce flot de questions sur son futur. Il continuait de s’entraîner aux armes. Il continuait d’étudier. Pour aller où ? Il n’en avait aucune idée. Et souvent lorsque sa tête s’embrouillait de toutes ces pensées, le jeune homme décidait de prendre l’air. Dans les rues d’Héliopolis. Désormais, il pouvait y aller sans craindre plusieurs jours alités à tousser. Il aimait bien aller nourrir les chats. Il ne parlait pas aux gens. Il se contentait simplement de se balader. De se changer les idées en observant la ville si animée.
Un jour, en suivant un de ses amis félins, Naël finit par faire la rencontre d’un pauvre. Grâce au chat, ils se retrouveront plusieurs fois. Naël le fuyait tout le temps au début, mais petit à petit, il a accepté silencieusement sa compagnie. Petit à petit, il a osé parler. Dire bonjour. Les deux jeunes adolescents se donnaient rendez-vous au même endroit. Le prince restait particulièrement silencieux et gêné, mais il écoutait tout ce que lui disait le jeune homme. Où il habite, comment il vit, ce qu’il aime ou n’aime pas… Naël a même offert de la nourriture, parfois un peu d’écus, devant insister pour que le garçon accepte… Oui… Il s’était fait son premier ami.
1549 Un jour, son ami est en retard à leur petit rendez-vous habituel… Bien trop en retard. Naël sait qu’il est pauvre et que sa condition familiale est difficile, se rappelant d’où il habite, il décide de partir à sa recherche, même si cela doit dire s’enfoncer bien loin dans la ville. Dans les pires quartiers… Bien que stressé, il continue sa route, se perd un peu. N’osant pas demander aux gens son chemin. Finalement, il parvient à reconnaître au loin la voix de son ami. Il accélère le pas, mais une scène désolante l’attend. Un père en colère. Un enfant battu presque à mort. Le jeune prince n’a pas hésité un instant pour prendre sa défense. Une bouteille qu’il se prend en pleine tête, laissant une belle ouverture sur son front. Son ami le voyant gravement blessé, l’emmène le plus vite possible au loin, ayant conscience de la gravité de la situation. Que par sa faute, le prince est blessé, en sang. Parce qu’il l’a protégé. Quelles seraient les conséquences ? Naël en chemin, finit par perdre connaissance. C’est son ami qui l’a porté, faible, il avait si peu de force, mais malgré ses blessures et sa maigreur, il parvint à trouver un soldat. Cependant, après avoir remis l’enfant royal, il est parti en courant en profitant de la confusion face à l’état du prince et en puisant dans sa dernière source d'énergie. Sans doute, eut-il trop peur des conséquences. De ce qu’on pourrait lui faire.
Naël se réveillera chez lui, dans sa chambre un bandage à la tête. Il entend des plaintes et de l’inquiétude, il s’est fait sermonner de façon juste, c’est avec une certaine culpabilité qu’il s’est excusé. N’ayant pas de regret sur son geste malgré tout… Mais que s’était-il passé pour qu’il soit dans cet état ? Mentir ? Naël n’oserait pas, surtout à sa famille… Il a simplement dit la vérité. Qu’il a protégé un ami de son père.
Des soldats sont partis chercher cet homme. Mais en arrivant sur les lieux. Il n’y avait plus personne.
Naël ne saura jamais ce qu’ils sont devenus.
Il n'en a jamais voulu à personne.
Que ce soit le garçon qu’il a protégé et qui est parti sans rien dire ou le responsable de sa blessure…
1550 Si l’ouverture de la Tour et l’arrivée des étrangers, monstres et catastrophes étaient un grand changement pour tout Cheldis, pour Naël, ce ne fut pas l’événement le plus marquant de cette année-là. C’est en apprenant la mort de sa mère qu’il sentit son cœur se réduire en miettes. Incapable de retenir ses larmes, il a été dans le déni. Il a refusé d’y croire. Pourtant là était la vérité… Il n’arrive pas à s’en remettre. Chaque jour, il ressent son absence. Elle lui avait donné la vie, elle était sa confidente, celle qui maintenait encore liée la famille. Désormais, tout était brisé. Tout...
08/1551 Encore une tragédie… Ios était une ville où Naël n’avait pas de si bons souvenirs pourtant… Il avait aimé ses bâtisses. Il avait aimé apprendre là-bas. Découvrir les paysages. Il fut profondément attristé en entendant parler de ce qui s’était passé. De ce lieu qui fut si facilement balayé. Encore des morts. Encore et toujours… Des inconnus que le prince à pleurer, par empathie, parce qu’il ne souhaite la Mort à personne, parce qu’il en connaît les conséquences... Mais ce qu'il a le plus mal vécu à cette période... C'était l'absence de son frère aîné, Geb. Il n'avait pas de nouvelles. Il ne savait pas si la tempête l'avait emporté ou non. S'il avait réussi à survivre... Naël ne voulait pas encore perdre un membre de sa famille. Ce serait trop pour lui. Heureusement, les larmes ont pu s'arrêter. Son frère lui était revenu entier.
17/10/1551 Une étoile. Alors qu’il s’était perdu dans ses dessins, la fenêtre ouverte, une lumière l’interpelle. C’est le regard à la fois terrifié et émerveillé qu’il observe l’étoile qui traverse le ciel. Une pensée pour ses frères aînés. Une étrange angoisse alors que la beauté de cette nuit-là, était à couper le souffle. Était-ce l’annonce d’un changement ? D’une nouvelle catastrophe ?
Armes Lance et Foi
Dieu(x) prié(s) Naël vénère probablement tous les dragons. Il a été bercé par les histoires de ces créatures divines et a dévoré de nombreux récits sur leurs propos. Tous le passionnent et pour chacun d’entre eux, il s’émerveille et prie. Mais un retient particulièrement son attention, c’est Tikraes. Sa ferveur envers ce dieu est plus forte. Bien parce qu’il a une place importante dans la culture de son pays, mais aussi parce qu’à ses yeux, le temps est l’une des choses les plus mystérieuses…
Vœu(x) Naël voudrait monter dans la tour pour assouvir sa curiosité. Mais que veut-il demander aux Dieux ? Et bien… Il a beau y réfléchir, il y a trop de choses… Il veut faire de ses rêves merveilleux une réalité. Être capable de contrôler ses émotions. Que le monde soit libéré de ces violences inutiles… Que sa famille redevienne comme avant… Qu’il puisse revoir sa maman… Autre part que dans des rêves, des souvenirs qui le hantent.
Phobie(s) Trop d’angoisse. Il y a tant de choses qui affolent son cœur. Naël déteste voir les gens souffrir. Il a peur de voir une personne mourir. Il a toujours du mal à affronter la Mort… L’accepter. Il ne veut pas être oublié. Que sa famille finisse par être complètement détruite, au point où plus rien ne puisse la réparer. Naël est surtout atteint d’anxiété sociale, s’il aime l’humain en général, il n’ose pas leur parler et a profondément peur d’être jugé surtout s’il y a tout un public et qu’il doit s’exprimer devant eux.
Dieu(x) prié(s) Naël vénère probablement tous les dragons. Il a été bercé par les histoires de ces créatures divines et a dévoré de nombreux récits sur leurs propos. Tous le passionnent et pour chacun d’entre eux, il s’émerveille et prie. Mais un retient particulièrement son attention, c’est Tikraes. Sa ferveur envers ce dieu est plus forte. Bien parce qu’il a une place importante dans la culture de son pays, mais aussi parce qu’à ses yeux, le temps est l’une des choses les plus mystérieuses…
Vœu(x) Naël voudrait monter dans la tour pour assouvir sa curiosité. Mais que veut-il demander aux Dieux ? Et bien… Il a beau y réfléchir, il y a trop de choses… Il veut faire de ses rêves merveilleux une réalité. Être capable de contrôler ses émotions. Que le monde soit libéré de ces violences inutiles… Que sa famille redevienne comme avant… Qu’il puisse revoir sa maman… Autre part que dans des rêves, des souvenirs qui le hantent.
Phobie(s) Trop d’angoisse. Il y a tant de choses qui affolent son cœur. Naël déteste voir les gens souffrir. Il a peur de voir une personne mourir. Il a toujours du mal à affronter la Mort… L’accepter. Il ne veut pas être oublié. Que sa famille finisse par être complètement détruite, au point où plus rien ne puisse la réparer. Naël est surtout atteint d’anxiété sociale, s’il aime l’humain en général, il n’ose pas leur parler et a profondément peur d’être jugé surtout s’il y a tout un public et qu’il doit s’exprimer devant eux.
- Gods:
Icon :
« Je suis le Dragon Divin Galdred, Dieu de la Terre et des récoltes. [...] N'avait-on pas interdit de prononcer "son nom" sur cette Terre ? Quelle théorie ridicule vous permet d'invoquer son identité comme si de rien n'était ? Vous ne mesurez pas les conséquences de votre inconscience. Chaque fois que son nom est entendu par le ciel, vous renforcez la Déchue. »
Phrase :
2697
Messages :
Ibaraki, Susanoo, Suzuka - Onmyoji
Featuring :
Staff
Crédits :
Frame :
Sprite :
99
Niveau :
099/999
Expérience :
999 999
Écus :
-- ÉQUIPÉS --
Bouclier Fer : DEF+2
Bouclier RES : RES+2
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC (1)
Potion Résu : moitié des PV (1)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Bouquet (2) : restaure 20 PV
Couronne florale (1) : restaure 20 PV
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Bouclier Fer : DEF+2
Bouclier RES : RES+2
-- SOIN --
Verre d'été : +1 à toutes les stats (sauf MVT) durant une MC (1)
Potion Résu : moitié des PV (1)
Gâteau des 2 ans : empêche le perso de subir un coup fatal et rend tous les PV (utilisable 2x ; s'active auto ; passe avant la potion de résu)
Bouquet (2) : restaure 20 PV
Couronne florale (1) : restaure 20 PV
-- NOURRITURE --
P'tit Biscuit (1) : soulage 50 PF
Inventaire :
Brique divine qui bonk
Arme par défaut :
PV 99 | FOR 99 | MAG 99 | VIT 99
TEC 99 | DEF 99 | RES 99 | MVT 10
TEC 99 | DEF 99 | RES 99 | MVT 10
Stats :
S S S S S S S
-- ARMES --
Ganteronces : FOR+06
Inflige MAG/DEF-5 à l'ennemi pendant 2 tours lorsque l'attaque réussie.
Atq 2x si combat initié. Atq 1x en riposte.
Tambouriola : MAG+11
Lorsque l'attaque réussie, il y a 50% de chance d'infliger Confusion à l'ennemi (= ses actions (déplacements et attaques) sont jouées au dé par le MJ ; peut aussi bien viser un autre ennemi qu'un allié durant son tour).
Portée 1-2 cases.
-- ARMES --
Ganteronces : FOR+06
Inflige MAG/DEF-5 à l'ennemi pendant 2 tours lorsque l'attaque réussie.
Atq 2x si combat initié. Atq 1x en riposte.
Tambouriola : MAG+11
Lorsque l'attaque réussie, il y a 50% de chance d'infliger Confusion à l'ennemi (= ses actions (déplacements et attaques) sont jouées au dé par le MJ ; peut aussi bien viser un autre ennemi qu'un allié durant son tour).
Portée 1-2 cases.
Armes :
40
Etage Tour :
99
Missions accomplies :
6905
Réputation :
Condamnation : Pour chaque tranche de 10 PV en moins, FOR+2 en attaque initiée.
Maitrises :
Inconnu
Statut :
Soutien S :
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