Isolé du reste du monde, la chambre royale du Prince Héritier est aménagée par de nombreuses machineries médicales des plus grands centre de Djinn.
On imagine difficilement le futur Roi dans une pièce terne, sans artifice, avec pour seule compagnie le son des machines tournant nuit et jour. Rien n’est trop beau pour le Prince de Djinn.
Et pourtant, malgré la richesse, malgré le pouvoir, malgré la puissance.
Les yeux de Geb Ramses restent closes. Ils remuent dans des mouvements saccadés parfois, signe de sa vie, signe des cauchemars qui le hantent. Un soigneur reste constamment à ses côtés pour s’assurer que la maladie ne progresse pas, que la Traitresse n’emporte pas le jeune homme avant que le Roi, son seigneur ne revienne et au-delà.
Sur sa peau, une marque immonde, violacée, recouvre une partie de son torse, presque son pectoral, mais malgré l’aspect impressionnant de la chose, cela fait des jours que la marque n’a pas évoluée.
Ni dans le mauvais sens, ni dans le bon.
La fleur qui avait été apportée, si rare, si belle, avait été administrée en onguent au Prince, pour rassurer la famille Royale, on laissait entendre que cette plante avait réduit les douloureux symptômes qu’ils avaient observé sur le Prince. Mais le fait est qu’ils ne sont pourtant pas certains de garantir sa guérison.
Le prince était-il condamné à souffrir de ce mal méconnu de la nation sans avoir pu jouir de son couronnement ? Quelle triste tragédie, pensait le soigneur alors qu’il vint poser un linge humide sur le front du Prince.
“J’ai entendu que le Roi votre père et votre frère arrivent pour vous rendre visite.” l’espoir d’être entendu, l’espoir que lui parler puisse l’encourager à se battre contre ce poison poussait le soigneur à lui faire la conversation.
“Tenez bon, votre Altesse, soyez fort pour votre famille…”
La porte grince, il se redresse rapidement, prêt à saluer avec respect celui ou celle qui entrera dans la chambre du Prince.
On imagine difficilement le futur Roi dans une pièce terne, sans artifice, avec pour seule compagnie le son des machines tournant nuit et jour. Rien n’est trop beau pour le Prince de Djinn.
Et pourtant, malgré la richesse, malgré le pouvoir, malgré la puissance.
Les yeux de Geb Ramses restent closes. Ils remuent dans des mouvements saccadés parfois, signe de sa vie, signe des cauchemars qui le hantent. Un soigneur reste constamment à ses côtés pour s’assurer que la maladie ne progresse pas, que la Traitresse n’emporte pas le jeune homme avant que le Roi, son seigneur ne revienne et au-delà.
Sur sa peau, une marque immonde, violacée, recouvre une partie de son torse, presque son pectoral, mais malgré l’aspect impressionnant de la chose, cela fait des jours que la marque n’a pas évoluée.
Ni dans le mauvais sens, ni dans le bon.
La fleur qui avait été apportée, si rare, si belle, avait été administrée en onguent au Prince, pour rassurer la famille Royale, on laissait entendre que cette plante avait réduit les douloureux symptômes qu’ils avaient observé sur le Prince. Mais le fait est qu’ils ne sont pourtant pas certains de garantir sa guérison.
Le prince était-il condamné à souffrir de ce mal méconnu de la nation sans avoir pu jouir de son couronnement ? Quelle triste tragédie, pensait le soigneur alors qu’il vint poser un linge humide sur le front du Prince.
“J’ai entendu que le Roi votre père et votre frère arrivent pour vous rendre visite.” l’espoir d’être entendu, l’espoir que lui parler puisse l’encourager à se battre contre ce poison poussait le soigneur à lui faire la conversation.
“Tenez bon, votre Altesse, soyez fort pour votre famille…”
La porte grince, il se redresse rapidement, prêt à saluer avec respect celui ou celle qui entrera dans la chambre du Prince.