Mission "Tracer une route"

par **Esprit Divin** 03/09/22, 11:06 am

Tracer une route

Demandeur : la ville d'Ios
Localisation : centre d'Ios (quête narrative)
Date : 03/08/1551 (disponible seulement ce mois-ci)
Participation : @Kléomène Priam / @Hubert von Vestra / @Ferdinand von Aegir / @Beleth Eisner
Niveau requis : 1
Récompenses : 50 écus, 25 points de réputation
Description : Après la catastrophe du Festival, une aide est demandée aux volontaires pour dégager la rue principale d'Ios qui mène au monastère, afin que les secours et les renforts parviennent à destination sans encombres. Aucun minimum de poste demandé, la quête est libre (laissez faire votre imagination). Akielos est susceptible de venir mettre son grain de sel si Elle le juge nécessaire.

Conditions de victoire : La mission est terminée en septembre IRL
Conditions de défaite : La mission se termine en octobre IRL

Contexte

Alors que les Chevaliers Chercheurs sont déjà débordés par tant d'autres tâches, l'Archevêque en personne se propose pour aider à déblayer la route principale. Bien entendu, elle y va envers et contre tous les avis contraires, parce que : "Je ne laisserai pas mon peuple souffrir seul."

Inspirant ainsi d'autres personnes, une dizaine de volontaires décident de suivre la douce Kléomène dans cette tâche presque ingrate. Tôt le matin, les habitants d'Ios se sont retroussés les manches pour commencer à retirer les débris, planches, briques, morceaux de maisons, chariots et bien sûr, les vestiges d'un joyeux Festival. En somme, tout ce qui pouvait être enlevé par des petits bras. Cependant, certains éléments qui bloquent la route nécessitent d'autres compétences ...

Une immense bloc de pierre, haut d'au moins deux mètres et demi, bloque entièrement la route. Il faut rapidement trouver une solution au problème, au risque de bloquer les transports de marchandises qui ne devraient plus tarder.

Informations
Vos postes devront contenir 200 mots minimum.
Le leader du groupe est Kléomène.
Vous êtes libres du nombre de postes et de la manière dont la mission est accomplie.
L'ordre de passage est le suivant :
Kléomène, Beleth, Ferdinand et Hubert suivant la statistique VIT.

by emme

par **Kléomène Priam** 03/09/22, 12:27 pm

Mission : tracer une route (feat : du monde)

Nombreux sont ceux à s'être opposés à sa décision, à l'avoir supplié de reconsidérer. L'archevêque n'a rien voulu entendre. Son peuple souffre et a besoin d'aide, elle ne les laissera pas plus longtemps en détresse. Les chevaliers ont fini par céder devant son obstination, surtout que sa présence n'apporte que du bon. Elle fédère les gens, motive chacun à donner le meilleur de soi-même. Si la figure sainte en personne se lance dans cette tâche ingrate, ça ne peut qu'inspirer à l'imiter. Kléomène a ainsi vu s'élever un effort commun, pour son plus grand bonheur. Déblayer prendra du temps, ce n'est pas une mission facile, néanmoins en unissant leurs forces tout est possible.

Tout, ou presque. Ramasser des petits débris à mains nues est déjà une tâche ardue en soi. Mais ce rocher de deux mètres ? Voilà une épreuve plus difficile, pourtant nécessaire à dégager rapidement. Les routes commerciales risquent d'être bloquées à cause de ça, Kléomène se retrouve bien embêtée. Elle voit mal qui aurait la force de le briser, sans compter le danger des débris qui pourraient voler en le détruisant. Pourrait-elle le détruire avec la magie ? Probablement pas, elle est plus douée pour soigner que blesser.

-Ceux qui pensent avoir la force d'aider à briser ce rocher, veuillez me rejoindre. Pour les autres, continuez à déblayer, et restez assez éloignés du rocher.

Avec la force de plusieurs volontaires, ils devraient réussir à le casser, tout en tenant le reste éloigné pour éviter un accident.

KoalaVolant

par Invité 03/09/22, 03:51 pm

Le calme après la tempête. C'est ce qu'on dirait si l'agitation liée aux récents événements n'était pas quasiment palpable, détresse, frustration, impatience. Tant de négativité alors qu'il suffit de retrousser ses manches et de se mettre au travail sans rechigner. Ces gens auront retrouvés une demeure décente dans les semaines à venir et tout rentrerait dans l'ordre. Les geignements et les invectives lui donnent la migraine et la pousse à se joindre au groupe de valeureux si l'on peut dire, prêt à suivre leur précieuse archevêque jusqu'à la mort. Les plus censés mais pas les moins idiots pour autant, les voilà à entreprendre de dégager les rues.

L'état des lieux était assez pitoyable, elle avisa les reste d'un commerce en trainant une demi-poutre sur les bas-côtés de la rue. Les éléments ne plaisantent décidément pas. Elle relève vaguement la tête à l'appel de la figure de proue de l'île temple, enjambe un corps sans vie pour la rejoindre. Pas parce qu'elle pensait avoir assez de force pour éclater cet immense rocher sans sa relique mais plutôt pour observer la méthode qu'ils allaient employer. Car à moins de disposer de masses de bonne facture, ce rocher ne serait sûrement pas tombé avant ce soir. Ou peut-être un mage de talent se trouvait-il là.

Ses iris céruléens se posent sur les visages peu grâcieux des locaux et son sourcil droit s'arque légèrement à la vue d'une crinière rousse et d'un regard familier semblable à celui d'une grosse grenouille. Une grosse grenouille au fait des codes de la noblesse et vraisemblablement toujours aussi exubérante. Elle retient un soupir un détaillant le faciès d'un de ses élèves, Ferdinand von Aegir. Elle ne sait si elle doit être soulagée ou si elle doit tourner les talons.

@Kléomène Priam @Hubert von Vestra @Ferdinand von Aegir

par Invité 03/09/22, 06:52 pm

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Tracer une route

La nouvelle de la tragédie se répandit comme une traînée de poudre aux alentours de la capitale d'Ios ; Ferdinand se trouvait alors dans un campement de chevaliers, depuis lequel il se préparait à mettre en déroute un groupe de bandits qui prévoyait, selon les rumeurs, de s'en prendre à un petit village. Le rouquin s'avisa de protester lorsque le chef de groupe lui intima, à lui et à quelques autres jeunes chevaliers, de rentrer à la capitale pendant que le reste de leurs compagnons poursuivaient leur quête. Cela était injuste, marmonnait-il. Il ne souhaitait pas rebrousser chemin alors que de pauvres villageois s'apprêtaient à se faire attaquer ; mais lorsqu'il sut que la capitale d'Ios avait essuyé des dégâts très conséquents durant le festival, et que son utilité serait tout aussi appréciée là-bas qu'au village, il se résigna à contrecœur et fit demi-tour. Peut-être ses compagnons s'en sortiraient-ils en son absence ; à vrai dire, le fait qu'une tornade d'une extrême véhémence, sortie de nulle part, ait pu s'en prendre à son pays l'inquiétait bien plus qu'il ne s'efforçait de le laisser paraître.
A son arrivée, ses yeux d'ambre attestèrent immédiatement des faits ; on ne lui avait pas menti, la capitale d'Akielos avait résisté, mais était loin d'être sortie indemne de la fameuse tornade. Ca et là s'accumulaient décombres et destruction, tandis que certaines dépouilles attendaient encore d'être transportées dans un lieu plus digne pour être pleurées. La gorge du jeune étudiant s'assécha et il se précipita à la rencontre des volontaires qui s'étaient rassemblés çà et là pour réparer ce qui pouvait difficilement l'être dans l'immédiat. Il s'apprêta à élever le son de ses cordes vocales pour demander quelque chose à l'assemblée, lorsqu'il entendit une voix très familière donner des directives aux gens. Sa chevelure champêtre la distinguait facilement parmi leurs semblables. Kléomène Priam.

Avant même qu'il n'ait pu entreprendre de reconnaître les visages autour de lui, Ferdinand se hâta à sa hauteur et prit soin d'afficher une mine plus solaire, plus assurée encore qu'elle ne l'avait jamais été lorsque de tels évènements douloureux se produisaient. Son cœur se serrait à l'idée de ne pas avoir été en mesure de protéger les défunts au moment où il aurait pu, aurait dû être présent – quoiqu'il ait eu au fond une bonne raison de ne pas l'être, à cause du village, d'une part, et parce que d'autre part, il n'aurait pas été capable d'affronter une tornade tout seul, quand bien même il l'aurait voulu. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de regretter amèrement ce qu'il n'avait pas pu endiguer et les vies arrachées lui manquaient déjà, le rendaient malheureux ; il exécrait profondément l'impuissance de sa condition humaine et la douleur que la perte engendrerait dans le cœur de leurs proches.

« Dame Priam ! » la héla-t-il avec force alors que ses pas s'arrêtèrent à proximité d'elle. Il aurait voulu lui faire un baisemain, dans un mélange de respect, d'estime et de sympathie, mais il y avait plus urgent que cela et il le comprenait. Il inclina légèrement la tête à l'intention de son archevêque, afin de la saluer dignement. « Vous me voyez sincèrement navré d'apprendre ce qui vous est arrivé durant le festival. Je n'ai pas les mots pour exprimer la colère et le ressentiment que j'éprouve. » S'il avait su ce qui allait arriver, il se serait hâté de les rejoindre pour les sauver. La frustration galvanisait la circulation de son sang, tandis que ses sourcils se fronçaient un peu, et qu'une lueur emplie de détermination luisait dans ses iris éveillés. « Dame Priam, je vous promets que moi, Ferdinand von Aegir, je donnerai tout ce que je pourrais pour que vos gens n'aient plus à craindre pour leurs lendemains. Je vais m'y mettre immédiatement ! »

D'après ce qu'il avait compris, une sorte de rocher très encombrant gênait la rue principale de la capitale. Cela tombait bien parce qu'il avait emmené sa lance avec lui. Parviendrait-il à le briser par sa seule force ? Certainement – il ne pouvait peut-être pas affronter une tornade, mais il se savait fort et, si personne ne proposait une meilleure solution, alors il ne voyait pas d'inconvénient à mettre son entraînement martial à contribution afin de faire ployer ce nouvel adversaire.

« Voyez-vous, dans mon pays natal, les sorts de mages sont de très bonnes alternatives afin de faire ployer les obstacles même les plus solides – mais en attendant que quelqu'un se désigne, je me propose volontiers pour essayer de détruire ce rocher moi-même ! »

Il s'approcha du roc en question et, alors que son regard se perdit quelques instants dans ceux de quelques-uns de ses camarades, une étrangeté le frappa en plein cœur et son cerveau fut engourdi par la confusion que celle-ci lui provoquait ; était-il fatigué au point que ses yeux aient imaginé la silhouette de sa Professeure au milieu des habitants d'Ios ?
Il se ressaisit rapidement, parce qu'il n'avait pas l'intention de rester bêtement immobile alors qu'il venait d'atteindre le rocher. Il se recula un peu, banda ses muscles, se prépara à frapper cet obstacle avec toute sa force ; s'il parvenait ne serait-ce qu'à le fissurer un peu, il s'agirait d'une première victoire.
Ferdinand abattit brusquement sa lance sur le rocher, poussant un râle de frustration. Il devait réussir.

Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia

résumé des actions de Ferdinand :

Mission "Tracer une route" - Kléomène, Beleth, Ferdinand, Hubert 394842013

par Invité 04/09/22, 12:49 am

Les ombres et les murmures grondaient prodigieusement à Ios après la tempête : un marchand lamentait ses cargaisons perdues, une patrouille de soldats comptait les dépouilles, un chevalier pourchassait un piètre brigand dépossédant les plus démunis. Parmi l’agitation, Hubert se mouvait avec flegme, imperturbable, et pressait sans grâce ses lourdes bottes contre le sol poussiéreux, sa cape sombre balayant un nuage de résidus derrière lui.

Alors qu’il quittait les ruelles exigües pour le large boulevard principal, il tendit l’oreille : les tragédies étaient les meilleurs moments pour écouter les échos, racontés sans advertance et portés par la consolation. Une famille mineure de nobles avait perdu leur fille, et offraient une récompense à quiconque retrouverait son corps ; un couple d’artisans avait vu leur atelier voler en éclat et, avec lui, le labeur de leur vie ; un groupe d’ouvriers retiraient avec entrain les débris de la rue principale pour laisser passer chevaux, bœufs et chariots. Hubert ne tenait pas particulièrement à s’abaisser à une tâche aussi manuelle que dégager la chaussée, mais il prêterait volontiers ses services en échange d’informations.

Ses pas le portèrent plus loin sur le boulevard, où un petit groupe semblait converger vers un immense bloc de pierre bloquant la route. Hubert pouvait entendre le renâclement des chevaux, de l’autre côté de l’éboulis, qui cherchaient vainement un passage : il comprit que résoudre la situation améliorerait grandement les opérations de reconstruction. Bientôt, il entendit des grognements et des tintements rythmés : il fronça les sourcils alors qu’il aperçut un chevalier asséner des coups de lance au rocher. Toutefois, quelque chose attira sa curiosité : la silhouette de cet homme… Ses cheveux roux… Son air béat…

… Ferdinand.

Son souffle se coupa, mais les surprises ne s’arrêtèrent pas là, puisque non loin, se tenait une autre silhouette familière : le professeur. Le palpitant de Hubert accéléra se serra, partagé entre la joie de revoir deux silhouettes familières et l’inquiétude qui le saisit comme une morsure algide. Si Ferdinand, la seule personne en qui Hubert avait placé ses espoirs pour l’Empire après sa disparition et que le professeur, à qui sa Dame semblait avoir accordé confiance, étaient aussi en Cheldis… qui s’assurait de la sécurité de Lady Edelgard ?

Ses phalanges décharnées se blanchirent alors que son poing se serrait dans son gant ivoire. Il ne remarqua qu’à peine celle qu’il devina comme étant l’Archevêque ; il avait déjà ouvert son tome Essaim Z d’où s’échappaient des miasmes contrôlés par de mouvements étonnamment graciles de la part d’un corvidé appesanti. D’un mouvement vertical du coude, l’Essaim s’abattit sur le rocher sans précaution, le Vestra étant plus préoccupé par le fait de résoudre la situation rapidement que d'épargner une unité ayant décidé de s’attaquer à un bloc de pierre avec une lance, encore plus si cette unité était Ferdinand von Aegir.

Sans attendre que les miasmes se dissipent, il salua d’une inflexion exagérément basse les membres du groupe.
« Dame Kléomène. Professeur. …Ferdinand, énonça-t-il d’une voix grave en regardant ce dernier droit dans les yeux. Je vous aurais volontiers fait part de ma joie de vous revoir, mais il serait malvenu de vous mentir : votre présence ici me réjouit, mais j'aurais préféré vous savoir aux côtés de Dame Edelgard. »

tl;dr : il arrive comme un chad et lance un sort sur le rocher avant de dire bonjour à tout le monde
j'avais beaucoup de choses à dire, alors c'est assez long, j'espère que ça vous ira quand même ! j'aimerais bien dire que je serai moi aussi plus concise la prochaine fois, mais ce serait mentir :catlol:

par **Kléomène Priam** 04/09/22, 06:01 pm

Mission : tracer une route (feat : du monde)

Il est agréable de voir autant de volontaires, notamment des étrangers. Des rapports complets sur chacun d'eux lui ont été livrés, elle connait leurs noms et leur parcours cette dernière année. Voir ces mystérieux voyageurs s'investirent pour un pays qui n'est pas le leur réchauffe le cœur de l'archevêque. Quelle que soit leur raison d'aider, l'archevêque leur en est très reconnaissante. Malgré sa présence sur le terrain, elle se montre surtout pour fédérer les troupes et diriger le déblaiement. Les chevaliers ont insisté pour qu'elle s'en tienne à ça, même si elle se permet de retirer quelques débris dès qu'ils ont le dos tourné.

Parmi ceux qui répondent à son appel se trouve une tête rousse familière. Arrivé directement en Akielos, Ferdinand fait désormais parti de ses chevaliers, une façon bien plus simple de le tenir à l’œil. Et les Dragons sont témoins, avec son caractère flamboyant, difficile de le laisser vagabonder à sa guise. Nul doute qu'il est l'héritier d'une noble famille dans son monde, comme il ne cesse de le répéter. Enfin, ce n'est pas si rare pour des gens de haute naissance d'être aussi vaniteux.

-Je vous remercie, Ferdinand, votre soutien m'apporte un appui non négligeable.

Son supporte la réconforte, oui, son geste un peu moins. Pensait-il venir à bout de cet énorme rocher d'un coup de lance ? La magie serait bien plus efficace, une personne en vient la même conclusion que l'archevêque. Le sort lancé avec une perfection incroyable fend la pierre en nombreux petits morceaux. Efficace, mais avec un clair manque de considération pour les personnes autour.

-De grâce, prenez garde à votre entourage en lançant vos sorts. La magie est un don précieux, qui doit être utilise avec parcimonie.

Reproche adressé à Hurbet les sourcils froncés.

-Vous ne voyez pas d'inconvénient à ce que je vous demande de déblayer ce qu'il reste de ce rocher ?

Ordre plus que simple demande. Kléomène se rend ensuite au chevet des blessés, armée de son bâton pour les guérir. Heureusement personne ne semble touché trop gravement. Une chance, les dégâts auraient pu être plus importants.

Récap:

KoalaVolant

par Invité 04/09/22, 09:02 pm

Elle observe le roux abattre sa lance contre la pierre, se demandant pourquoi elle perdait son temps à enseigner à quelqu'un qui pense pouvoir fendre un rocher à l'aide d'un bout de bois surmonté d'un bec d'acier. Une vague et fugace grimace se forme sur ses lèvres face à cet essai non concluant. Au moins avait-elle retrouvé un de ses élèves. De nouveau son sourcil s'arque à l'écoute des paroles de l'archevêque, lui confirmant que peu importe le monde, les religieux semblent se comporter tous de la même façon. Un voile de bienveillance illusoire jeté sur de mystérieux desseins.

Un bruit sourd la tira de ces quelques pensées polluantes, en effet le rocher sous ses yeux vole en éclat sous l'effet d'un sortilège, magie noire. Par chance, aucun des éclats ne viendra la toucher, comme elle l'avait fait avec Ferdinand précédemment, elle détaille le lanceur de sort, un oiseau de malheur mal nourri, Hubert, le grand caniche d'Edelgard. Le même qui avait menacé de la faire disparaître. Ce jour là, il avait eu de la chance qu'elle décide de ne pas lui fendre la gorge d'un coup de poignard.

Elle répond à sa révérence d'un hochement de tête, son air toujours impassible face à ses paroles, comme toujours il n'avait que le nom d'Edelgard au bord des lèvres et il le vomissait allégrement dès que l'occasion se présentait. .

"Visiblement, je ne suis pas la seule à être tombée du ciel ici. Quant à Edelgard et aux autres, j'ignore ce qu'il est advenu d'eux. A vrai dire, vous êtes les premiers visages connus que je croise."

Sans un mot de plus, elle tourne les talons, s'affairant de nouveau à charger les débris sur le bas côté quand bien même elle avait plutôt la furieuse envie de juste regarder. Tout cela ne la concerne en rien et elle ne gagnera rien à aider ces gens. Un bref soupir lui échappe alors qu'elle s'empare d'un lourd morceau de roche. Elle qui avait passé sa vie sur les routes, elle n'avait jamais autant eu envie d'être à la maison.

Récap:

@Hubert von Vestra @Ferdinand von Aegir @Kléomène Priam

par Invité 04/09/22, 11:20 pm

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Tracer une route

Il abattit sa lance plusieurs fois et par différents procédés afin de constater de l'efficacité – ou son contraire – de ses tentatives contre l'imposant rocher.
Il prit note, avec une certaine frustration non dissimulée, que ses efforts étaient vains et que ce semblant d'écueil ne craignait guère les assauts brutaux d'un guerrier entraîné. Malgré tout, il n'en démordit pas, ou du moins pour le moment, parce qu'il n'envisageait pas d'autres solutions face à cette difficile affaire – il aurait fallu un mage, ou bien un chevalier en armure lourde capable de fendre ou de déplacer le roc pour que la situation puisse être réglée. Il semblait presque évident que peu de personnes au sein de l'assemblée ne correspondaient à ces prérequis : sinon, pourquoi ne se seraient-elles pas manifestées depuis son arrivée ?
Finalement peu convaincu par sa démarche, il fut sur le point de relâcher ses efforts et de réfléchir à une nouvelle perspective d'attaque lorsque, contre toute attente, la situation le prit de court.

Alors qu'il frappait le rocher, une substance ténébreuse transperça l'atmosphère et fracassa en mille morceaux son présent adversaire. Ferdinand, par réflexe, entreprit de se protéger le poitrail et le visage avec ses bras, mais quelques particules de roche parvinrent toutefois à se frayer un passage jusqu'à sa peau à cause de la brutalité de l'impact.
Il fallut attendre quelques secondes pour que les particules de roches et de poussières cessent massivement d'imprégner l'air et, dès lors, le visage du chevalier afficha une expression grimaçante de contrariété. Il frôla du bout des doigts les zones de son faciès qui avaient été touchées ; par chance, elles ne semblaient en rien constituer quelque chose de trop grave quant à son intégrité physique mais il ne pouvait ignorer ni les gouttes de sang qui perlaient le long de sa peau, ni les égratignures qui constellaient par quelques endroits son épiderme dont il essayait pourtant de prendre le plus grand soin lorsqu'il n'était pas en mission. Son odorat était assiégé par le fumet poignant et ô combien trop familier d'un sort de magie noire, un type de magie qui lui rappelait plus de mauvais souvenirs que de bons au sein de l'académie.
Ses yeux clignèrent quelques instants de confusion, et Ferdinand se dit qu'il n'allait certainement pas s'abstenir de réprimander le malheureux, ou la malheureuse qui avait eu l'affligeante maladresse – voire l'idiotie – d'avoir lancé une attaque alors qu'il se trouvait à proximité de sa cible. Comment était-il possible qu'une personne saine d'esprit ait pu se persuader qu'une telle initiative ne mettrait pas en danger ses camarades ? Si ce n'est pire ? Le rouquin regarda dans la direction depuis laquelle le sort semblait avoir été invoqué ; quelle ne fut pas sa surprise de découvrir l'identité de l'individu.

Le froncement de ses sourcils laissa place un instant à la surprise, à une très grande surprise lorsqu'il crut reconnaître l'un de ses camarades, Hubert, sous la masse de mèches de jais désinvoltes du nouveau venu. Il ne semblait plus être exactement le même homme qu'il avait côtoyé entre les murs de Garreg Mach, et pourtant, sa mémoire ne le trompait pas : son regard acéré, ces prunelles vert clair et ces traits amaigris lui étaient propres. Son cœur manqua un battement, et Ferdinand n'eut d'autres choix que d'écouter le discours d'Hubert en attendant qu'il reprenne ses esprits.

L'Aigle le regarda droit dans les yeux, saluant tour à tour l'Archevêque, le Professeur – le professeur ?! - et lui-même, toujours aussi peu accueillant, constatant de l'absence en ces lieux de leur déléguée, Edelgard, quand bien même il se réjouissait prétendument de leurs retrouvailles.
S'il n'avait pas été en proie à un agacement croissant, Ferdinand aurait pu s'inquiéter de la disparition de sa rivale – mais il ne parvenait pas à faire abstraction de l'offense qu'on venait de lui offrir sur un plateau d'argent. Comment osait-il ? Comment osait-il avoir lancé un sort sur lui en faisant fi des convenances et de sa sécurité personnelle ?!

« Hubert, vous … !! » commença-t-il à protester, le ton indigné, ses iris brillant d'agacement et de hargne.

Il s'arrêta juste à temps pour entendre les mots de Dame Priam – à savoir qu'elle désapprouvait à demi-mot la conduite du mage et que son utilisation de sa magie n'était pas correcte. Ferdinand ne le quitta pas des yeux, souhaitant observer sa réaction ; son regard désapprobateur à l'appui. Elle lui demanda ensuite de déblayer le passage – tandis que le lancier sentit la présence apaisante de l'Archevêque se joindre à la sienne, traitant de ses blessures superficielles grâce à une sorte de bâton de magie de soin.

« Je vous remercie. » la gratifia-t-il avec un léger sourire de reconnaissance lorsque la Dame se positionna près de lui.

Il se rendit compte honteusement que ce qu'il avait pensé dans un premier temps n'être qu'une hallucination – était en réalité une vérité que son esprit avait refusée de traiter. Son professeur, Beleth, faisait bel et bien partie de la troupe – indiquant à Hubert qu'elle ignorait ce qui était arrivé à Edelgard et aux autres élèves de l'Académie. Ainsi donc, vous aussi, vous avez été les victimes d'une mystérieuse organisation ? Songea le fils Aegir.

Alors que Beleth s'éloignait pour aller ramasser des débris – il aurait aimé lui adresser la parole en premier lieu, mais elle pouvait bien attendre quelques instants -, Ferdinand en profita pour rejoindre rapidement le mage indésirable, l'expression courroucée, indignée, remontée contre son attitude qui était toujours aussi égoïste que depuis leurs premiers jours d'études.
A sa hauteur, il releva le menton, les prunelles d'ambres défiantes, l'avisant d'oser se défendre, de justifier un tel manquement de sa part d'une bonne raison.

« J'aurais dû me douter qu'une telle attaque imprévisible, de surcroît dangereuse et individualiste, n'aurait pu provenir que d'un être aussi incivilisé que vous, Hubert. » Il croisa les bras de mécontentement. « Dites-moi, votre tentative de me blesser était préméditée, n'est-ce pas ? A moins que le temps incalculable que vous avez passé à approuver promptement votre Dame sans réfléchir n'ait eu finalement raison de votre piètre capacité de réflexion personnelle ? »

Il essayait de le piquer, et il le savait. Pourtant, ne l'avait-il pas mérité, d'une certaine manière ? N'avait-il pas essayé de le blesser physiquement ? Il était vrai que le jeune noble trouvait Hubert particulièrement idiot ; mais certains de ses camarades avaient osé prétendre que le mage à la chevelure de jais était sagace, et désormais Ferdinand avait une énième preuve que cela était faux et qu'on essayait seulement de le valoriser. En matière d'intelligence et de conduite, et à première vue, il était bien meilleur que le corvidé.

Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia

résumé des actions de Ferdinand :

par Invité 06/09/22, 12:05 am

L’assemblée sembla désapprouver de sa méthode, qui pourtant avait prouvé son efficacité – Hubert se contenta de s’incliner gracieusement devant les ordres affables de l’Archevêque, conscient que leurs avis divergeraient quoi qu’il ajoute : les religieux et lui ne faisaient pas bon ménage par leurs valeurs drastiquement opposées, mais il jugea bon de ne pas froisser l’une des plus hautes figures de Cheldis aussi brusquement. Alors que le professeur se mettait à l’ouvrage sans maugréer, avec l’expression imperturbable qui couronne immuablement son visage de marbre, le freux ôta habilement ses gants immaculés et suivit son exemple en se saisissant de plusieurs éboulis, désormais de la taille de petites briques. Il nota toutefois dans sa psyché calculatrice qu’il rendait à l’Archevêque un service qui ne comptait pas rester sans juste retour.

À la suite des succinctes explications du Professeur, Hubert se mura dans un bref silence, songeant à ce qui était, à ce qui sera et à ce qui ne pourra jamais être ; songeant aux possibilités futures et aux occasions manquées. Un tintement d’armure le tira sans ménagement de sa rêverie, alors que Ferdinand, aussi théâtral que dans les souvenirs du mage, bondissait sur le freux d’une agressivité passionnée. Une esquisse de sourire vint déformer les lippes fines et pâles de Hubert alors qu’il écoutait patiemment la diatribe de son ancien camarade.

« Ferdinand, voyons… commença-t-il avant d’inspirer, pesant précautionneusement chacun de ses mots, qu’il susurra d’une voix mielleuse. Je ne vous accorde pas assez d’importance pour chercher à vous blesser intentionnellement. Au contraire, je regrette presque que vous vous soyez trouvé sur le chemin de mon sort, mais voyez-vous, l’obstacle est dégagé, et des cargaisons de vivres vont désormais pouvoir être acheminées aux survivants. J’ai atteint mon but et votre courageux sacrifice sera acclamé, j’en suis certain. L’Archevêque l’a remarqué, en tout cas. »

Il tourna vivement les talons pour se saisir de plusieurs pierres, plus loin. Le bas de son dos le lançait déjà et il émit un faible grognement alors qu’il se redressait.

tl;dr : il obéit à Kléo, les paroles de Beleth le font réfléchir sur la situation, il répond à Ferdinand et il a mal au dos (il va devoir faire une pause bientôt).

par Invité 20/09/22, 09:10 pm

Peu à peu, le tas de débris se déportait sur le bas côté, laissant entrevoir qu'il y a encore quelques heures, une route se trouvait là. Aidant les chevaliers à soulever de lourdes poutres de bois, la mercenaire évite avec soin tous les débuts de conversations qu'on peut lui lancer. Son seul intérêt en cet instant précis, était de passer le temps. Du coup qu'elle ne pouvait passer à pêcher, la tornade ayant sûrement fait fuir tous les poissons à des kilomètres du village.

D'un revers de la manche, elle vient essuyer son front sur lequel avait fini par perler quelques gouttes de sueur. Sa gorge asséchée par l'effort lui réclamait de l'eau. Et quand bien même elle pourrait continuer des heures durant à charger des pierres aux côtés des chevaliers, elle ne disposait cependant pas de leur abnégation ni de leur sens du devoir. C'est donc sans aucune once de culpabilité ou de compassion qu'elle pose son séant sur un pan de muret pour prendre une pause bien méritée, laissant ses iris céruléens naviguer sur les visages, notant la faiblesse physique du mage qui avait pourtant pulvérisé un rocher. Quel ironie que la magie puisse ainsi transformer en puissant, des êtres si frêles. Notant que Ferdinand était tout son opposé. Un jeune homme fort, rayonnant mais à la compréhension parfois limitée par ses travers de noble.

Et l'archevêque, celle qu'elle ne connaît guère mais qu'elle croit dur comme acier être comme n'importe quelle autre personne de son statut, une personne ne jurant que part une entité supérieure, une personne cherchant à convaincre tout à chacun qu'ils se sentiraient bien mieux après avoir reçu une énième bénédiction. Et tous ces chevaliers qui semblaient suspendus à ses bottes comme des morpions aux guenilles d'un ermite. Les jérémiades de Sothis en venaient presque à lui manquer.

Spoiler:

@Hubert von Vestra @Ferdinand von Aegir @Kléomène Priam

par Invité 22/09/22, 01:15 pm

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Tracer une route

Face aux attaques du preux chevalier, le sombre mage laissa échapper l'ombre d'un sourire ; de ce genre que Ferdinand détestait et dont sa fierté pouvait se lamenter d'en être irritée. Il l'écouta le moquer silencieusement, le bafouer, le mésestimer scandaleusement tandis qu'il prétendait ne pas lui accorder suffisamment d'importance pour essayer de s'en prendre à son intégrité physique. S'excusant presque, sur un ton et par des mots qui ne l'étaient point, d'avoir été utile et que sa colère n'en valait donc nullement la peine.
Ferdinand ouvrit la bouche, s'apprêtant aussitôt à rétorquer face à ses railleries dissimulées, mais Hubert déjà se détournait de lui afin d'aller récupérer quelques pierres. Il fallait avouer qu'il n'appréciait guère sa façon de s'adresser à lui mais il considéra que son empressement à aller récupérer des débris valait bien une fuite lâche, ainsi qu'un aveu à demi-mot qu'il se savait inapte à remporter leur confrontation, sinon pourquoi se serait-il hâté de le fuir ? ; et autant il désirait ardemment entendre des excuses de sa part, autant il songeait qu'il ne servait à rien de faire perdurer ce conflit présentement alors que son Archevêque et son Professeur nécessitaient son assistance à proximité. Son devoir se trouvait auprès d'elles ; non auprès d'un vilain homme comme celui-ci.
Le rouquin le laissa donc s'éloigner, l'observant quelques instants dans sa tâche – avant de détourner son regard et d'apercevoir Beleth non loin de là, probablement en train de se reposer après avoir fait tant d'efforts avant même qu'il ne soit arrivé sur les lieux. Il passa à proximité des arrières du corvidé et concéda d'un léger froncement de sourcils contrarié :

« Certes, votre geste a été la bienvenue dans notre mission, j'en conviens … mais vous devriez toutefois cesser de ne penser qu'à vous en commençant par vous excuser lorsque vos actes ont manqué de causer du tort aux autres. » Il s'arrêta un instant, un petit instant, le temps de contempler son camarade en train de grogner contre quelques rochers. Ferdinand songeait qu'il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même, ayant maintes fois entendu dire que l'Aigle ne se présentait presque jamais dans les salles d'entraînement de l'Académie alors que cela faisait pourtant partie de leur enseignement. « Vous fuyez peut-être à tout prix les devoirs qui nous sont conférés à nous nobles, mais vous pourriez au moins être courtois ! Ce principe engage autant les roturiers que les nobles, que je sache ! »

Il n'attendit pas une réponse – il savait qu'Hubert n'aurait rien de pertinent à lui répondre – et, au lieu de quoi, il s'approcha de sa Professeur dont l'absence s'était faite beaucoup trop longue depuis son arrivée à Cheldis. Son froncement de sourcils fondit comme neige sous l'astre solaire ; l'héritier de la maison Aegir n'avait nulle raison d'être agacé lorsqu'aucune personne malveillante ne se tenait près de lui.

« Professeur ! Par la Déesse, je suis si heureux de vous revoir ! » lui lança-t-il dans un sourire lumineux naissant alors qu'il la rejoignait. Si Beleth ne s'était pas présentée à Ios, sans nul doute aurait-il encore continué à chercher ses camarades ainsi qu'un moyen de retourner en Fodlan, mais il ne pouvait se désoler de l'avoir retrouvée elle avant tous les autres. Après tout, elle était son enseignante – une terrible enseignante, même – et les mystères et les compétences remarquables qui faisaient d'elle ce qu'elle était le rassuraient, d'une certaine manière ; il peinait à penser qu'une personne aussi singulière serait inapte à comprendre ce qu'il lui arrive et à parvenir à trouver un moyen de rentrer chez elle. Il posa sa main gantée contre son cœur, comme s'il récitait une promesse. « Votre vue me surprend autant qu'elle ne me réjouit ; mais je crains devoir remettre mes interrogations vous concernant à plus tard alors que le peuple d'Ios souffre présentement de la tempête dont elle a essuyé la venue. Permettez-moi de vous porter assistance avec joie. Si vous avez besoin de quoi que ce soit … je suis bien évidemment prêt à vous aider ! »

Fiche par Sánsa ; sur Never-Utopia

résumé des actions de Ferdinand :

par Invité 25/09/22, 05:21 pm

Le jeune mage replia ses pensées vers le pincement qu’il éprouvait dans ses lombaires, dont la douleur s’intensifiait, armure mal huilée de sa chair rouillée, mais était toujours moins mordante que le cabot Aegir qui dégorgeait sa frustration comme on évacue ses mauvaises humeurs pour recouvrer la santé. Le Vestra ne put s’empêcher de retenir un sifflement d’irritation, contrarié par l’individualisme généralisé des protagonistes de cette affaire inénarrable tant elle était dérisoire. Aegir avait déjà tourné les talons puérilement sans lui laisser le temps de rétorquer, et si l’envie ne manquait pas à Hubert d’achever ce qu’il avait engagé avec sa magie, sa raison émergea victorieuse de sa joute intérieure.

Il se releva péniblement, les mains sur ses reins endoloris, puis lança un dernier sort sur un pan de cloison détaché. Alors que le Professeur et von Aegir semblaient s’accorder une pause – Vestra pensa ironiquement qu’à part protester, le Chevalier n’avait pas délivré une contribution substantielle –, le freux tira ses gants de ses poches d’un geste sec, presque brutal, et les ajusta sur ses phalanges frêles avec finesse. Il considéra les deux silhouettes familières d’un œil sombre avant de s’éclipser sobrement, lissant ses manches blanchies par la pierre sableuse alors qu’il s’engouffrait dans une ruelle sinueuse. Il avait eu tort de se réjouir de leurs retrouvailles : il lui semblait qu’il était plus esseulé que jamais.

tl;dr : hubert est vexé, il finit son boulot puis se casse.
@Kléomène Priam @Ferdinand von Aegir @Beleth Eisner

par **Esprit Divin** 25/09/22, 09:18 pm

Tracer une route

Finalité

Bien que Ferdinand tente d'asséner un coup de lance au rocher, c'est Hubert qui le brise en morceaux éparses grâce à sa magie noire. Débris dispersés, Beleth et Hubert s'affairent à ramasser les dégâts causés par l'explosion, tandis que Kléomène soigne la légère blessure de Ferdinand.

Pendant ce temps, ce dernier, à part râler noblement, n'apporte aucunement son aide ...

L'objectif de la mission a été atteint.

Bravo à vous et merci pour votre participation

Informations
1 poste = 1 XP

Kléomène = 2 XP
Beleth = 3 XP
Ferdinand = 3 XP
Hubert = 3 XP

Participation
Action sur le rocher = 1 XP
Soin sur personnes blessées = 1 XP
Ramassage de débris = 1 XP

Kléomène : 2 XP
Beleth : 3 XP
Ferdinand : 1 XP
Hubert : 3 XP

Bonus
Terminer la mission : 1 XP

Total
Kléomène
NV 5 : 8/50

Beleth
NV 1 : 9/10

Ferdinand
NV 1 : 6/10

Hubert
NV 1 : 8/10

+ 25 PR
+ 50 écus
pour chaque participant !
N'oubliez pas d'ajouter vos écus :virion:

by emme